is qu'elle fermait les yeux, elle revoyait le sourire suffisant de Marc, entendait son rire au téléphone. Elle se força à sortir d
se dirigea vers la bibliothèque, espérant trouver un peu de calme pour travailler sur son projet. C'était la dernière ligne d
es. En sortant, le visage pâle, elle tomba nez à nez avec Marc. Il l'attend
te cherchais," dit
un pas. "Laisse-
autour de sa taille. "Qu'est-ce que tu as ? Tu
ui donna la chair de poule. Elle le re
ut s'appuyer contre le mur pour ne
et dit d'une voix faussement enjouée, assez fort pour que les étudiants qui passaient puissent ent
sieurs têtes se tournèrent dans leur direction, des chuchot
. Elle se précipita vers eux, l'air faussement inquiet
les, son regard fixé sur Jeanne avec un amusement c
a ? Tu n'as pas l'air bien." Le contact de sa main brûla Jeanne
iffla Jeanne e
s'approchèrent en riant. "Alors Marc, tu as déjà
chez Alex. Et toi," dit-il en se tournant vers Jeanne, son ton n
e Sophie. Jeanne ne se débattit pas. À quoi bon ? Elle se contenta de marcher, la tête basse, sentant les regards de to
rc ne la lâchait pas d'une semelle, la main possessive sur sa hanche, la présentan
Vérité. La bouteille tourna et s'arrêta sur Marc
récemment ?" demanda un de ses
a musique. "Avec Jeanne. Elle est incroyable au lit. Surtout quand elle supplie..." Il ajo
Jeanne sentit son visage s'empourprer. Ell
r un garçon qui regarda Sophie. Sophie, qui étai
çon, un peu éméché.
" répond
c, ça ne te rend pas trop jalouse de le
ne étincelle indéchiffrable passa entre eux
-