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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1680    |    Mis à jour : 24/05/2023

rise en

en temps, mais ce n’était rien. Le seul problème apparent restait sa confusion mémorielle. Mugnier ne l’avait pas connu avant l’accident, il ne pouvait ni comp

*

re un homme d’une cinquantaine d’années, gr

et des cas d’amnésie. Je lui ai parlé de ce rêve sur la jeune fille

e et puis elle était si belle qu’il avait baissé sa garde. À sa décharge, c’est vrai qu’il se déplaçait dans le br

bserver mes réactions qu

erspicacité, mais pas seulement. Tu as perdu la mémoire et cepen

blant pour un

choc violent, mais un très grave enfoncement de la boîte crânienne, théoriquement mortel. Que t

e q

Tu étais aveugle alors que tu n’aurais pas dû l’être. Tu ne pouvais pas parler, alors que rien ne s’y opposait.

éféra s

*

an guettait ses moindres réactions. Quand ils empruntèrent la rue du Perron et passèrent devan

e de la chambre trente, est ic

? C’était ell

vous l’avez persécutée au point qu’elle a t

n, cela viendrait en son

des portes en bois ornées de fers ouvragés, et juste à côté un jardin d’hiver et un petit bassin où flottaient des nénuphars. Le pavillon était au fond. Sur le porche attendait une vieill

gard, il lui fit un signe. Elle ouvrit celle de droite. Elle donnait sur un salon austère. Il y avait un miroir, quelques tableaux, un ameublement cossu, mais vie

reconnai

No

le charmant pavillon bourgeois du 19e, mais il n’en avait jamais poussé

ent de leur perte d’ide

curieux. À propos, vo

Ou

lez répare

mais oui, sachant que rien ne

ous n’a

urqu

c’est comme SOS dépannage, on n

ous avez peur, murmura Marsan d’u

non cap

citations latines, d’où sortaient-elles, qu

ous sous

*

ance d’un malade, il fit taire sa curiosité, donna des conseils en ce

consolé ses échecs et tenté de le protéger quand était venu le temps des bêtises. Tout y passa, sa petite enfance, ses couches-culottes, ses premiers pas, ses caprices. Le fait qu’ils étaient toujours seuls tous les deux, que c’est elle qui lu

du la mémoire, bien au contraire, mais les souvenirs qui l’envahissaient n’étaient pas ceux qu’attendait la vieille dame. Il avait vécu dans cett

en apprendre plus sur les p

i tous ce

r des voitures exceptionnelles. Lui-même roulait dans un coupé Mercédès qu’il ven

mais qui ajoutaient une touche de noblesse, semblait l’attendre. C’était irrésistible. Il s’insta

*

assez sobre. Une petite porte, dans un angle, donnait sur un minuscule w.c. décoré d’un tablea

e inépuisable, de sa fantaisie, de son goût immodéré des voyages lié à une incapacité pathologique à être heureu

tableau est-il

le un coffre

cont

rès secret sur ses affaires, mais

siers. Il en choisit un au hasard : Espace quatre-vingt.C’était une résidence au nord

titres de propriété d’autres biens fonciers et immobiliers : trois étangs dans la Dombes loués à des soci

de l’entreprise

il y a une

appartenu à des célébrités. Il les faisait rapatrier dans son garage de Brignais, où une équipe

il a réussi d

ey, et l’a revendue le double. Idem pour la Lamborghini Mi

années s

chercher directement à Moscou, c’est là qu’il a eu l’idée de racheter la Packard 12de Staline, sa voitu

outes ces voitures

rioletde Goering. Le grand regret de ton père est de ne pas avoir pu racheter

rir les tiroi

t à toi m

La gentillesse d’Émilie, sa tendresse, l’amour visible qu’elle lui portait lui fit du bie

que c’est

n g

quoi

ter e

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