À LA TÊTE DU CARTEL

ment de son profond sommeil. Louisa ouvre les y

h

s de la semaine s’enchaîne, plus la jeune femme manque désespérément de sommeil et peine à sa reposer. Par automatisme, elle saisit son téléphone portable pour je

ine matinale lui oblige, Louisa file directement dans la cuisine pour préparer son peti

n dormi ma

du mal en ce momen

e est à que

hui. Mon patron veut que j'a

t que tu ralentisses en ce momen

t argent et mon chef n'est pas vraiment « compréh

re la salle de bain. Elle se fixe un instant dans la glace, secoue ses longs cheveux frisés et passe les doigts sur ses cernes saillantes. E

! Je suis pres

la douche Jules ! Laisse

n savonnant ses longs cheveux frisés avec fougue a

ce matin ? demande Loui

ue je le rejoignai

i tu veux que je t'accom

n, j'y vais s

scientifiques sur les capacités neuronales de l’être humain. Elle tire ses cheveux en arrière et les attache en un chignon bien serré, une coupe stricte comme son patron lui a obligé. Sous plusieurs feuilles chiffonnées, elle

u » du propriétaire lui avait conféré le poste de Chef de service, alors que tout le monde savait qu’il était carrément nul, incompétent et presque irresp

semble pour le coup, vraiment pressé. Tout les deux se retrouv

e matin ? demande Louisa en de

doit rejoindre Léa et

ais pour f

e ta relou ! On veut ju

. À ce so

ond sèchement Jules en

mant sa cigarette du matin. Le comportement de son frère l'intrigue. Depuis quelque temps, leur relation est devenue étrangement froide et distante. Il est vrai que depuis

dolescent doit avoir sa part de secret. L’inverse serait dérangeant. Pendant que toutes ces pensées lui traversent l'esprit, Louisa contin