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La vie c'est une chanson de Francis Cabrel

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Auteur: promotion
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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1180    |    Mis à jour : 15/09/2021

ol

des chaînes, à trop vouloir te re

cis

involture. Savez-vous ce qu’on dit sur les personnes qui sourient tout le temps ? Que ce sont les fissures que le temps a créées qui laissent passer autant de lumière. Chaque âme a ses hist

enaud blanche bien usée, mais décoré tout à son image, de grosses fleurs artificielles, d’une perruq

qui marquait son entrain habituel. Parce que malgré tout elle sait, oui, elle sait que je dois suivre cette petite vo

is, et puis tu as plutôt intérêt à venir me voir

ient. Il me propose tout le temps de faire plei

uclés et sa peau légèrement mate, ses converses et ses t-shirts colorés lui donnaient un air femme-enfant. Néanmoins,

s, que tu inventes ou que tu conçois. Cela doit être un peu comme dans la chanson de Garou : « Et juste au moment où j’étais bien tout seul, tu m’arrives comme un coup de poing sur la gueule, l’autoroute de ma vie filait tout droit devant, notre rencontre est un accident… L’amour ne vient jamais, là où on l’

et j’ai l’impression que lui s’attache vraiment. Je commence à me s

souffle, pour être sûr que mes mots la percutent à tel point qu’elle ne puisse jamais en douter. Les gens n’ont-ils jamais conscience de leurs valeurs et de l

tros. Les petits fauteuils en cuir rouge, les grandes tables rondes entourées de tabourets, les tableaux de voitures américaines donnaient à cet endroit un air vintage et charmant. C’était devenu notre quartier général pour boire notre cocktail habituel fait de jus de fruits et de vodka, le sex on th

ontrer ton Édouard Cullen2à Toronto ? me

aucun cas et sous aucun prétexte perdre le contrôle de toi-même, le risque calculé quoi. Je me suis toujours protégée, peut-être avais-je associé l’amour à la faiblesse et cette conclusion avait fait naître en moi

décevoir. Travailler en tant qu’éducatrice spécialisée pour pouvoir aider des enfants qui ont déjà connu des horreurs sans nom à se rec

concrètement, toute ma vie, j’ai pensé qu’il fallait qu’on soit juste nous-mêmes et que les gens devaient nous accepter comme on est, mais comme dit mon petit frère Cyril : « il n’y a personne qui doit t’accepter, tu es qui tu es, point ! » Vous comprenez toutes cette subtilité que

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