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Historique

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1257    |    Mis à jour : 21/02/2024

Ryan ne se précipite, la serrant fermement par la peau. Pensa

ne, sa montagne ? Il n’y avait personne à part lui sur la face est. Personne n’a été asse

er. Ce ne pouvait pas non plus être un chien sauvage : il n’en avait jamais vu ici

es-tu arri

tout le corps vibrait avec elle. Ryan secoua la têt

’avait initialement pensé lorsqu’il s’éloignait effrayé des poulets. Peut-être âgé de quatre ou cinq moi

me : il avait l’air

a clôture protégeant les poulets. Le coq, habitué à effrayer les prédate

sement et le c

me pas. Après tout, il n’avait prononcé que quelq

sur les bottes de Ryan, bondissant sur le lacet. Il att

ortis comme un grognement, mais il entendit qu

sem

la dernière fois

des caporaux qui avait fait rire Ryan. Puis, à la même heure, ils s’étaient préparés et roulaient vers

i

entale évoquée par son nom et

ers la cabane, une structure d’une seule pièce en bois brut. La porte était suffisamment solid

devant la porte ouv

pas s’il aimait entendre ses cordes vocales co

vier et d’un seul placard cloué au mur au-dessus. Il pendait un peu de travers, ma

trouvait un sac en tissu contenant la seule nourriture qu’il lui restait au monde : trois minces mo

uvait pas laisser un animal mourir de faim, n’est-ce pas ? Il était considéré comme un connard sévère parmi ses

main pour avoir un cœur, même

s la porte. Il en lança un au chiot et il se précipita pour

de était probablement plus dure que ce que les dents de chiot pouvaient probableme

de entre ses pattes, commença à travailler le tendon jusqu’à c

rappelait un chien qu’il avait eu quand il était enfant, appelé Freckles. Qu’était-il censé faire avec un chien ? Il ne pouvait pas le

n occuperait – les gens étaient toujours à la recherche de bons chiens. Mais cela impliquait de s

il voulait aménager ce jardin qui faciliterait ses hivers, il aurait besoin de graines

. L’homme a refusé de laisser Ryan partir sans lui rendre visite tous les quelques mois, mais heureusem

rmée et le soleil n’avait pas encore complètement percé la c

s flammes orange jaillirent. Il respira l’odeur de la fumée de bois et soupira devan

e à qui il pourr

i

repo

essure se reproduise, pas alors qu’il devait parcourir le terrain de piégeage aujourd’hui. Il se leva et s’étira. Le

mes lacets tranquilles. » Il considéra le chiot. Quand

’eau, puis se frottant le visage et les parties les plus désagréables. Environ une fois par semaine, il se baignait dans la riv

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