img L'après-midi d'un fauve: Meurtres à Coaraze  /  Chapitre 3 No.3 | 10.71%
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Historique

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1196    |    Mis à jour : 18/10/2021

e entre 80 et 100 dans les virages. Je mets gros

aine de convives le soir. Je l’aide à composer les menus, elle choisit les assaisonnements et se charge des fourneaux. Sans être un grand chef, je m’en sors honorablement, même si je me can

vient souper et j’ai l’intention

urgogne, a le gosier en pente et un sacré coup de fourchette. De l’

, les broyeurs et les frigos, une pièce où tout est à portée de main. Les râteliers de couteaux, les trancheuses, les bocaux à épices et les condiments au-dessus

ve d’une organisation parfaite,

’un évier à double-bac, le premier pour laver, l’autre pour dégraisser, on aperçoit le

ent qui illumine le plafond et se reflè

e Passetougrain, Gio

eux en amour, heureux au travail, et ce petit business qui marche du feu de Dieu ! Ta

dotée de trois brûleurs, deux devant, un autre derrière avec thermostat, porte à hublot,

gio, c’est comme si je parlais hébreu ! Je ferai l’impasse sur le réfrigérateur, je ne lui rappellerai pas que l’appareil s’adapt

du monde, trop de non-dits, trop de chagrin. Ce ne sont pas mes cassolettes en fonte ou en aluminium, à fond épais pour laisser glisser

de lames de plongeurs, couteaux japonais, sri lankais, stylets corses, ou du mythique modèle des hauts plateaux de l’Aubrac qu’on a protégé des contrefaçons chinoises, bref pour tout ce qui ébarbe et scarifie. Ren

is j’en veux beaucoup aux Abattoirs de la mani

Castellar, ajoute sa note ensoleillée. On se croirait au fin fond de la campagne provençale. Ne manque plus que Giono ou Pagnol pour la sous-titrer d’une dédicace élogieuse, souvenir d’une visite entre deux tournages au restaura

ouret et déclame un vers de Mo

accommode mal les noms avec les verbes et redise cent fois un ba

t une affaire d’instinct, rien à voir avec le

, que je lui servirai au dessert. Il m’a suffi d’un bouquet de menthe fraîche, d’u

e dans le quartier de la Libération, à deux pas du tram et du marché du même nom. Je pense aux plats de ce soir, une c

farine de chaque côté et plonge le tout dans un bain d’huile chaude, à peine trois minutes, le temps de le

mis au court-bouillon pendant une vingtaine de minutes. Doré au beurre et revenu au madère, parsemé de persil h

eorges en est friand et je vais la lui servir dans une soupière en faïence qu

Coaraziens festoyaient après les com

n’ont pas l’habitude de gaspiller et qui pourront

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