e formèrent. La cime des arbres et des arbustes oscilla tels les balancements d’un métronome. Les feuilles au sol virevoltèrent comme si elles écoutaient et suivaient une pa

es sortis du néant, les arbres de l’obscurité pour les faire aussitôt disparaître. Quel

uit. Les premières gouttes ruisselèrent sur son visage. Le froid qu’elles provoquèrent en tombant sur sa peau la fit sortir de sa torp

e au sol ? Quelle heure peut-il bien

. Elle tira d’un coup sec pour s’en dégager. De nouveau, ses tempes lui martelèrent le crâne. La pluie devenue plus importante lui lava le visage. Elle s’assit lentement. Son chemisier mouillé lui colla à la peau. Un éclair encore

l’aube n’arrive, ce qui ne devrait pas tarder, il faut que je re

ux, si bien coiffés quelques heures aup

lles ont dû se décrocher lorsque je suis tombée par terre. Je ne les vo

, mais de nouveau il lui sembl

Lui au moins pas besoin de le chercher, il est bien là, c’est déjà ça. En plus, je suis mal culottée. Certainement à cause de ce maudit jus de pommes. Je suis certaine qu’il était périmé. Il me semblait de moins e

traversa le ciel en lançant en zigzag une lumière éblouissante. Un puissant gro

vite avant d’être

ester sous les arbres. Elle sentait que ses jambes av

pommes. Je crois que je suis bonne pour

ver puisqu’il n’est pas là ! Mais oui c’est cela, j’ai rêvé ! Sinon il m’aurait relevée lorsque j’ai buté dans les cailloux ! Il a certainement eu peur de l’orage qui commençait et il s’est

et mettant son index devant sa bouche lui indiqua de ne plus aboyer ce qui risquait à coup sûr de réveiller ses parents. Puis d’un signe, elle lui indiqua de regagner sa niche pour se mettre au sec. D’une main, passée par la partie haute restée ouverte, elle réussit à ouvrir totalement la porte d’entrée. Avant de se précipiter à l’intérieur ell

iller Margot qui dormait la tête engoncée sous son oreiller. Elle attrapa une serviette afin de se sécher avant d’enfiler sa chemise de nuit qu’elle rangeait toujours bien roulée sous son trav

es plus tard, elle entendit ses parents accourir en bas dans la pièce principale. La puissance de l’orage les avait réveillés. Elle les devina scrutant par les fenêtres pour distinguer l’aile réservée aux animaux pour déceler si tout paraissait normal. Quelques meu

fants dorment, car tout ce vacarme les a peut-être réveil

Cette dernière pénétra dans la chambre d’un pas feutré. Marie l’entendit faire le tour de chaque lit pour vérifier qu’aucun sommeil n’avait été perturbé, que tout le monde dormait à

uste à temps sinon gare aux réprimande

’entendit ni le retour de ses parents, après leur inspection,

mie. Avec Denise, elles n’ont pas dû rester bien longtemps après notre départ et rentrer bien gentiment. C’est bien. Nous pouvons leur faire confiance. C’

journée s’annonce bien chargée. J’espère qu