pit
fixait le paysage changeant par la fenêtre, les arbres s'épaississant à mesure qu'ils pénétraient dans les profondeurs de la forêt. La route se faisait de plus en plus sinueuse,
les arrangements s'étaient enchaînés avec une rapidité déconcertante. Il semblait que tout était orchestré, comme si les membres de la meute attendaient simplement qu'elle p
açant, avec ses murs de pierre grise et ses hautes tours s'élançant vers le ciel. Elle sentit une tension se former dans sa poitrine. Elle n'aurait su di
portière de la voiture. Il la salua d'un simple signe de tête, mais ses yeux, pleins de gravité, la mirent aussitô
» demanda-t-il d'une voix
tation. Dès qu'elle franchit le seuil, le bruit des portes se refermant derrière elle réson
ut où elle posait le regard, elle voyait des visages qui la fixaient brièvement avant de détourner les yeux, comme s'ils avaient peur de croiser son regard. Ces visages, bien que discrets, la regardaient ave
ait probablement pas encore à quoi elle s'engage... Si elle savait seulement. » Ces mots étaient comme un coup de po
tendaient en silence. Les yeux de Lyse parcoururent la pièce, cherchant instinctivement un visage familier, mais elle ne reconnut person
hé sous l'ombre d'un capuchon, ne laissant entrevoir que la dureté de sa mâchoire et le contour de son visage. C'était lui, l'Alpha. Cet homme qu'elle allait épouser, mais qu'
ent qu'il n'est plus tout à fait le même depuis cette blessure..
ient deviner : un être distant, imprévisible, au passé mystérieux et peut-être violent. Elle se demanda un instant si elle avait fait
échange d'affaires. L'Alpha prononça quelques mots d'une voix grave, sans pour autant relever la tête pour croise
observer de plus près, mais son visage restait à peine visible, son capuchon couvrant ses traits dans une obscurité mystérieuse. Elle aperçut seulement un regard, b
c'était fait. Lyse sentit une étrange vague de vertige la saisir. Elle était