img Entre deux feux I  /  Chapitre 3 3 | 9.09%
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Historique

Chapitre 3 3

Nombre de mots : 2468    |    Mis à jour : 13/01/2023

i trouver un taxi. Entre temps Aita aussi rentra chez elle faisant couch

donnée comme jour de repos le lendemain. Soudain elle entendit des cris, apeurée elle écourta sa douche. Les cris provenaient de la chambre d

blié sa fille c’e

cette nouvelle et les

qu’une mère peut o

nre de mè

ste que chez

a de l’amener rendre l’enfant à sa mère avant de sortir prendre ses clés. A son retour il demandait à sa cousine de se lever pour partir et d’arrêter ses pleurs. C’est à ce m

n’as pas eu encore d’enfant. Et surtout tu donnes ton sein à

e cette petite. Dépêche-toi Soda nous allons la rendre à

st ma fille. Dit Soda avant d’éclate

n aurait pu entendre une mouche volée. Cette quiétude fut

tu te prostituais chez les blancs. On aurait préféré mourir de faim que de vivre de ce sale argent que tu nous apportais. Sort immédiatement de ma maison. Ici est un

onne n’intervenu, pas sa mère ni même son cousin chauffeur qui se proposait auparavant de l’aider. Elle longea la route avant de prendre un taxi avec l’argent qui lui restait étant donné qu’à cette heure il n’y avait plus de transport en commun. Elle n’arriva à Ouakam qu’aux environs de deux heures du matin. Toquant longueme

rs pass

u’elle eut à faire pour eux lui manquait terriblement. Elle regrettait d’avoir rencontré Arnauld dans sa vie. Cette relation maudite ne lui avait ap

s. Ces derniers campèrent toujours sur leur décision refusant tout dialogue. Il a fallu

s plus t

it là, les autres ne cessaient de la dévisager elle et sa fille. Aita qui emmena du cola en si

ça ne signifie pas qu’elle puisse être mauvaise ou qu’elle soit ainsi répudier. Vous ses parents si vous la répudiez il peut lui arriver pire dans la rue. En tant que parents vous avez des droits et devoirs envers votre enfant et le jour du jugement dernier vous devrez rendre des comptes sur l’éducation que vous ave

nce. Elle est de votre chaire et de votre sang alors vous ne

émander le pardon de tes parents. Le paradis d

demande que l’absolution. Je sais que je mérite toute votre colère mais sachez que je regrette amèrement. Pardonnez-moi,

nos coutumes et traditions et Soda a dérogé à toutes leurs règles. Plusieurs personnes sont venues ici me demander sa main et je lui ai toujours demandé son avis mais voilà le résultat. Refusant de se marier, elle fornique avec des blancs et nous ramène un enfant illégitime. Connait-elle le père de son enfant ? Reconnait-il

jour, elle partit chercher ses affaires

ison. Comme rémunération, sa patronne lui remit plus qu’elle ne lui devait. Elle parut triste de ne plus avoir cette fille sympathique qui cont

le se répandu comme un

es parents ? Non ça ne doit pas être la même Soda que je connaiss

motif de ces visites était de s’assurer qu’elle avait bien un bé

e situation. Ce vieux qui avait l’âge de son père voir plus le dégouter rien qu’aux regards. Face aux menaces de ses parents, Soda accepta sa proposition. Comme

oses tout autour de moi : mon environnement. Certains

frappaient souvent à l’insu de ma mère. Elle s’en apercevai

it pas beaucoup. Il ne pouvait pas même pas me voir en peinture. A vrai dire, il a été forcé de me recueillir pour faire plaisir à sa plus jeune ép

enfant illégitime, la Toubab qu’on prétend

. Un jour, chez elle après une longue discussion avec ma

on cursus scolaire par la classe de C.I. A cet âge, je ne comp

uettes que me faisait ma mère pour laisser ainsi pendre mes cheveux.

al beutam yi (waouh regarde ses che

ce n’étaient plus les camarades de classes mais les institutrices qui nous regardai

sage tout en gardant des traits fins comme mon nez. Par contre ma peau très claire, mes yeux verts clairs, mes longueurs capillaires, mes traits fins je

ixième à mes dix ans. A ma onzième année, j’entrais au collège public. Public parc

d’une rose. Les coépouses de ma mère se plaignaient d’inégalité de la part de leur mari. Je les entendais tout le temps insulter ma mère la traitant de garce et moi d’enfant illégitime, maudit la plupart du temps. J

ant passer en lycée après l’obtention de mon Brevet de fin d’études moyennes au premier tour avec mention, j’obtenu une bourse. C’est ai

de, je partis voir ma marraine à Ouakam. Là-bas une surprise m’attendait : elle m’offrit trois nouveaux pantalons, une paire

ait que lors des fêtes de Tabaski, de Korité et encore c’étaient des habits traditionnels que je n’aimais

n Oustaz du quartier pour apprendre l’arabe et le Coran. Je n’y passais que le temps d’une rose : ce maitre c

de fournis qui circulaient sur les nattes, je recevais des coups

ou lui-même se moquaient en me disant de ne pas souiller leur maison plus que je l’ai fait. N’y trouvant pas ma place alors je renonçai. Je re

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