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Argus, La chute des Gardiens: Tome II

Argus, La chute des Gardiens: Tome II

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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1678    |    Mis à jour : 27/12/2023

t-pr

sest le second tome de la s

tome, Argus, la revanche d’Evol. Il n’est pas nécessaire d’avoir lu le

st prévue

ure à tout

l-D

tagnes

entrait par toutes les voies possibles, et se faufilait jusqu’en bas de son dos. Le vent glacial s’engouffrait dans la plus infime des portes. À aucun moment, il ne pouvait douter que ce voyage serait si

de bois. De la poche de son manteau, il se saisit de son briquet. Il s’enfonça davantage dans la caverne pour allumer son feu dans les meilleures conditions. Du premier coup, les brindilles s’enflammèrent, et il mit les mains juste au-dessus des flammes. Comme le plafo

es pupilles de félins transperçaient les ténèbres et effrayaient les enfants. Pour ne pas se gêner pendant les combats, elle tressait ses cheveux noir corbeau, en arrière. Lorsqu’elle fut en débardeur,

aleur, avant d’y mettre les graines. Celles-ci se gorgèrent d’eau et avec l’aide du manche de son poignard, elle les écrasa pour en faire une purée

de se calmer, dit-elle d’un

t, elle ne comptait pas traîner des semaines dans ces montagnes hostiles. Donc, s

elle ferma les yeux. Le lendemain, alors que la tempête soufflait sans relâche, elle comprit qu’elle devrait affronter le blizzard, coûte que coûte. Mais elle décida finalement de perdr

aque geste lorsqu’elle les tournait. Les écrits contenus dans cet ouvrage n’étaient pas accessibles à tout le monde. La langue employée était ancienne et son apprentissage

meute de loups de givre. Ils avaient la particularité d’avoir un pelage constamment gelé, qui leur donnait un aspect de cristal. Leurs canines supérieures ressortaient légèrement de la babine supérieure. Les oreilles en arrière, ils s’avancèrent vers la femme. Dans ces montagnes, il leur était difficile de trouver de la nourritur

St

’exécutèren

ps sanguinaires. Le lien était établi. Sur ses ordres, la meute resta dehors pour monter la garde. C’était une bénédiction pour elle, ca

pas, fais-toi une

rentrer dans la caverne avec la présence du feu. C’était une espèce qui le détestait. C’était sans nul doute sa dernière soiré

loups de givre devant la caverne. Elle tenait en respect la meute. À cet instant, Morl-Dérin eut une idée, qui pouvait sûrement lui permettre d’atteindre sa destination.

temple des Exclus qui se

na vers ses confrères, mais Mo

oi que tu

rlement qui résonna dans les montagnes. Enfin, il se mit en marche et Morl-Dérin le suivit, le reste de la meute derrièr

u-dessus de la neige, Morl-Dérin s’enfonçait jusqu’aux genoux. Entravant de ce fait sa marche déjà bien laborieuse. Cependant, uniquement concentrée sur son

e, car sans le loup, impossible de se repérer dans ce désert glacial. À chaque fois que le vent s’engouffrait dans sa capuche, elle croyait percevoir des voix entrer dans sa tête. Elles lui murmuraient des

a Morl-Dérin dans ce

ses poils de glace. En un rien de temps, et malgré les gémissements du loup qui se débattait dans la poigne, l’anim

! ordonna

re se mouvait sous la neige, et commença à se redresser. Morl-Dérin recula comme elle le put, empêtrée dans la poudreuse. Le dos arrondi, la créature sortit une tête à quelques pas de la femme. Ses orifices, où devaient se trouver ses yeux, tranch

? tonna Morl-Dérin d

, et ses bras soulevèrent une gerbe de neige. Morl-Dérin resta dans l’attente de ce qui allait se passer. Tandis que la machine scrutait les alentours. Là, Morl-Dérin fit un rapprochement entre son objectif

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