img L'après-midi d'un fauve: Meurtres à Coaraze  /  Chapitre 4 No.4 | 14.29%
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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1242    |    Mis à jour : 18/10/2021

températures très basses relevées au thermomètre. Tant pis pour les oliviers qui poussent en terrasse à proximité du village méd

t sur les chaumières, à la limite de la neige, soufflée par un ve

e 3 n’annonce pas d’amélio

ces anges à tes côtés, tu n’pourrais plus rêver», comme le chantait son idole Dick Rivers. Vingt-six kilomètres d’asphalte, un trajet par la D15 qui ne prend qu’environ quarante minutes. Une

t et endosse un loden

éré à La gentilhommièren’ayant que l’inconvénient d’empester la friture, il sélectionne l’itinéraire le plus économique, sans péages, san

de tout commentaire. À la radio, entre Nino Ferrer et B

etti. En face du glacier Fenocchio, on installe le décor de la crèche vivante, en tout et pour tout une

es de souvenirs restées ouvertes ce dimanche, la Place Gautier, les toiles cir

lairées, la foule se presse aux caisses, piétine, s

le crâne, Georges n’a pas son pareil pour amadouer les ven

plus grands qui s’évertuent à les calmer en leur faisant des promesses qu’ils ne sont pas si sûrs que cela de tenir. Il remarque aussi une femme b

l’ancien employeur de la défunte Chantale. Et s’il e

ipé activement, le moins que l’on puisse

. Ses rancœurs se raniment. Assoiffé de ve

u, qu’elle se décale ou se retourne, mais il se dit qu’elle a plus d’un tour dans son sac e

son portefeuille dans sa poche intérieure de costard, comme un usager de la Sécu ayan

ux ans, à l’ombre des cyprès du cimetière, avenue des Caleniaires,

e messe, y compris le grand-père, une ordure accusée d’avoir dénoncé des Juifs pendant la Guerre, Giorgio leur voue une haine

ent à cette injustice et aux indemnités dérisoires qu’ils ont touchées. Il rêve d’un tsunami, d’une vendetta, d’

fiévreux de Georges. Je sens qu’une idée vient

n va la coincer, assè

ut ! De toute façon, elle n’est pas venue à pied et doit être stationnée quelque par

bras encombrés de ses paquets. Elle ralentit, répond à un appel sur son portable, avant d’entrer dans un parking, b

anquise jaillit des entrailles du souterrain, s

le et le manque affectif terrifiant qui s’en est suiv

assez conséquent entre les deux véhicules. Le trafic routier s’est intensifié, conséquence de

précédant. À mesure que la route défile, drôlement chahutés p

encaissé qui nous conduit à La Vernéa et à une Maison de retraite enluminée d’un bel épicéa. À l’abri, collés aux fenêtres assombries par le g

te. Au sortir du hameau, l’enchaînement des tournants complique la poursuite et rend toute prud

ination, j’essaye de

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