arl
t.< Me dit un des hommes de mon père. < Je
la porte ouverte ? Je m'étonne encore, mais mes pensées s'envo
l'argent de mon père. >S'il vous plaît. Je vous rembourserai tout. < Le propriétaire me supplie à ge
mais l'odeur de musc et
de pied dans la porte et je pointe mon
ance. Il a l'air bien bâti, mais il est certainement un peu p
la parole. Il est plus large et plus grand, mais a les mêmes cheveux noi
rs le titulaire. Sa poitrine pointe cependant dans ma direction. Il se contente de me regarder sans ém
ntenant. Je veux le fric, et tout de suite. Je sais que tu en as ass
eau et me remet l'argent qu'il doit à ma famille. Sans un mot, je sors
route. >Je ne pense pas qu'un enfant comme toi puisse s'entendre avec une
e patron, ne me quitte pas des yeux. Sa barbe de trois jours et sa mâchoire proéminente le
e, je ne rencontre pas de gars dans ce genre de