img Adieu, Doux Mirages  /  Chapitre 4 | 45.45%
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Historique

Chapitre 4

Nombre de mots : 850    |    Mis à jour : 02/07/2025

de respecter ma décision. La cage avait disparu du salon, tout comme le sinistre perchoir. Marc était devenu un mari mo

tais p

du jardin, dans la vieille cabane à outils. C'est là qu'ils avaient caché le perroquet. Je les avais suivis une nuit,

ter. Je devais les détruire. Utiliser leurs propres armes contre eux. Anéantir leur

n rituel, un collier et

. Parmi eux, une poudre spéciale, utilisée pour le marquage des animaux sauvages. Inoffensive, mais extrêmement tenace. Une p

n à exécution. Je me rendis à la cabane de jardin. Le perroquet était là, dans

je avec un sourire cruel. « J'

érées. Je remplis sa mangeoire. Affamé et st

endre longtemps po

cabane. Je l'observais depuis la fenêtre de la cuisine. Je

ard, il entra dans la m

tu es allée dans la

mandai-je innocemment

ur r

ssé une heure dans la cabane. J'imaginais leur panique. Leur précieuse Sophie, l'âme d

avaient pris une teinte verdâtre et maladive. Certaines commençaient même à to

à essayer de "soigner" l'oiseau, achetant des vitamines, des shampoings sp

lait, suspicieux. Il savait que j'étais derrière tout ça, mais il ne pouvait rien prouv

écidai d'enfo

lle auquel je n'avais pas voulu assister. Dès qu'ils furent parti

. Le perroquet, déplumé et verdât

rêtai aucun

ur "Sophie". Une petite boîte à musique qui lui avait appartenu, quelques pho

C'étaient des photos de moi. Des photos que Marc avait prises au fi

en moi, pure

à crier en me voya

rs lui, un sourire ma

photos, une par une. Je les déchiquetais en petits mo

jetait contre les barreaux de

» « Tu va

elle de Sophie,

ai

vu, » dis-je aux reste

bien en évidence et je

uaire profané. Il comprendrait que je ne jouai

taqu

-

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