aire peur ! »Déclara une voix masculine paniqué

s larmes. Il a maudit à nouveau et j’ai sursauté, l’émotion négative dans son ton a piqué des couteaux dans mon estomac et j’attendais une s

ésolé ! Je t’ai fait mal ? »Demanda-t-il d’un

pas s’il s’agissait d’un piège tendu par Jade pour me blesser ou si cet homme éta

hé en le fixant avec horreur. Que fait – il ? Veut-il que je me frappe mo

irer sa paume et de me gifler aussi fort que possible. Il secoua sa main en arriè

punit-elle dans un magasin ? Ses mani

a la colonne vertébrale et avant que je ne m’en rende compte, mes mains me tirèrent sur mes pieds. Je ret

il quelqu’un pour arrêter ça ? Pourquoi le monde trav

ce qui a entraîné la libération de mes bras et j’ai reculé sur l’étagère. J’

ssion, terrifiée qu’ils rapportent à ma mère ma désobéissance.

sa voix délicate me fit frissonner le corps e

nt. Mon corps paralysé est revenu vers moi et je me suis arraché de lui, tenant mes

andé, se référant à mon doigt déc

ul par rapport aux hommes burley. Jade sera en colère si je ne suis pa

ec elle. Je ne sais pas s

e trouvait derrière moi, sautant presque hors de ma peau au contact inattendu e

libre-service, scannant l’article et glissant la carte avant de

s en r

e pattes, mettant les copeaux devant la porte et baissant la tête. Elle exige toujours que je montre la nuque q

té sur le claquement, abaissant mon corps

par mes racines et me jetant au sol sans ménagement. Elle a attrapé ses chips et a claqué la porte, se tournant vers moi

mains froides s’enroulèrent autour de ma gorge, sou

onnait, ses ongles non taillés creusaient sous ma

percuté la lampe en verre près de la porte d’entrée. Il s’est brisé lorsque mon corps l

pour la défendre à son approche. Je l’ai entendue crier quand je l’ai tranchée, alors je me suis l

u tout de suite et là, elle allait me tuer de la pire façon possible.

putain de porte avant de la défoncer ! Tu ne veu

l’éclat de verre dans ma main, sach

ix

pas revu depuis bien avant que je me souvienne, mais quelque chose à propos

euf

ela grâce à la femme de l’autre côté de la porte—la

uit

l’autre était un noisetier sans vie, les os de son visage é

ept

s la nuque. Je me suis mis à scier ma chair jusqu’à l’os. L’adrénaline masquait tout

ix

le sentant se déchirer avec du liqui

inq

ant à la fois le verre et le tracker sur le comptoir avant d’ouvrir la fenêtre tranquillement. Je n’ai pas hésité

la vie en moi. Je ne veux pas mourir physiquement

e l’expérien

que c’est que de

x être