loin de la caricature de l’homo sapiens taillant des flèches en silex et décorant sa caverne de peintures de lynx ou de panthères. À Coaraze, « queue rasée

verre d’IGP Vins de Méditerranée, des assemblages à la robe saumon, moins ruineux que le Bellet, qu’à la

déré comme l’un des plus beaux villages de France. Culminant à 650 mètres, enchâssé dans un

onneries où ils se retirent pour décompresser le week-end. À part eux, l’essentiel de la population se compose d’artisans, de cultivateurs, la plupart re

pitations. En janvier par contre, les minimales ne fluctuent qu’entre deux et trois degrés. Sauf températures inférieures à dix degrés, les «

elours côtelé. Secrétaire général de la Chambre d’Agriculture, adhérent à la FDSEA, il passe pour un spécialiste de la maladie de Lyme et des problèmes de contention bovine. Fort de ses m

isent ses amis, ce qui s

Syndicat Mixte des Abattoirs de la Riviera, selon la règle des 3x8. Dans ce métier, les états d’âme sont proscrits. Il fau

je collecte les animaux morts en élevage, je taille, je découpe et je recycle. J’euthanasie même les chevaux, je récolte et j’incin

rant aux murs de pierre, aux volets peints dans les tons renoncule, dans l’une de ces ruelles pavées et pentues accédant par un passage à l’ancien

ausse couche au quatrième mois, et le fait qu’en dépit de traitem

sont plutôt de gauche. Normal, quand on est l’un des plus beaux villages de France et qu’on incruste des cadrans solaires sur les bâtiments,

s une pièce de monnaie trouée en son milieu, du type des pièces qu’on fabriquait il y a un siècle. Les joueurs peuvent jongler du pied, du genou, de la poitrin

s indispensables pour ouvrir le restaurant à midi ne nous fera défaut. Comme qui dirait, je veille au grain ! Et si d’aventure, malgr

la maison préparer le petit déjeuner de ma douce. Tranches de pain beurrées à la gelée de groseilles, ca

impurs par les imams pour être consommés, sourate 2, verset 173. Viennent ensuite les agneaux et les moutons, rie

lementé, la communauté musulmane est rentrée dans le rang, souscrivant aux règles sanitaires en vigueur. Cela signifie qu’elle n’égorge plus, selon le rite hallal, que dans des installations agréées ou temporairement autorisées par le Préfet, au grand dam des défenseurs d

pour rien au monde. Ma femme et mes amis me traitent de solitaire, mais ça m’

Je n’ai plus qu’à attendre le moment où la victime s’engouffre dans le sas, un boyau carrelé du sol au plafond d’une mosaïque étanche, pour

sions à la télé, de reportages d’Élise Lucet sur le sujet décrivant des agissements barbares, pour tolérer le moindre faux pas, la moindre négligence, le plus petit scandale. Le patron, Monsieur Brieugne, ne p

soulève, aidé d’un palan électrique, les 670 kilos de bidoche, en même temps que je sectionne la carotide d’un revers de

grandes eaux, en moins d’une poignée de secondes. Une ou deux minutes encore, et tout est fini

endre la cage thoracique. En langage de boucher, les collègues intitulent ça le « traçage ». D

out le cuir a désormais disparu, l’accès est

longueur. Arrivent enfin le dégraissage des parties intérieures et les gars de l’inspection sanitaire qui d

Quand l’aube se lève, il suffit d’une bonne douche pour me remettre