nuit. William et Nicolas s’éloignaient en direction de la buvette quand tout à coup un grand coup de trompette résonna faisant stopper net

parents. À vous les parents, merci de les maintenir dans un périmètre raisonnable pour éviter toute brûlure qui viendrait gâcher cette joyeuse soirée. Des personnes v

rs vous pouv

ille entassée au pied du bûcher puis se propagea progressivement aux poutres les plus élevées. On entendit le craquement du bois qui crépitait. Tout l’espace alentour s’illumina de jaune et de rouge. Les

pour ne pas risquer de recevoir une flammèche. Marie et Denise n’y n’échappèrent pas. Elles se trouvèrent entraînées malgré elles. Pendant plusieurs minutes, au son de cette musique, toute l’assemblée, parents, enfants, adolesc

minutes auparavant. Mais, alors que leur but était quasiment atteint, là encore impossible d’aller plus loin, car les parents de Marie

bien tombée maintenant. Il sera bientôt onze heures et demain matin les vaches, elles, ne vont pas attendre pour qu’on vienne les traire. Elles se moquent bien de la fête. Nous devrons, comme chaque jour

rerai en même temps que Denise. Ne ferme pas la p

bien nous en informer si c’est le cas. Et tu sais qu’alors, il ne seraitplus question de sortie sans

se tourna

es deux fermes. Mais attention, pas trop tard tout de même, car pour toi comme pour Marie, faire la fête c’est bien, mais après p

soucis. Tout ira bien et le travail

vous deux. Nous rentrons. À t

quelques minutes plus tôt, en espérant y retrouver leurs deux chevaliers servants. Leur désir fut rapidement exaucé puisque quelques minutes suffirent aux deux garçons pour les rejoindre, les mai

de tel après la ronde endiablée à laquelle vous avez par

des amies une crêpe délicatement posée sur une serviette papier.

e passer ces agréables moments Mesdemoiselles, leur demanda-t-ild’un ton flatteur ?

ment envoûtée à la fois par sa prestance et p

est Marie. Nous sommes très amies toutes deux. V

ions sont faites, nous pouvons trinquer et boire à cett

nça la prem

is, mais je le trouve plus piquant au goût que celui

la regarda av

Je goûte

on verre et regarda son

trouve pas vraiment différent de celui d’avant. Le fait d’être assoiffée a d

lui aussi, porta so

Il est très bon et surtout t

vala une bonne

penséeMarie. Tu dois évidemment avoir besoin de bien te d

s à ces bonnes crêpes. Le sucre de dessus remplac

de boire son verre tout en dégustant les cr

rner sur la piste de danse. Acceptez-vo

’œil avec Nicolas avant de tendre son b

attention à mes pieds, ils sont fragiles. Ni

des personnalités. Les voilà tous lancés sur la piste, obligés parfois de jouer des coudes pour se faufiler parmi les autres couples de danseurs. Les deux amies se sentaient partic

et à mesure que le temps s’écoulait, elle se sentait de plus en plus légère, heureuse, gaie. Elle riait à chaque parole prononcée par William oubliant jusqu’à la présence de son amie. Elle était totalement subjuguée par son beau cavalier. Elle ne parvenait plus à penser à personne d’autre que lu

de nous lever demain matin pour nos travaux journaliers. Nous allons donc dire un grand merci à ces deux jeunes gens pour cette charmante soirée

ptait donc profiter encore un peu de ces instants magiques, merveilleux qu’elle n’avait jamais ressentis jusque-là. Peu lui importait les dires de son amie. Elle en avait d’ailleurs quasiment oublié la prése

alors. Je

ojets, fixa Denise pour donner

Si tu veux t’en aller, n’hésite pas. Pars ! Nicolas pourra même te raccompagn

dents pour montrer son désaccord à Willi

à tes parents et rentrer ensemble toi et moi. Il est déjà tard. Nous avons

s’assombrit. Ses lèvres se crispèrent. Elle lanç

l ! Je suis assez grande pour savoir ce que j’ai à faire. Tu peux dégager. Je n’ai pa

a réaction assez vive de son amie de toujours. Puis elle tourna les talons sans lui dire au revoir et s’éloigna à grandes enjambées. Nicolas lui emboîta le pas. Il comp

gne Denise et que nous fassion

er tant elle était encore irritée des propos et de la manière de se comp

de même pas abuser. Elle était tout à fait d’accord. La soirée avait bien débuté puis nous vous avons rencontrés. Nous étions ravies toutes les deux que vous nous ayez choisies comme cavalières. Et puis tout a basculé. Petit à petit, elle a changé. Que s’est-il passé ? Nous avons tant dansé toi et moi que je n’ai pas

Nicolas resta perplexe tout en continua

connu William au lycée où nous sommes pensionnaires la semaine. La fin de l’année scolaire arrive bientôt, nous n’avons plus beaucoup de travail à faire. Comme il semble passionné par les chevaux je l’ai invité chez moi, au haras, pour quelques jours. Nous avons en pension de superbes étalons et de belles pouliches à lui montrer

lle me rejette et m’insulte presque. Elle ne semble plus dans son état normal. Elle semblesubjuguée par William et je ne suis pas sûre qu’elle soit en sécurité avec lui. Je m’inquiète de devoir les laisser seu

sser d’une année d’étude. Aucune crainte à avoir. Crois-moi. Tu ne dois pas t’angoisser. Marie va rentrer un peu tard, certes, et demain matin, tout comme nous tous, elle aura beaucoup de mal à sortir de son lit. Je conçois

quel point lui et son ami appartenaient à une ca

ste là au bout de ce petit chemin. Je te laisse. Je rentre me coucher. Ravie d’avoir fait ta connaissance et merci pour cette soirée inoubliable passée en ta compagnie. Tu n’as plus q

aussi et peut-êtr

ais il n’avait plus le cœur à s’amuser ce soir. Il avait passé de bons moments en compagni

bout de chemin à faire pour regagner, à vélo, le haras. Nous pourrions ensemble ramener Marie chez

surge des propos de Nicol

s encore. Mais ne t’inquiète pas. Tu peux prendre ton vélo et rentrer tout seul. Je suis capable de retrouver le chemin du haras sans toi. Le temps d’arriver, ton père e

devait pas rester ici en l’attendant, mais la fatigue commençait à le gagner et il ne se voyait pas rester inactif au b

l à seul avec Marie. Il pouvait continue

s bien assez grande pour prendre tes décisions toute seule. Elle est enfin partie. Nicolas, l

oire et retourner ensuite sur la piste de danse se dit-elle. Dès le retour de Willi

ompliment à celui qui a pressé ce jus,

respires surtout la bouche ouverte d’où cette impression que tu as de gorge qui pique,

as certaine

tournait. Ses jambes flageolaient. Elle avait beaucoup de mal à se concentrer sur tout ce qui l’ento

d’aller dormir. En plus, le temps devient de plus en p

tournait davantage de minute en minute. Willi

las m’a dit que ta ferme est un peu à droi

ci à toi. Rentr