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Historique

Chapitre 4 Comme moi !

Nombre de mots : 3891    |    Mis à jour : 13/01/2023

J’arrivai un peu en retard à l’école. Encore une fois j’avais marché et c’était assez loin. Les élèves étaient déjà en classe. Quand

i-je avant de m’as

ait autant de peaux blanches que noires. Alors je me sentis à ma place. Là au m

ançoire. Les jambes croisées, j’admirais ma jolie robe m’arrivant aux genoux. Soudain elle venue s’assoir a

veux dis-je le plus naturellement

sautillant pour faire voler

ole il n

moment avant de pouff

’appel

e tendit-el

comme si elle voulai

ment est ce

je suis nouvelle ici j’é

e viens d’arri

pour voir : c’était une superbe voiture 4x4 noire. Lorsque l’une des vitres teintée descendit j’aperçu Jessica à l’intérieur. Elle se proposait de me ramener ce que j’acceptai volontiers.

sultait ma mère. Encore une fois, il lui réprimandait de n’avoir pas con

lir des batards de blanc. Hurlait-il haut et fort ameut

te fille ? Tu n’apportes rien de bon

etit lit carré ou dormait ma mère. Près de la porte d’entrée gisait mon matelas individuel. Le lendemain je partis très tôt à l’école marchant le ventre vide en repensant à la veille, à la façon dont ma mère était traitée da

les malheurs. Pourtant combien de fois avais-je demandé à ma mère de me révéler l’identité de mon père ?

s mon père. Son mari venait de me renvoyer de sa

oi il m’aime pas comm

je vu ses yeux brillées comme si

ma fille c’est juste qu

pas mon père de ne plus l’appel

n’ai jamais eu ré

ssez que j’arrivais à l’école san

Je t’appelle depuis tout à l’heure qu’

rien j’étais un pe

x autres ce qui était tout mon contraire. J’étais plutôt réservée

lle. On allait se promener la plupart du temps à la plage de hanse Bernard. Il no

estre passa tr

’armoire pleine de vêtements rien qu’à elle que j’en étais émerveillée. Malgré tout mon éblouissement, je ne laissais rien apparaitre. C’était devenu comme une seconde nature chez moi de ne pas extérioriser mes sentiments. On s’était mise à discuter de tout e

ucoup à cette femme

le d’un air triste que

n brun c’est

. Cette fois elle me parut plus jovial

étions admises en classes supérieur : C’était la première l’année suivante. Po

mme ma mère voir plus. Je ne saurais dire pourquoi mais avec el

gronde mais rien de méchant, était du genre à ne pas montrer ses senti

partagions tous ensemble depuis notre tendre enfance. Avec lui je me sentais sous protection, avec lui je me sentais d

vaisselle, servir les clients ou pilait les épices. Quant à la marmite nulle n’y avait droit qu’elle. Elle était la seule à préparer les

e manque donc pas pourquoi

le de chez vous alors dis

it piqué

’es pas allée la voir c’est la seule à venir prendre de tes nouvelles et à ch

ubit chez son mari de surcroit moi qu’il ne peut même pas voir en peinture. Ma mère je ne reste pas assez longtemps avec elle lorsqu’elle me rend visite à quoi cela me rappor

ur le connaitre devenu comme vital pour moi. A chaque fois que je me retrouvais seule,

ma vie av

ur le connaitre devenu comme vital pour moi. A chaque fois que je me retrouvais seule,

ma vie av

is avec leurs mères, ils mangeaient de la bouillie sur leurs vérandas respectives. C’était ainsi chez lui ! Chacune de ses femmes se débrouillait pour le diner afin de nourrir leurs progénitures. Vieux Habib ne donnait la dépense que pour le repas de 13h qui ne suffisait vraiment pas. Pour le petit déjeuner, chaque matin c’était du kinkéliba sans sucre pour tous. Chacun devait se débrouiller pour avoir du sucre. Pour ma mère et moi ce n’était pas un problème puisque le matin

xième et troisième épouses ne cessaient de mettre bas. Un véritable concours, chacune ne voulait avoir moins d’enfants que l’autre

nt ainsi à la maison à ne rien faire. Je pensais souvent à leur avenir. Ils étaient laissés à leur propre sort. Pourtant les enfants de la

re ou plus dont je ne connaissais pas, passaient voir leur père. Et

lle que Soda a eu avec

vait en retard ma mère me remit 100f p

A la porte de l’école, dès que je reconnu la voiture de Jessica, je partis

é. Me dit-elle en me prenant da

qué mais dis donc tu es ravissante

s mais toi aussi tu n’es p

en classe. Pour ce premier jour, ce n’était que des prises de contact av

raconter ses vacances. Sacrée Jess

anapé en cuir noir tellement douillé que l’on croirait rempli de plumes. Elle partit ramener des rafraichi

musclé plutôt grand, sa tête me dit quelque chose et son sourire oh my god a damné un ange !!! C’était celui sur la photo : le frèr

que c’est ? Lu

pour toi

lein de malices témoi

res et un sac à main le tout neuf. Le comble oui le comble, le clou du spectacle fut la boite qu’elle me tendit après. J’en eu le souffle presque coupé en ouvrant cette boite.

dire vraiment merci du fond du

s la meilleure amie

s vous déranger. Intervenu son

’oubliais, Aita voic

anté. A

de mêm

nt derrière moi ce qui avait pour effet de me faire sursauter. En un moment donné, j’aurais juré que l’une d’entre elles me suivait : une qui me semblait familière mais comme il faisait sombre je ne pus déceler la plaque d’immatriculation. Soudain apeurée, je me mettais à courir avant qu

me dit

m’était tr

oup. Et là ce fut comme au premier moment que je l’ai vu, je

s fait si peur. Artic

en revenant ma sœur m’a dit que tu étais partie. Et comme il fait nuit et pas

peux rentrer seule en plus ce n’est pas

ouveras pas de bus à cette heure. En plus ça n

ment bel homme Alexandre, lorsqu’il souriait ses fossettes se dessinaient surtout de profil. Etant à fond sur la route, o

t’habite la médina mais il va falloir que tu

s tu peux me laisser ici c’

r Alex et non tu me

r là….. Prend ta gauche……. C’est là arrête toi. Me

te peureuse al

rer encore les réprimandes du vieux Habib qui était assis sur sa chaise pliante à étreindre

cadeaux que je reçu, elle

la sorte ? Que va dire ton père Habib en te voyant avec ces choses lu

tremblère

e me fais pas confiance. Ces choses m’ont été offertes par une amie Jessica, on est dans la même classe depuis l’année dernière. Elle me les a rapportés de son voyage. Et pour la énième fois Habib n

ut avec le cœur gros que je m’endormie. Le lendemain comme c’était le weekend je partis chez tante

ntité de mon père ? Je suis assez grande pour co

réponses à tes questions. Donne à ta mère du temps. Sois patiente et elle s’obstine à ne rien vouloir te dire je te révèlerai du peu que je sache. Je t’en fais la

on téléphone se mit à

ps à décrocher ma chérie.

’habituer mais

asserai te voir mon frè

e bonne no

rs à dem

nt l’endroit où je vis ? Qu’allait dire le vieux Habib en voyant une autre blanche dans sa maison ? En l’annonçant à tante Aita, elle en

mpagnie me fit un boum au cœur. Le trajet se passa très bien. Bien que ce fût un peu éloigné de chez moi, nous étions descendus à l’a

mec comme lui peut être en compagnie d’une si ravissan

le monde à l’envers

z pas mal à l’aise. Je vous

ement avec elle. Ils s’entendaient parfaitement une véritable alchimie. Ma mère ne cessait de faire ses éloges peut être voyait elle en Ibou le fils qu’elle n’avait pas eu. Je me disais souvent que nos mères devraient être contraires. Que ma mère devait être celle d’Ibou et tante Aita la mienne. Après une trentaine de min

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