img Adieu, Doux Mirages  /  Chapitre 1 | 18.18%
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Historique

Chapitre 1

Nombre de mots : 1131    |    Mis à jour : 02/07/2025

du froid qui pénétrait mes os

uviens d

ue je picorais sans cesse, u

des mots doux non pas à moi, mais à mon corps. Un corps qui bou

e patience. Bientôt, tout sera parfa

é dans ce perroquet. Et moi, Jeanne, j'étais l'esprit p

réussi. Marc, et sa sœur Chloé, ma meilleure amie. Ils avaient échangé

, le perroquet, pour se débarrasser d

s ses bras en me jurant une amitié éternelle, s'approchant pour tordre l

aveuglante. Une

e si

sentis la douceur des draps en soie contre ma peau. Ma peau. Je levai une main, la regardai, la tournai.

J'attrapai mon téléphone sur la

d

e de mariage. Le jour où tout avait commencé

e temps. J'avais

au à la main. Il portait ce sourire charmeur qui m'avait fait t

amour. Joyeux

jus d'orange fraîchement pressé, une rose rouge da

surprise

ce qui allait venir. Je devai

is pas dû. » ma voix

i, son regard brillant

euse, je ferais n'import

x dans le couloir, mêlée à celle de Chloé.

ains une grande cage recouverte d'un drap. Chloé le suivait, un so

toi ! » lança-t-el

le sol et retira le dr

s aux plumes lisses me fixait de ses

orps. Je me souvenais de ces yeux. C'étaient les derniers que

clamai-je, forçant un t

uvons pas avoir d'enfants, alors j'ai pensé... il pourrai

par choix pour me rassurer de ma propre infertilité supposée.

dit Chloé, me poussant douc

Je ne voulais pas toucher cette cho

la cage. Mes mains tremblaient. J'hé

rd de la porte ouverte. Il pencha la tête, me regar

in, il s

er la pièce, no

evant mon visage, ses griffes acérées tentant de s'agripper à mes cheveux, son bec cl

r le lit, me protégeant

arc

s pour m'aider. Il attrapa

ent... Ça va, mon beau. El

ots doux, son regard fixé sur l'animal, ignorant totalemen

ge n'exprimait aucune inquiétud

ce qui t'a pris ?

étais la coupable. Comme si j

» dis-je, la voix ét

on condescendant, tout en tendant la main pour caresser la tête du perroquet

maléfique. Ils le protégeaient, le rassuraient. Moi, j'étai

déjà plus rien. Juste une en

cage. Ce qui restait était une coquille de glace remplie d'une seule chose : la certitude de ce q

chemise de nuit, le visage

voix calme qui les surprit. « J'ai

sourit,

tu comprendrai

que la femme qu'il regardait n'était plu

is. Et sa fin ve

-

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