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SHANGO L'INSTRUMENT DES ANCÊTRES

SHANGO L'INSTRUMENT DES ANCÊTRES

Auteur: QuiRaz
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Chapitre 1 Les Préparatifs

Nombre de mots : 7832    |    Mis à jour : 13/02/2024

Rumeur

r prête respectif (les BÔCÓNON) sur la montagne sainte pour accueillir dans le sanctuaire sacré l’Oracle Fâ (réveillée de son long sommeille) afin d’entendre

N sort de dos comme il est de coutume, de sa suite royale. Vertu d’une tenue cousue dans du pagne tissé appelé « Kanvo » (en fon, la langue béninoise), revêtu d’un large pagne « le Sounkoli » de dix mètres environ, d’un couvre-chef «Azè » faite à base de peau de panthère…. et portant en mains le « ASEN » source d’autorité de soutiens des ancêtres. Dès sa sortie de dos, tous les notables vertus d’un haut « Booba » sur le quelle est noué un pagne, d’un couvre-chef « Gobi » faite de tissu et en main un « Sossi », se mis en genou, visage en même le sol pour saluer le Roi. Ils répétaient sans cesse « Mi do gni ouè Ahossou Hevissovi lè ton » (ce qui veut dire littéralement en français « Nous nous prosternons devant le Roi du peuple de la foudre »). A chaque fois que les notable répétaient cette phr

ables, je v

!!!!

e vous apprends rien ? les rumeurs commencent par peser et mon trône s’en retrouve menacer. Je me dois de réagir bien qu’il soit de leur p

prédit un jeune Roi, descendant des entrailles de l’actuel. A peine âgé de 17ans, il sera le roi le plus crains du pays et renverserais même des royaumes ennemis.» Alors, je veux bien sav

nt ou le peuple doute du faite que le choix des dieux se soit porté sur vous et non sur votre frère ici présent. Pour faire taire à chaque fois ses ragots, nous avons à chaque fois

rait tu que le Rois soit in

uste les faits pour qu’ensemble l’on puisse trouver une solu

fille. Le ifâ a prédit qu’elle n’était pas celle qui engendrerait le futur roi. Cela fut également le cas de la seconde. La question est : la dernière est-elle encore d’actualité

e déjà la couronne de mon vivant

ais avec certitude que le trône sur lequel vous êtes me revenait pleinement de droit étant donné que j’étais le fils ainé. Mais c’est avant que je comprenne qu’il a des force supérieur qui au-delà du désir et du réelle avait leur mots à dire sur ce choix si primordiale du souverains à même de gouverner le royaume de notre feu père. Avec recule j’ai pu remarquer que vous étiez le souvera

que je doute des ancêtres mais j’en arrive à

acté les ancêtres. Et je vous l’affirme ce ne serait tarder. Ce n’est plus qu’une histoire de mois. Mais hélas, les

ne autre épouse ! Et selon les ancêtres qui parmi

ncêtres vous guiderons. Mais attention ! parce que les an

ui sig

ens de faire attention à

puis-je tuer ma propr

de détails j’ai fai

rotéger la nouvelle reine qui viendra de ses coépo

mère de notre futur roi. Pour cette fois nous allons procéder autrement. J

t la femme parfaite ? » dit-

amoureuse et c

er, visage baissé avec un silence total. D’une main levée, la cause de ces comportements soudains répondait à leur salutation vis-à-vis de la noblesse. Tant de respect à l’égard d’un homme ! Oui mais pas que, mais d’un homme de sang royale, Prince OGOUN de son nom, fils ainé du Roi de la civilisation OGOU ORIGAN-TCHÉYI OLOUDOUN se rend chez sa belle-famille rendre visite à sa promise ODIKPÉ accompagné de sa garde rapproché. Quatre soldats au corps barricadé vertu d’une jupe de chaine d’acier pendant jusqu’au genou

depuis le temps. Tu sais bien

s dire par « ce

e question alors que tu sais trè

ouve normal que toute ses attentions et de respect vous soit accorder. Si le peuple ne vous l’accorde pas maintenant, c’est quand vous serai roi qu’ils vous l’accorderont ? Vous devrie

UN peuvent se discuter le trône si cela leur chante. Moi, une vie de modeste

Et des bêtises, vous en dites déjà, un peu trop d’ailleu

bus de langage en votre égard. Surtout pas avec cette ère enfantine et peu sérieux. Ne voyez pas vous-même, tout le monde s’indigne de votre comportement. ». Quand le prince se reprit et jeta un regard vers le peuple, ils baissèrent tous la tête comme si de rien n’était. Devant tant de fausse modestie, le prince dégouter affirmait a MONWABI « Regarde par toi-même, est-ce que tous ses gens me respect vraiment, ou font il semblant par peur que je ne leur punisse ? Toute cette fausse modestie envers ma personne, voilà là ceux pour quoi le trône ne m’intéresse guère. En vérité, peu importe la férocité dont fait preuve père, parmi tous ses gens il y en aura toujours qui ne respecterons que la couronne sur sa tête. C’est u

séparant de ma dulcinée s’est vu raccourcis comme par magie. Regarde nous y sommes. Je vous prie de m’att

gera jamais…

demander à ce que BÔCÓNON WASSIOU viennent expressément au

ne que tu meurs d’envie, bon, enfin, pas au tant

message. N’est-ce pas les servantes du palais

ns pas tarder

et OMOULOUN et son frère ODOUN discute dans la sal

-tu de notre grand frère et

immature. Du haut de mes 18ans, j’en arrive même à penser que je suis 100 fois plus mature que lui. Je n’ai jamais douté du faite qu’ODIKPÉ et notre frère se marierait un jour ! non ! le contraire m’aurait même étonné car il a toujours aimé et cela depuis leur tendre enfance.

comptes tu demandé

irs. Si elle et moi sommes encore ensemble, c’est parce qu’elle détient encore ce nectar dans sa ruche don

le est la reine du futur roi de notre royaume. Hahahaha ! la reine du futur roi. Non mais elle

ns l’histoire. Est-ce le faite que TANWA raconte partout être

ère, des deux je pens

ieux ce titre ! Serait-il mieu

ujours tout à toi et OGOUN. Je te rappelle que nous sommes

oi ? Ne me f

pas ! Et pourqu

u’à voir la manière dont il se laisse endormie par une femme et ses désirs. Et puis toi. Tu es trop jeune et peu courageux pour prétendre au trône. OGOUN t’as déjà trop dorloté et porté sous son ailes pour que oisillons que tu es, ai le courage de voler de ses p

pour l’heure, les ancêtres n’ont pas encore décidé qui de toi ou de tes frères prendraient ma place. Encore moins de quand je cesserais de poser mon gros cul sur

? » disaient-ils à l’unisson. Le Roi rétorqua « Vous n’avez

ouver. Mais comme cela n’a pas été le cas, nous somme resté discut

ère en

que je suis là, dite

h ! E

s ! J'

vous comptiez vous rendre dans trois jours au royaume AYIDOHOUED

Et

accompagné. Bien sû

m’accompagné ? Parce que je vous connais. Ce n’est sureme

fils. Et une semaine après l’inhumation l’on possède au rituel de couronnement autours

ssister à ce spectacle étant donné que nou

d’eux même que cette cérémonie n’a rien de naturel, et que seul les ancêtres son maitres de notre destin. Il y a d’un côté ODOUN, qui pense qu’il pourra toujours compter sur quelqu’un qu’il manipulera à sa guise pour se faire respecter. Et l’a

t être voudra-t-il aussi y allé. D’ailleurs en

emps passe quand il est avec sa ‘‘belle’’ ODIKPE. OBINA et ODJU égalemen

compte tu demander ta ‘

parlez-vo

ues tous les jours… A qui d’autre penses-tu ? Com

père repris alors de plus belle « Non mais attend, pourquoi évites-tu le sujet ? » d’une ère moqueuse. Mais sans se retourné le fils répond « Père le devoir m’a

nie d'hunimatio

r le crâne rasé des femmes vertu de pagne blanc nouer recouvrant leurs poitrine et des hommes torse nu vertu de pagnes blanc nouer jusqu’à la taille. Du plus petit Homme au plus vieux, tous assis, formai

des sacrifices au ASEN afin que l’esprit du roi puisse y siégé comme l’avait été celui de ses prédécesseurs. Quand il eut finit d’offrir les sacrifices au ancêtre, OWOMON arrosa le ASEN de Sodabi ; le tchapalo (boisson sucré faite à base de sorgho) puis d’eau avant d’y ajouter une mixture de farine de maïs et d’huile de palme. Après un signe de la main au bras levé, les bruits de tambours et chant s’estom

notre Roi vivra désormais au sein du ASEN comme tous ceux qui l’on précédé.

de celui qui succèdera au Roi. Pour ce fait… Jeune prince… Je vais vous demander de me rejoindre. Veillez-vous assoir devant le ASEN puis décoiffé vous puis jeté les cheveux dans les braises en appelant hau

Accepter ma dévotion, et accordé moi la force de subir les épreuves de successions.

NOU. Accepter ma dévotion, et accordé moi la force de subir les épreuves de succession

cepter ma dévotion, et accordé moi la force de subir les épreuves de successions. Q

cepter ma dévotion, et accordé moi la force de subir les épreuves de successions.

s trois jours à venir. J’y serais avec vous pour les derniers rituels de purification. Que les tambours bat à leurs pleins et les chan

s filles, elles retournèrent au palais ou elles y sont enfermées et observeront un jeune durant deux jours. Elles sortiront du palais la veille de la sortie des jeune princes de la case sacré afin de préparer l’accueil d

les lourds secrets d

emeure le roi le plus âgé de tous les rois avec ces cent six (106) ans d’âge. Malgré son vieux n’âge, il bénéficie outre sa sagesse d’une force et d’une ténacité plus que stupéfiant. Cadeau des ancêtres dit-on d’un telle prodigue qui persiste au pouvoir et lutte corps et âme avec la mort tandis que cinq de ses fils censé lui succédé ont déjà tous connu une mort qui pourrait laisser plané le doute, sauf le respect qu’accorde le peuple au souhait des ancêtres et au trône. A l’heure actuelle, seul deux de ses fils sont encore en vie dont le dernier née de 5 ans SITCHIZÔ AÏBA, seu

ter au match ! Pourtant ce n’est guère de leurs habitudes. Bien qu’ils n’ai

ent tous à l’intérieur. Mais je pense que cela ne serai

eux-tu dire par elle

ttends pas à ce que vous vous mettez à leur place, mais ce match a été organisé pour fêter les cinq ans d’anniversaire de notre fils. Et si je ne m’abuse, tous les l

N’est pas que notre fils à nous. Elles sont également mes femmes donc potentiellement c’est également leur fils. Dit m

En plus de cela elles transparaissent une fragilité du trône ouvrant ainsi les portes à de potentiel malveillants, de mettre mon autorité et ma notoriété en question. Et vois-tu ! Moi je ne peux le perm

peuvent bien s’en occ

s ma reine, tu es assez intelligente pour savoir

nière chose

on mes ordres et pire devant mes fidèles loyaux… je m’assurerai que les prochaine obsèques du royaume soit la tienne… Renseigne to

approchant doucement mais sûrement, elle se rembobinait ses paroles froides du roi dans la tête se demandant si cela n’aurait pas été qu'un rêve. Pendant ce temps, les reines censées recevoir le message, vertu de leurs plus belles tuniques menait une discussion secrète sur la mort de leurs fils et sur le comportement de leurs maris le roi. Arriver à leur porte, la jeune reine ralenti un

e date. Personne ne l’a peut-être remarqué mais c’est toujours quand mo

rce que qu’à chaque fois qu’il l’apprend il tombe sérieusement malade et

sont ses fils dont on parle ! Ces successeurs. S’ils les tuent tous, qui le succèdera. Il est bien

n d’autres prendra le trône. C’est certes notre mari mais je le connais mieux que vous tous. Après tout je l’ai conn

l ne restera pas éternellement sur le trône ! Faudra bi

des obsèques de ses cinq fils. Et comme par magie notre cher mari retrouvait une vivacité de jeune homme 1mois après. Et la goutte d’eau qui vient faire déborder le vase, ses événements se produisent pile chaque 4ans de la m

… une réalité d

e décision avant la date que vous savez, ce sera sûrement le tou

peur. Son coude toqua alors la porte et le bruit alerta les reines à leur tour apeurée que leur conversation ait été écouté, chercha à savoir qui était là. D’une main fermant la bo

st toi jeu

ma r

fait longtemps

des fils de leur coépouses ? Et si tous ce qu’il disait étaient vrai ? Et puis tout à l’heure le roi m’a murmuré quelque mot et ses choses que racontes les autres reines sur lui ne serais que la preuve de l’homme que je soupçonne qu’il soit il y’a quelque instant... Non je vais peut-être me taire. Faut que je me calme et que j’observe attentivem

reine…

e que vous le rejoigniez… sauf votre respect mes reines, nous devons nous pressé de le rejoindre parce qu’il commence à s’impatienter de

nt. Nous nous contemplons juste, histoire de porter un jugement sur nos

ôt que vous êtes venu me chercher des noises en vous

h ha

u’on y est, que pens

donc ?

non ! n’est-ce pas ce dont

Ravissante…

je dirai mêm

erc

nt que notre cher mari le r

tiation et m

ompris celui du roi sont présentés aux esprits et reçoivent les scarifications du prêtre royal TCHOUNHOKLÁN DJEGÎ et des autres prêtres sous le reg

es d’il y’a 15 ans, ayant rejoint l’armée royale, de subir les lourdes épreuves du parcourt des combattants. Une épreuve au cours du quelle seulement

ière est sur le point de quitter son fils pour rejoindre ses ancêtres. « Garde, Garde… de l’eau…. S’il vous plaît de l’eau… Mais faite vite bon sang » S’écriait fortement ODOUMI sous le poids de la peur de perdre la seul personne pour qui il comptais encore en ce monde. S’agitant et battant les murs fort blindé de la prison, les mains amoché et couverts de sang, il espérai

besoins d’eau. C’

dans ton palais. Ici c’est seulement au heure récréative que vous aurez de l’eau. Et si je ne m’abuse, vou

’il vous plaît... C’est

s qu’une seul reine, et elle et le roi ont donnés des ordres stricte que nous nous devons de respecter. Vous n’êtes plus que de sim

Me

adressé ses dernières bénédiction à son fils. « ODOUMI…. ODOUMI.» Répétait elle le visage grimaçant de douleur à chaq

vraiment désolé pour cette situatio

n. Les ancêtres le savent et j’ai confi

toire. Si je n’était pas allé raconter ce que j’avais entendu

vous dire p

tte vérité pour que cette situation ne nous arrive. Mais vu la situation et malgré mes multiples effort pour les dissuadés de te

u’un coup monté. Même si je ne sais pour quel raison et que c’est père lui-même qui a fait son cho

nsent que tu sais qu’OTCHEÏ n’est pas l

uoi

vant son couronnement, je me suis empressé d’aller voir ton oncle KÓDA OTCHEÏ pour le

du couronnement pour lui mettre la honte et qu’ils recevront la punition adé

C’est d’ailleurs la reine et lui qui ont orchestré le coup contre no

d siège sur le trône royal, S’il n’est pas de la ligné royal mourait ? Donc ce que tu me dis là n’a aucun sens. Et

à peine les dernières bénédiction de sa mère qui rendit l’âme sur ses jambes. « Mon fils, je pries les dieux que ta vie ne s’achève en ses lieux ni sous le regard ni de la bouche de tes bourreaux le jours de ton exécution. De la je m’en vais, j’implorais les dieux de te sauver de cette situation et de mettre sur ton chemin des gens qui t’aiderons à reprendre ce qui est à toi. Ton honneur et ton royaume.» sentant le corps froid de sa mère et remarquant le visage insecte de cette der

ivre

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