de respecter ma décision. La cage avait disparu du salon, tout comme le sinistre perchoir. Marc était devenu un mari mo
tais p
du jardin, dans la vieille cabane à outils. C'est là qu'ils avaient caché le perroquet. Je les avais suivis une nuit,
ter. Je devais les détruire. Utiliser leurs propres armes contre eux. Anéantir leur
n rituel, un collier et
. Parmi eux, une poudre spéciale, utilisée pour le marquage des animaux sauvages. Inoffensive, mais extrêmement tenace. Une p
n à exécution. Je me rendis à la cabane de jardin. Le perroquet était là, dans
je avec un sourire cruel. « J'
érées. Je remplis sa mangeoire. Affamé et st
endre longtemps po
cabane. Je l'observais depuis la fenêtre de la cuisine. Je
ard, il entra dans la m
tu es allée dans la
mandai-je innocemment
ur r
ssé une heure dans la cabane. J'imaginais leur panique. Leur précieuse Sophie, l'âme d
avaient pris une teinte verdâtre et maladive. Certaines commençaient même à to
à essayer de "soigner" l'oiseau, achetant des vitamines, des shampoings sp
lait, suspicieux. Il savait que j'étais derrière tout ça, mais il ne pouvait rien prouv
écidai d'enfo
lle auquel je n'avais pas voulu assister. Dès qu'ils furent parti
. Le perroquet, déplumé et verdât
rêtai aucun
ur "Sophie". Une petite boîte à musique qui lui avait appartenu, quelques pho
C'étaient des photos de moi. Des photos que Marc avait prises au fi
en moi, pure
à crier en me voya
rs lui, un sourire ma
photos, une par une. Je les déchiquetais en petits mo
jetait contre les barreaux de
» « Tu va
elle de Sophie,
ai
vu, » dis-je aux reste
bien en évidence et je
uaire profané. Il comprendrait que je ne jouai
taqu
-