c s'effaça instantanément. Son visage se durcit, ses yeux
e dire ?" gronda Marc, sa
changement d'atmosphère, bafouilla : "C
e qui se trouvait entre eux. Les verres et les bouteilles s'écrasèrent sur le sol dans un fracas de verre brisé. La
che, les yeux écarquillés. "Marc, arrête..." mu
e transformant en une inquiétude intense. Il ignora complètement le
e ne me sens pas bien. J'ai besoin de prendre l'a
pour les autres. "Je viens avec toi," dit-i
rent à chuchoter entre eux. "Il est dingue quand il s'agit de Sophie," dit l'un. "Je ne l'ai jamais vu comme ça pour
cœur venait de comprendre. La violence de la réaction de Marc n'était pas pour elle. Il ne l'avai
e. Elle les vit sur le perron, sous la faible lumière du porche. Marc tenait les épaules de Soph
Ne fais pas attention à cet idiot. Person
répondit Sophie, mais e
age. "Bien sûr que si. Je suis là, d'acco
e. Ou peut-être ne l'avait-il jamais cessé. Sa relation avec elle, leur intimité, ses sourires, tout n'était qu'une
it son téléphone et composa à
uc
? Tout v
émotion. "Je veux que tu saches. C'est fini. Définitivement
tait, elle les vit toujours sur le perron. Sophie semblait avoir un malaise, elle tit
e couloir, elle vit une silhouette familière sortir d'une chambre. Marc. Il était au téléphone, l'air fatigué mais soulag
nne, son visage se crispa. Il s'approcha d'elle,
Elle sentit la rage monter, une rage froide et tranchan
ventre. "Après hier soir... je voulais être sûre que... notre bébé... n'avait rien." Ell
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