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"Elle l'aime, enfin c'était le cas jusqu'à ce que l'autre vienne et chamboule tout. Elle ne sait plus où elle en est. Son cœur et son corps ne parlent plus du tout le même langage."
"Elle l'aime, enfin c'était le cas jusqu'à ce que l'autre vienne et chamboule tout. Elle ne sait plus où elle en est. Son cœur et son corps ne parlent plus du tout le même langage."
Ma rencontre avec lui a été l'élément déclencheur de toutes ces sensations dans mon corps. Moi qui attendais le grand amour et qui malgré ce désir qui me brûlait parfois le bas-ventre, avais toujours su résister à la tentation, me retrouvais devant un mec qui par sa seule personne faisait mouiller toutes les filles du lycée. Un mec qui, en un seul regard, avait enflammé mon corps bien malgré moi. Désormais tout ce que je veux, c'est qu'il me possède dans tous les sens du terme. Et mon corps ne manque pas de me le rappeler tous les jours.
Je m'appelle Anya Lamy, j'ai 18 ans. Je suis la fille discrète assise au fond de la classe, à la dernière rangée, celle que tout le monde traite de coincée, de petite pucelle. Celle qu'il ne regardera sûrement jamais.
Je suis Anya Lamy, une pucelle et j'ai envie du mec le plus populaire de mon lycée.
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PARTIE 1 : LES ENVIES D'UNE PUCELLE
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NB : LES "HORS CHAPITRES", SONT ESSENTIELS POUR COMPRENDRE CERTAINES SCENES DE L'HISTOIRE.
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Chapitre 1
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Son souffle chaud dans mon cou, me procure immédiatement des milliers de frissons. Je ferme les yeux pour profiter de ses baisers dans mon cou alors que je sens ses mains se faufiler sous mon débardeur caressant lentement mon ventre. Je gémis doucement quand ses mains atteignent ma poitrine et rougis quand je me souviens que je n'avais pas de soutien-gorge.
- Petite coquine, tu savais que je venais ce soir, pourtant tu les as laissés comme ça, sans défense.
Tout en parlant, il prend mon sein droit en coupe. Son pouce vient habilement taquiner mon téton et ses lèvres viennent caresser mon oreille.
- Je devrais te punir pour cela, murmure-t-il.
Son torse plaqué contre mon dos, je sens son membre dur se presser contre mes fesses. Soudain, d'un mouvement brusque, il me retourne et se met à califourchon sur moi. Il me regarde un moment dans les yeux avant de fondre sur mes lèvres, me prenant dans un baisé langoureux à laquelle je réponds avec joie.
Doucement, il délaisse mes lèvres et replonge de nouveau dans mon cou, mais cette fois, il ne s'y attarde pas et descend rapidement sur mes seins exposés à ses yeux parce qu'il a relevé le débardeur. Il les regarde avec appétit. Intimidée, par son regard, je m'apprête à les cacher de mes mains, mais il les attrape au vol et les maintiennent fermement au-dessus de ma tête. Je rougis de plus belle.
Il se lèche les lèvres et me fait un petit sourire au coin. Sans me quitter des yeux, il approche ses lèvres de l'un de mes seins et sort sa langue. Dans un mouvement sensuel, il la passe autour du téton durci par l'excitation sans jamais vraiment le prendre en bouche. Je grogne de frustration et ça le fait rire doucement. Bon sang ! Pourquoi joue-t-il avec moi de la sorte ?
Heureusement que la seconde d'après il reprend son sérieux et l'engloutit totalement tout en le suçant. Il relâche mes mains et vient titiller mon autre téton en le roulant entre son pouce et son index. Mes lèvres s'entrouvrent pour laisser échapper mes gémissements et ma tête se jette en arrière. Je sens ses jambes inciter les miennes à s'ouvrir pour qu'il puisse s'y réfugier. J'entends un ''clic'' et je sais qu'il s'est servi de sa main libre pour défaire sa ceinture. Il se redresse, abandonne mes seins pour descendre son jean jusqu'à ses cuisses. Je peux voir son membre dur à travers son boxer.
Ses mains reviennent sur mon corps. Elles caressent un moment mes seins pendant que lui, se presse contre mon intimité. Je le sens dans toute sa grandeur. Il m'envoie quelque coup de rein et viens me susurrer à l'oreille.
- Veux-tu que je te punisse ?
Je ne réponds pas. Il se frotte plus durement contre moi, me faisant gémir plus fort.
- Anya...
Sa main droite se faufile entre nous pour venir se poser contre mon entrejambe. Ses doigts le caressent délicatement.
- Ah ! Je lâche surprise
- Putain, tu mouilles déjà ! Allez, réponds-moi.
Je ne dis toujours rien trop absorbée par cette nouvelle sensation. Il s'écarte de moi sans toutefois cesser ses caresses. Il écarte ma culotte pour avoir un meilleur accès puis insère lentement son majeur en moi tout en caressant mon clitoris de son pouce.
- Hmm...
- Anya... Réponds à ma question.
Ses lents va-et-vient me font tourner la tête.
- Anya...
J'avais besoin de plus.
- Veux-tu que je te punisse ?
- Je...
Beaucoup plus.
- ANYA !
Mes yeux s'ouvrent subitement. Je suis là, dans ma chambre, le souffle irrégulier et mon oreiller entre les jambes. Mon corps encore sous les vibrations de l'excitation.
Je ferme très fort les yeux pour essayer de retourner là où j'étais si bien il y a quelques secondes, mais il n'y a rien à faire. Ce rêve ne veut pas revenir.
Non... Non, non, non. Tu ne peux pas partir comme ça, pas en me laissant dans cet état, pas alors que...
- Putain, Anya, tu vas te lever oui ou non ?
Merde, pourquoi je n'ai pas dit oui plus tôt à cette punition ?
- Anya ?
- TA GUEULE ! Je crie.
Je reste comme ça, les yeux fermés, priant pour que ce rêve revienne, mais impossible. Surtout avec ce con qui me hurle dans les oreilles. Le con en question est mon frère jumeau, Jack.
- Okay, mais ne viens surtout pas te plaindre si tu reçois un autre avertissement pour ton retard.
Je soupire bruyamment avant de finalement retirer mon oreiller entre mes jambes. Ma main vient automatiquement se placer sur mon entrejambe trempé. Je résiste fortement à l'envie de le caresser pour me soulager car je dois reconnaître que Jack a raison. Il faut que je me lève si je veux éviter d'être en retard.
J'entends ses pas s'éloigner et je me sens heureuse d'avoir fermé ma chambre à clé hier, j'aurais eu honte toute ma vie si mon frère m'avait surpris en train de faire l'amour avec mon coussin. Dieu, ça aurait été si humiliant ! Je secoue la tête pour y chasser cette image et descends de mon lit toujours en soupirant.
Je me retrouve face au grand miroir de ma chambre. Je ne ressemble plus à rien. Contrairement à dans mon rêve où j'étais vêtue d'un débardeur et d'une petite culotte, je suis habillée d'un simple t-shirt et d'un pantalon. Je ne porte pas de soutien-gorge comme dans mon rêve.
Voir mes tétons pointés à travers le tissu de mon t-shirt me ramène rapidement à mon songe, à la manière dont il les suçait et les chouchoutait. Inconsciemment je prends mes seins en mains, ferme les yeux et essaie de répéter ses gestes.
Si je continue, je risque vraiment d'être en retard. Mais je n'arrive pas à m'en empêcher. Je ne peux pas m'empêcher de l'imaginer, m'embrasser, me prendre dans ses bras, pas pour me câliner, mais seulement pour me posséder entièrement. Me pendre là, face à mon miroir et me faire...
- ANYA, QU'EST CE QUE TU FICHES ENCORE LÀ-BAS ?
Roh, ce n'est pas possible ! On ne peut même plus se dévorer tranquillement l'esprit dans cette maison.
Sa douce emprise dans mes cheveux me fait fermer les yeux, car une intuition m'assaille, une certitude que ses prochaines paroles vont me terrasser. Dans un murmure, il dévoile son verdict. - Retiens-le bien, Dolce, je ne t'aimerai jamais. Tout ce que je cherche en toi, c'est l'écho de sa présence, l'essence de cette femme que j'ai perdue. --- Jaden est un homme brisé par la perte sa femme lors de l'accouchement de leur fils. Chaque regard vers son fils est un rappel poignant de celle qu'il a perdue, une douleur si profonde qu'elle menace de le consumer. Lors d'un changement de route inattendu, une apparition inattendue lui donne une lueur d'espoir. Il aperçoit une femme dont la ressemblance frappante avec sa défunte épouse le laisse stupéfait et désespéré. Obsédé par son image, il est déterminé à l'avoir dans sa vie, coûte que coûte. Dolce, pour sa part, est une femme aux abois. Le seul parent qui lui reste, son frère bien-aimé, lutte contre le cancer. Il y a de l'espoir, mais ce dernier nécessite un prix élevé - une somme d'argent qu'elle peine à rassembler malgré son travail inlassable jour et nuit. Quand leurs chemins se croisent, c'est un choc violent. Jaden voit en Dolce un substitut pour la femme qu'il a perdue, et Dolce voit en lui un moyen de sauver son frère. Dans cette danse désespérée de désir et de nécessité, l'amour peut-il trouver une place ?
H Mariella a tout pour plaire : multimillionnaire à seulement vingt-sept ans, elle dirige ses entreprises d'une main de maître et contrôle tout autour d'elle. Rien ne lui résiste : ni les contrats, ni ses concurrents. Malheureusement, il lui manque une chose essentielle : l'amour. Au-delà de sa notoriété et de son intelligence, elle n'a jamais rencontré un homme en qui elle pouvait avoir entièrement confiance. Mais tout bascule le jour où elle donne un cours à Harvard. Elle y fait la connaissance de John, un jeune homme aussi naïf qu'attachant. Malgré la différence d'âge qui les sépare, Mariella semble irrésistiblement attirée par lui, mais une ombre la guette. En effet, quelqu'un lui en veut terriblement et essaie de la tuer. L'homme ingénu sera-t-il capable de dompter la jeune femme ? Ensemble, réussiront-ils à découvrir qui se cache derrière la personne qui lui veut du mal ? La femme d'affaires acceptera-t-elle de lui faire confiance au point de lui confier sa vie et son cœur ?
Après une nuit d'amour avec un homme qu'elle venait à peine de rencontrer, Mercy, une jeune stripteaseuse, commet un vol dans la maison de ce dernier, acte irréfléchi qu'elle regrettera beaucoup trop tard. Alors qu'elle pensait ne plus jamais le revoir, le destin en décide autrement lorsqu'elle est emmenée à intégrer sa famille d'une manière très particulière.
Pour Stella, le mariage a été un lit d'épines. Elle a vécu comme une esclave pendant six ans, s'occupant de tout pour son mari. Un jour, Waylon, son mari insensible, lui a dit : « Ayla va bientôt revenir. Tu dois déménager demain. » « Je veux divorcer », a répondu Stella. Elle est partie sans verser une larme ni essayer de dissuader Waylon. Quelques jours après leur divorce, ils se sont revus. Mais Stella se trouvait dans les bras d'un autre homme. Le sang de Waylon s'est mis à bouillir en la voyant si heureuse. « Alors, tu n'as même pas pu attendre un peu avant de te jeter dans les bras d'un autre homme ? », a-t-il demandé avec dégoût. « Tu te prends pour qui pour remettre en cause ma décision ? C'est ma vie, c'est moi qui décide. Ne te mêle pas de mes affaires ! » Stella l'a fusillé du regard avant de se retourner pour regarder son nouvel homme avec des yeux brillants. Waylon a immédiatement perdu les pédales.
Après trois années sans amour, la trahison de Neil a profondément blessé Katelyn. Elle n'a pas tardé à se débarrasser de cette crapule ! Après le divorce, elle s'est consacrée à sa carrière. Devenue une icône vénérée, elle s'est fait connaître en tant que styliste de haut niveau, médecin compétent et pirate informatique de génie. Neil, conscient de sa grave erreur, a tenté en vain de la reconquérir, mais il a été témoin de son magnifique mariage avec un autre. Alors que leurs vœux sont diffusés sur le plus grand panneau d'affichage du monde, Vincent a glissé une bague au doigt de Katelyn et a déclaré : « Katelyn est maintenant ma femme, un trésor inestimable. Que tous ceux qui la convoitent prennent garde ! »
Après cinq ans de mariage infructueux et sans amour avec Lucien Albrecht, un magnat des affaires à Seattle, Ariadne était enfin à bout de ressources. Son mari a proposé le divorce le soir de leur cinquième anniversaire, ne sachant jamais combien elle avait abandonné pour son amour. Le cœur brisé, Ariadne a rompu tous les liens avec lui pour de bon, retournant à son ancienne identité.. l'héritière de Grey Enterprise. Cependant, quand elle a décidé de redevenir Alexandra Grey, Lucien s'est avéré être celui qui voulait qu'Ariadne Albrecht revienne. Tiraillée entre des luttes de pouvoir au sein de l'entreprise et le regard attentif de son ex-mari, la jeune PDG pourrait-elle enfin atteindre son objectif ? *** "En lice pour le poste de Mme Albrecht ?" Ariadne ne pouvait pas contenir son envie de rire. "Je préfère de loin construire mon propre empire plutôt que d'être la femme trophée d'un homme."
Mon monde tournait autour de Jax Harding, le séduisant ami rockstar de mon frère aîné. Dès mes seize ans, je l'ai adoré ; à dix-huit ans, je me suis accrochée à sa promesse désinvolte : « Quand tu auras 22 ans, peut-être que je me rangerai. » Cette remarque en l'air est devenue le phare de ma vie, guidant chacun de mes choix, me faisant planifier méticuleusement mon vingt-deuxième anniversaire comme le jour de notre destin. Mais en ce jour crucial, dans un bar du Lower East Side, mon cadeau à la main, mon rêve a volé en éclats. J'ai surpris la voix froide de Jax : « J'arrive pas à croire que Savvy va se pointer. Elle est toujours bloquée sur cette connerie que j'ai dite. » Puis le complot écrasant : « On va dire à Savvy que je suis fiancé à Chloe, peut-être même laisser entendre qu'elle est enceinte. Ça devrait l'effrayer pour de bon. » Mon cadeau, mon avenir, ont glissé de mes doigts engourdis. J'ai fui sous la pluie froide de New York, dévastée par la trahison. Plus tard, Jax a présenté Chloe comme sa « fiancée » pendant que ses camarades de groupe se moquaient de mon « adorable béguin » – il n'a rien fait. Lorsqu'une installation artistique est tombée, il a sauvé Chloe, m'abandonnant à de graves blessures. À l'hôpital, il est venu pour « limiter les dégâts », puis, de manière choquante, m'a poussée dans une fontaine, me laissant saigner, me traitant de « psychopathe jalouse ». Comment l'homme que j'aimais, celui qui m'avait sauvée autrefois, avait-il pu devenir si cruel et m'humilier publiquement ? Pourquoi ma dévotion était-elle perçue comme une nuisance à éteindre brutalement par des mensonges et des agressions ? N'étais-je qu'un problème, ma loyauté accueillie par la haine ? Je ne serais pas sa victime. Blessée et trahie, j'ai fait un vœu inébranlable : c'était terminé. J'ai bloqué son numéro et celui de toutes les personnes qui lui étaient liées, coupant les ponts. Ce n'était pas une fuite ; c'était ma renaissance. Florence m'attendait, une nouvelle vie selon mes propres termes, libérée du fardeau des promesses brisées.
Cheryl, une orpheline ordinaire, a réussi à épouser l'homme le plus puissant de la ville. Il était parfait dans tous les aspects, à un détail près : il ne l'aimait pas. Trois ans après leur mariage, elle est enfin tombée enceinte, mais c'est aussi le jour où son mari lui a remis les papiers de leur divorce. Il semblait qu'il était tombé amoureux d'une autre femme, et pour une raison qu'elle ignorait, il semblait croire qu'elle était également tombée amoureuse d'un autre homme. Juste au moment où elle pensait que leur relation touchait à sa fin, tout d'un coup, il ne semblait pas vouloir qu'elle parte. Elle était déjà prête à y renoncer, mais il lui a avoué son amour pour elle. Que devait faire Cheryl dans cet enchevêtrement entre amour et haine, tout en étant enceinte d'ailleurs ?
Dix-huit jours après avoir renoncé à Brendan Maynard, Jade Rousseau a coupé ses cheveux qui lui tombaient jusqu'à la taille. Elle a ensuite appelé son père, lui annonçant sa décision de partir en Californie pour étudier à Berkeley. Son père, stupéfait, l'a interrogée sur ce changement soudain, lui rappelant à quel point elle avait toujours insisté pour rester auprès de Brendan. Jade a esquissé un rire forcé, révélant la vérité déchirante : Brendan allait se marier, et elle, sa demi-sœur, ne pouvait plus s'accrocher à lui. Ce soir-là, elle a tenté d'annoncer à Brendan son admission à l'université, mais sa fiancée, Chloé Dubois, a interrompu leur conversation par un appel enjoué. Les mots tendres que Brendan adressait à Chloé ont été une torture pour Jade. Elle se souvenait du temps où cette tendresse n'appartenait qu'à elle, de la façon dont il la protégeait. Elle se souvenait aussi de lui avoir ouvert son cœur dans un journal intime et une lettre d'amour, pour le voir exploser de rage, déchirer la lettre en hurlant : « Je suis ton frère ! » Il était parti en claquant la porte, la laissant recoller méticuleusement les morceaux déchiquetés. Son amour, cependant, n'était pas mort. Pas même quand il avait ramené Chloé à la maison en lui ordonnant de l'appeler « belle-sœur ». Maintenant, elle avait compris. Elle devait éteindre ce feu elle-même. Elle devait arracher Brendan de son cœur.
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