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Historique

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1730    |    Mis à jour : 20/04/2023

ut du

les lieux de mon propre accident. J’avais voyagé dans le temps et j’étais précisément apparu à ce mom

la radio fonctionnait encore. Un calme régnait tout autour de la voiture. Pas âme qui vive n’était venue. Je me demandais com

ne voulais pas le voir ni avoir la confirmation

er une éternité m’empêcha de tourner mo

urité bloquant mon sternum avec une violence telle que toutes mes côtes s’étaient brisées lors de la collision. Les yeux de la dépouille étaient restés ouverts. Mon regard, qui de mon vivant était d’un bleu ciel, avait viré couleur émeraude. Les ye

le jour semblait commencer à se lever quand une voiture finit par croiser l’accident. Elle s’était arrêtée en face de l’épave, un homme d’une cinquantaine d’années était

du jour, et assumer cette tâche à laquelle il ne s’attendait pas. Combien de personnes seraient passées

mme portait un col blanc. C’était un prêtre ou un homme d’Église. Seigneur, moi qui ne c

oux sur le rebord de la chaussée et avait commenc

se dissipant dans une fin de matinée automnale. Sans que

ici et là. J’errais entre ces quatre murs, cherchant désespéré

c’était ma sœur et son mari. Mon Dieu,

mis à

t moi, Christoph

e décidais de les observer et d

ses affaires pr

en fin de matin

n ordinateur, ses classeurs et quatre cartons avec

cupérer mon travail. J

constater qu’en arrivant vers mes affaires, la port

tte tu a

u q

st refermée toute seu

n mon ange, c’est sûre

tu qu’un courant d’air ferme cette

moi qui avais fait ça

s, si j’ose m’exprimer ainsi, et retournais à l’entrée en me

’ouvrit et claqu

! La porte s’est o

st là ! J’e

histoires de fantômes m’ont pourri la vi

’occupe pas de c

tons et m’en aller. J

i à Yves, il s

frère avai

t. Jamais ce type ne s’était intéressé à mon travail et même

ien jeté. Yves et Fred avaient dû

agnie des miens et de mes affaires faisait son petit effet. Mo

eureux de les voir, j’aurais tellement voulu

esoin. Pleurer pour évacuer. Je n’en étais plus capable. Une colère

as senti ce

commence p

bras, j’ai les poils

ent juste à côté de moi, postés à l’entrée, s

ais envie de rire, ils avaient l’air si sûr d’eux, ou du mo

’est qu’ils avaient pu percevoir quelque chose, ce qui était un début. Je me réjouissais qu’ils emba

ocha de mes

ouverte et ensuite refermée avec une telle

ue chose vous aus

t dressés et nous avons ressenti une énergie

sez que c’

n pas d

ous avons ressenti cette négativité. Peut-être n

e, nous récupérerions le travail de l’autre. Il en a toujours été ainsi et ce point

fâché car il n’arri

deux collègues à emporter le tout et retourna da

l’observais. Cette femme qui était ma sœur dans mo

ens qu’elle m’avait dit avoir entendu et même parlé avec notre grand-mère quand elle était partie. Puis quelque part v

rentes, je suis parti m’installer dans une autre ville. Elle, elle était restée chez nous, s’était mariée et ne se compli

os activités de manière extrêmement brèves. Elle igno

minente. Mais aussi étrange que celui puisse paraître, au lieu de le ran

sourire, je

oute cette distance entre nous. Que je regrettais de ne pas mieux la co

r ma bibliothèque quand

t’aime Chris.

lle avait pu m’entendre, si elle avait gard

je l’appelai par son prénom, e

arlo

reculais si rapidement qu’une

ée sortit de la pièce en

va, ça suffit

et je restais là, seul au milieu de mes

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