Deux garçons se battent pour avoir l'héritage de leur papa décédé. Un combat presque sanguinaire.
Deux garçons se battent pour avoir l'héritage de leur papa décédé. Un combat presque sanguinaire.
#Dans_les_sales_draps
#Épisode_1
La nouvelle m'est parvenue quand j'étais en salle, nous étions en pleine évaluation de mathématiques, le professeur venait de lancer l'épreuve aux environs de 10h pour trois heures.
À peine j'avais commencé sur le surveillant général numéro 3 est venu m'appeler.
__ ton frère est là, il veut te parler.
__ mais monsieur je suis en pleine composition là, je dois faire comment ?
__ il insiste, il dit que c'est très urgent car ton père est sur le point de mourir et ne demande qu'à te voir. À mon avis tu devrais y aller, on trouvera une solution pour l'épreuve, quitte à enlever le coefficient de la matière.
__ non monsieur je ne veux pas, Je veux composer quoi qu'il arrive, c'est ma matière de base, je 'ne veux pas que les élèves disent plus tard que j'ai passé parce qu'on avait enlevé le coefficient.
__ ok comme tu veux alors, ton frère t'attends.
Je n'avais pas peur, de toutes les façons il n'était jamais là pour moi, si c'était ma mère de devait être prêt à tout pour la soutenir.
Mon père n'était jamais là, je ne sais même pas pourquoi mon frère s'attachait autant à lui.
Et d'ailleurs même, pourquoi il voulait me voir ? Sûrement Parce qu'il est mourant.
__ Christian je suis entrain de composer. Il y a quoi qui ne peut pas attendre deux heures pour que je finisse mon épreuve ?
__ Brad papa est malade, très malade même, on l'a amené à l'hôpital régional tout à l'heure quand tu es parti.
__ humm... pourquoi il veut me voir aujourd'hui alors qu'il n'était jamais là quand j'avais besoin de lui ? Il me veut quoi maintenant ?
__ Bradley s'il te plaît laissez vos différents de côté car sa vie est en jeu.
Honnêtement je n'avais aucune envie d'y aller, mais je me disais que si je faisais vite je pouvais me rattraper car l'hôpital où il était interné n'était pas loin de mon établissement.
J'étais au lycée de GOUACHE à BAFOUSSAM.
Mon frère Christian était moto taxi-man. Alors nous primes la route pour l'hôpital, en quelques minutes nous arrivâmes, j'eu peur de le voir, de lui parler et encore moins, de lui pardonner ses torts, il était riche certes, mais ce n'était pas ce que je voulais, pas de son argent mais de son amour.
__ entre Brad, n'aies pas peur.
j'avançai avec prudence et doucement dans la chambre d'hôpital.
Je vis mon père, il souffrait et cela se voyait tellement sur les ride de son visage.
On ne pouvait plus l'appeler PÈRE YOR comme on le faisait jadis quand il était encore en pleine forme.
Je le regardai, il fit pareil, il prit ma main, la Serra fort, bien qu'il n'avait plus assez de force pour que je ressente cette force, je pouvais néanmoins sentir qu'il voulait certainement me parler, me dire un truc de tes important, mais quoi donc ?
Que devait-il me dire qui pourrait combler toutes ses années de souffrance qu'il m'avait infligé ?
Pleine étaient les questions que je me posais mais sans réponse immédiate, évidemment il était là, peut être prêt à me répondre, je ne sais pas trop.
Je n'avais pas ouvert ma bouche depuis quelques minutes que j'étais entré dans cette pièce qui sentait les médicaments, comme tous les hôpitaux d'ailleurs, mes odeurs de médicaments et des traitements.
Je n'aimais pas fréquenter les hôpitaux à cause de ça, je n'aimais pas également y être interné pour les mêmes raisons.
__ mon fils, je... je ne sais pas par où commencer, je sais bien. Que tu te poses tellement de questions, tant sur toi que sur moi aussi.
Je l'écoutais parler, je voulais qu'il finisse d'abord avant que je commence avec ma série de questions. Mais je n'eû pas me temps hélas.
__pourquoi tout ça ? Pourquoi tu m'as abandonné ? In père peut faire ça à son enfant et prétendre l'aimer ?
__ tu n'as pas idée fils, je suis vraiment désolé pour tout.
__ suis pas ton fils, honnêtement je 'e te connais même pas, maman m'avait seulement dit que tu es mon père, mais je suis sûr que c'était une erreur.
Pour moi mon père est mort il y a bien longtemps. Soit tu avais acheté ma mère pour qu'elle te présente comme mon père.
__ Bradley ne sois pas si pessimiste, je suis ton véritable père tu sais.
__ et comment tu expliques que nous sommes dans la même ville mais tu ne me laisse jamais le temps de te voir, jamais ! Même pas une fois.
Et tu me demandes de ne pas être pessimiste comment ?
__ je sais que ta douleur est grande, mais je vais te confier un secret, je ne sais pas si je pourrais car je sens ma respiration se bloquer au fur et à mesure.
Bien évidemment il n'avait pas répondu à mes questions qu'il mourut.
J'avais bien envie de pleurer, de pleurer mon père car il venait de rendre l'âme.
Mais je ne voulais pas paraître, je ne voulais pas qu'on pense que je l'aimais trop pourtant au fond de moi il n'était rien d'autre qu'un inconnu.
Christian non plus n'avait pas versé une seule goûte de larme.
C'était comme ça qu'on voyait notre père, mais il avait un peu plus de l'attention pour Christian, il était mon grand frère de deux ans. Mais il avait choisi de refuser l'école et se lancer dans la vie active.
Comme la majorité des jeunes de la ville, il avait une fille avec qui il vivait en concubinage depuis deux ans déjà et ils avaient déjà deux enfants.
J'avais toujours refusé cette vie, je n'avais jamais aimé faire souffrir l'enfant d'autrui au nom de l'amour, déjà que je ne savais pas ce que cela signifiait à l'époque, je n'avais que 18ans, j'avais une copine, Manuella, mais on avait encore rien fait, elle me dépassait en âge et cela me dérangeait parfois, même si tout le temps elle me rassurait que cela n'était pas un problème tant que nous nous aimons.
On avait appelé pour qu'on vienne récupérer le corps.
Ma mère s'en était occupée, elle n'avait pas grand-chose mais au moins je ne manquais de rien, elle s'assurait que je ne manque jamais de rien.
Je n'avais pas eu le temps de retourner au lycée vue la situation.
Ce n'est qu'après une semaine, donc le lundi prochain que j'étais allé à l'école et à tête reposée, j'avais pu composer pour être au même niveau que les autres.
Un soir pendant que j'étais avec maman à table, je lui posai certaines questions auxquelles papa n'avait pas pu répondre avant de mourir.
__ maman je ne sais pas trop mais ça fait déjà deux semaines qu'il n'est plus.
Mais j'ai l'impression se n'avoir rien perdu du tout. Pour moi il n'existait même pas, je voudrais seulement savoir si vraiment c'était lui mon père, en plus, pourquoi est-ce vous vous êtes séparez ?
__ Brad mon fils, tu es tout ce que j'ai de meilleur dans cette vie, ne l'oublie pas.
__bien sûre je sais, il y a eu quoi ? Tu esquive toujours la question quand je te la pose, ce n'est pas aujourd'hui, ça l'a toujours été.
S'il te plaît maman, pour une fois, sois honnête avec moi et dis moi tout.
__ je te comprends mon fils, tu deviens un homme et tu as le droit de tout savoir sur ton père.
Elle m'avait tout raconté, tout !
Au moins pendant deux heures elle me racontait comment ils se sont rencontrés, comment ils ont vécu jusqu'à ce que cette femme vienne de nulle part gâcher leur vie amoureuse.
C'était triste, vraiment triste. Mais j'ai l'impression que 90% de foyers sont détruits par l'infidélité.
__ Mais une chose n'est sûr, il t'aimait Brad, il avait un cœur sur toi-même s'il ne te l'avait jamais avouer.
__ il n'était même pas là pour avoir l'occasion de m'avouer maman.
Mais il y avait une chose qui n'avait pas marché, une chose qui clochait, dans toute l'histoire qu'elle m'avait raconté je n'avais pas entendu parler de Christian, de sa naissance et tout le reste.
Je n'avais pas posé la question à maman car je voyais bien qu'elle en avait déjà assez comme ça.
J'avais renvoyé mes restes de questions pour la prochaine fois.
À suivre...
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