, sur lequel est inscrit en lettres usées « Hôpital Maajabu ». L’édifice en

s sont étroits et sombres, éclairés par de faibles ampoules vacillantes. Les murs sont peints en blanc, mais la peintur

chez la réceptionniste de cet hôpital. Le bâtiment est sombre et vétuste, ses murs défraîchis témoignent de nombreuses a

eille avec un sourire timide. Elle est vêtue d’une blouse blanche tachée

qui se nomme Akil Ekila >>, dit Ak

eul qui essaye de

le feuilletant avec attention. Je peux voir dans son regard qu’elle est d

tre mieux avec les moyens que nous avons en notre disp

yer c’est le pl

dans la ch

maladies sont accrochés. Les chaises sont dépareillées et défoncées, certaines sont même tenues par des bouts de scotch. Les patients assis dessus

de son fils qui la soutient. Ils semblent attendre depuis des heures, sans que leu

des soins, malgré les difficultés. Certaines avaient peut-être économisé pendant des mois po

le et ses joues creuses, mais elle a un sourire radieux lorsqu’elle me montre son dessin. C’est une représentation de l’hôpi

sentiment de tristesse et de colère envers

vec l’aide d’une infirmière qui no

rection de la salle de désintoxication. >> J

qui semble tout a

sent nous avons examiner les niveaux de substances importantes comme

ve ? Va-t-elle s’en sortir ?>> Elle

cérébrale mais nous sommes confiante quant à sa gu

le lit en métal, recouvert d’un drap blanc, qui trône au centre de la pièce. À côté, une petit

éclairer la pièce, plongeant l’endroit dans une ambiance sombre et oppressante. Seule une petite

eau de douche pour séparer l’espace. La toilette est un simple trou dans le sol et le lavabo est si p

rmés et un visage pâle. Son corps est recouvert des bandages et des panse

elle va s’en sortir. >> Je

ents qui lui plongent dans un profon

chambre pour rendre vis

Veux-tu prendre q

que la nourriture n’est pas bonne alors qu’elle e

x nourritures de grand chef cuisinier qu

sant un sourcil << Je ne compte pas

vaillant dur tu ne seras jamais à leur hauteur, tu seras juste employée.>> Dit-il

ante râle à cause de mon retard. Je me pince le nez, j’ai complètement oubliée le travail.

taurant, l’hôpital et la maison sont proche ce qui me permet d’arriver avec deux minutes d’avance par rappor

s narines. Les murs de ce sont décorés de vieilles affiches colorées et de photos de plats alléchants. Les tabl

’ai cru que tu n’a

rant mes affaires pour mettre la tenue de service qui est une jupe dr

u ne m’as rien dit ? J’allais

t pour payer le frais

. Elle m’a laissé la commande de la table numéro 5, ils ont command

me leur commande. Ils semblent toujours si amoureux l’un de l’autre, l’homme n’arrête pas de

aules plus larges vient prendr

’est-ce que je vous s

e le liboke et la

vous apporte ça

ut apercevoir la petite cuisine ouverte, où s’active un

’arrête pour saluer une dame âgée

va aujourd’h

mais je m’en sors. Et vous avez-vous réussi v

Dis-je f

n papier mouchoir pour écri

il pour saisir le cœur de l

un de ses capricieux madame, je veu

is pas t

devant le chef cuisinier qui me rend avec un sourire av

iment la peine. Regardez cet endroit, c’est

joyeuse. >> Dit-il en mettant un

cette dame qui est élanc

madame, bon appétit !

élicieux. Mes com

une autre table où se trouve un

eu de pain pour calmer votre

upérer du pain. Je souris en apportant du pain à la table

l gris et pense à ma vie. Je reconnais avoir besoin de changeme

omment ? Je n’ai pas assez d’argent, je regardes la carte de