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c'est l'histoire de quatres amies qui sont confrontés aux aléas de l'amour . La chance d'être dans une relation sérieuse et même en étant en couples ne trouvaient pas le bonheur . Trouverons t-elles l'amour de leur vie ??
c'est l'histoire de quatres amies qui sont confrontés aux aléas de l'amour . La chance d'être dans une relation sérieuse et même en étant en couples ne trouvaient pas le bonheur . Trouverons t-elles l'amour de leur vie ??
*Audrey*
Il est tellement agréable d'avoir dans ses bras le fruit de ses entrailles, ce petit être si pur et innocent qui dépend de vous mais change votre monde complètement. Me voici, dans la chambre de mon petit bébé âgé à peine de quelques semaines entrain de lui donner sa tétée, assise sur le rocking chair, le berçant tranquillement. Cette sensation de paix, de plénitude, de bonheur est présente dans cette pièce spécialement aménagé pour mon bébé jusqu'à ce qu'une femme rentre avec fracas dans la chambre. Tellement surpris, par cette entrée bruyante, mon petit bout de choux apeuré par le bruit se met à pleurer. Moi regardant l'inconnue tout aussi surprise
Moi : oh ! Mais quelle surprise ! Comment es tu entrée ? C'est Stéphane qui t'a ouvert la porte ? Et pourtant je n'ai pas entendu sonner. Dis-je tout en essayant de calmer le bébé
L'inconnu : comment je suis rentrée dis tu ? Dis l'inconnue en regardant mon enfant avec dédain
C'était étrange en même temps j'avais l'impression de la connaitre mais aussi je n'arrivais pas à l'identifier car son visage était recouvert d'une énorme capuche. Même son corps était recouvert ce qui me rendait la tâche difficile pou la reconnaître. Mais une chose était sure, c'était une personne qui ne m'était pas vraiment inconnue.
Moi : euh...d'accord...fais-je, surprise par le ton de mon interlocutrice. Mais s'il te plait quand tu rentres dans la chambre où se trouve mon bébé, je te serais reconnaissante de rentrer avec moins de bruit. J'ajoute tout d'un coup agacée.
Elle, regardant mon enfant avec dédain et mépris
L'inconnu : le bébé....Audrey pourquoi a-t-il fallu que tu tombes enceinte ?
Je ne sais pour quelle raison mais mon cœur s'est mis à battre très fort, je me sentais en danger. J'essaye de calmer le bébé qui s'était mis à pleurer de plus belle
Moi : et de quel droit tu te permets de me poser ce genre de question qui ne te regarde aucunement ? Sors de ma maison immédiatement ! Et je ne me répéterai pas !
L'inconnu : je veux le bébé, donnes le moi !
Je serre mon fils de toutes mes forces pour le protéger et me met à crier le prénom de Stéphane en espérant qu'il vienne à notre rescousse
L'inconnu : donnes le moi et je m'en vais !dit elle impatiente
Moi : tu devras d'abord me passer sur le corps.
Elle ferme les yeux et se masse l'arrête du nez avec ses doigts
L'inconnu : Tu ne me laisses donc pas le choix.
Soudainement, elle se jette sur moi et commence ainsi une bagarre. Elle réussit à m'arracher l'enfant des bras après m'avoir donné un violent coup de pied qui me fait tomber et cogner la tête contre le berceau. A demi inconsciente, j'essaye de toutes mes forces de la rattraper mais je n'arrive plus à bouger. J'appelle Stéphane en criant de toutes mes forces et supplie l'inconnue de me le ramener mais peine perdu. J'entends simplement les cris de mon bébé s'éloigner au fur et à mesure qu'elle s'éloigne de moi...
Tout d'un coup j'entends ce bip de mon réveil qui me réveille en sursaut ! Je constate que je suis en sueur et pourtant le climatiseur est en marche. J'ai fait un cauchemar vraiment horrible. Je regarde l'heure : 5h30 du matin. Je regarde de l'autre coté du lit, il est vide. Stéphane est surement parti faire son footing matinal. Je m'assois sur mon lit et commence ainsi à faire ma prière du matin. Tous les matins avant de quitter mon lit, je consacre toujours ma journée au Seigneur. Ma prière du matin terminée, je quitte définitivement mon lit et m'apprête pour le boulot.
Une fois habillée d'une robe chic à motifs , je descends au salon où je trouve la table joliment dressée et garnie de tout l'arsenal pour un bon petit déjeuner complet. Esquissant un sourire, je croise le regard de Stéphane qui me renvoie mon sourire.
Stéphane ,tout en se rapprochant de moi et me donnant un baiser : Bonjour mon cœur, tu es toute ravissante comme toujours, ça va ? Tu fais une de ses têtes, tu as bien dormi mon bébé ?
Moi : salut, oui ça va, t'inquiètes, juste un mauvais cauchemar mais rien de grave...
Stéphane : rien de grave ?
Moi, esquissant un sourire rassurant : t'inquiètes bébé... bon ! Et si on faisait honneur au petit déjeuner que tu nous as mijoté ? J'ajoute en détournant délibérément le sujet
Stéphane, riant d'un rire sincère : là je retrouve ma petite gourmande, allez asseyons nous.
Nous nous attablons et commençons à manger et discuter gaiement
Stéphane: Alors qu'-as-tu prévu de faire aujourd'hui après le boulot ?
Moi : je dois me retrouver avec les filles à la sortie du boulot, donc ne m'attends pas pour le dîner de ce soir
Stéphane : d'accord bébé, donc je passerai dîner chez ma maman alors
Moi: D'accord...j'aurais bien voulu t'y accompagner mais tu connais la relation que j'ai avec ta mère...
Stéphane me serrant la main rassurant : t'inquiètes pas chérie, elle finira par t'accepter. De toutes les façons elle n'a pas trop le choix puisque c'est avec toi que je compte finir ma vie
Moi, souriant de toutes mes dents : ok ! Bon mon chéri, je dois aller bosser et toi aussi d'ailleurs ! Allez passe une bonne journée, bisou je t'aime.
Je m'approche de lui et l'embrasse
Stéphane : je t'aime aussi
Me voila quittant la maison à toute allure, je démarre et m'enfonce sur la route. J'ai pu échapper aux embouteillages à temps. Je gare au parking de l'immeuble. Et je monte à mon bureau où je trouve ma secrétaire Anna, une femme âgée d'une cinquantaine d'années tellement adorable...
Moi : salut Anna, comment tu vas ce matin ?
Anna : je vais bien, et toi, comment tu vas ce matin ?
Moi : je vais bien ! Alors est ce que j'ai des rendez vous aujourd'hui ?
Anna : bien ! Déjà vous avez rendez vous à 10 heures avec Monsieur...
Et c'est comme ca que ma journée commence....
Au fait, je me nomme Audrey , jeune femme de 31 ans, mesurant 1 m 63 avec des formes assez bien placées ici et là. Sans enfant, en couple avec Stéphane , un véritable amour bien que souvent insupportable quand il le décide, depuis près de 5 ans déjà. Je suis directrice des ressources humaines dans l'entreprise familiale, une société de fret maritime. Il a été crée par mon père, qui lui est parti à la retraite cela fait moins d'un an. N'ayant eu que deux filles avec ma maman dont je suis l'ainée, en partant à la retraite, il a laissé la direction à son gendre, le mari de ma petite sœur. Cela demeure jusqu'à ce jour un sujet de discorde entre mon père et moi. Mais peu importe les tensions qu'il peut y avoir entre lui et moi je l'adore, c'est mon papounet.
A suivre...
*Emily* Cinq ans. J'ai perdu cinq années de ma vie dans une fichue cellule ! La raison ? Pour un crime que je n'ai même pas commis ! Je me souviendrais toujours de ce jour, ce jour qui a tant basculé ma vie. C'était mon mariage, j'étais tellement heureuse, mais il a fallu que quelqu'un gâche ce merveilleux moment de ma vie qui n'a duré que quelques minutes. Le corps sans vie de ma belle-soeur, Paulina, restera à jamais gravé dans ma mémoire. Elle était si douce et si gentille. Alors pourquoi la tuer ? Pourquoi tuer une fille aussi innocente ? J'étais effondrée après avoir découvert son corps, sans vie, dans ma chambre gisant sur le sol. Il y avait du sang partout. Partout. Mais ce qui m'a le plus blessé, c'est que toute les personnes en qui j'avais confiance n'ont pas hésité à me pointer du doigt en me traitant de meurtrière. J'ai été dévastée. Mes parents m'ont renié, mes amis m'ont tournés le dos et mon fiancé m'a craché au visage des mots blessants que je n'oublierai jamais. Des mots qui m'ont transpercé le coeur. Des mots qui m'ont achevé. Je me souviens aussi de la surprise que je voulais lui faire à lui ainsi qu'à ma famille et mes amis. Cependant, je l'ai perdu après que Léo m'ait violemment frappé. Une larme coula sur ma joue en repensant à cette soirée. J'avais tout perdu. Tout. J'étais tellement naïve à l'époque que je n'ai rien vu venir. Mais tout ça, c'est terminé ! Oui, c'est terminé ! J'ai passé cinq ans de ma vie à survivre dans l'enfer qu'on appelle, la prison. Je me suis fait battre par de nombreuses prisonnières, jour et nuit. Et grâce à ça, je suis devenue plus forte ! Plus forte que je ne l'ai jamais été !
Un homme divorcé qui a été trahis par sa femme décide de ne plus jamais fait confiance aux femmes et de ne plus jamais tomber amoureux. Mais comme nous ne sommes pas maître de nos sentiments , une jeune fille appelé carla qui la vie n'a pas du tout été facile entra dans sa vie et viendra tout bousculer et l'a amené à aimer de nouveau . C'est l'histoire dont je vous ferai part .
Comme on le dit souvent , la jalousie est un maux qui tue à petit feu l'amour . C'est l'histoire d'un homme qui aime sa fiancée mais cette dernière n'est pas apprécié pas sa belle famille surtout sa belle mère alors la famille a décider d'épouser à l'homme la petite et dernière femme ( veuve) de son cousin mort . Ce qui amène la première à détruire l'amour que lui portait son mari à cause de la jalousie.
Pour Stella, le mariage a été un lit d'épines. Elle a vécu comme une esclave pendant six ans, s'occupant de tout pour son mari. Un jour, Waylon, son mari insensible, lui a dit : « Ayla va bientôt revenir. Tu dois déménager demain. » « Je veux divorcer », a répondu Stella. Elle est partie sans verser une larme ni essayer de dissuader Waylon. Quelques jours après leur divorce, ils se sont revus. Mais Stella se trouvait dans les bras d'un autre homme. Le sang de Waylon s'est mis à bouillir en la voyant si heureuse. « Alors, tu n'as même pas pu attendre un peu avant de te jeter dans les bras d'un autre homme ? », a-t-il demandé avec dégoût. « Tu te prends pour qui pour remettre en cause ma décision ? C'est ma vie, c'est moi qui décide. Ne te mêle pas de mes affaires ! » Stella l'a fusillé du regard avant de se retourner pour regarder son nouvel homme avec des yeux brillants. Waylon a immédiatement perdu les pédales.
Le jour de mes funérailles, le prêtre n'a prononcé que la moitié des prières. Dans notre somptueux hôtel particulier parisien, mon mari, Kyle Larson, passait chaque soirée avec sa maîtresse, Élise, me laissant seule face à ma maladie incurable. Mon cœur, déjà brisé, s'est contracté quand son regard glacial m'a ordonné de ne plus approcher celle qu'il qualifiait de « fragile ». Il a balayé du revers de la main ma toux insistante et les taches de sang que je crachais, m'accusant de simuler pour attirer son attention. Humiliée et mourante, j'ai tout sacrifié pour ma famille : mon statut, mon nom, ma dignité, me réduisant à la servante d'Élise, dans l'espoir de fléchir Kyle. Mon père est mort d'un chagrin causé par la cruauté de Kyle, et ma sœur, enceinte, a succombé à une fausse couche sur le bord de la route, sous le regard indifférent de cet homme qui nous a dépassées en voiture. À ma mort, je me suis demandé : comment pouvais-je être la seule à me souvenir de l'horreur de cette vie ? Pourquoi étais-je la seule prisonnière de ces souvenirs ? Puis, une violente quinte de toux m'a secouée, et je me suis réveillée. La date sur le journal était familière. Le jour de mon mariage. J'avais une seconde chance de changer mon destin, mais l'homme à mes côtés portait le même visage et la même âme torturée que celui qui m'avait détruite.
J'avais consacré dix ans de ma vie, mon talent de vinicultrice, à Adrien, l'homme que j'aimais et que j'aidais à reconstruire son domaine familial. Il était mon univers, ma passion, mon avenir. Un soir, la vérité, d'une brutalité indicible, m'a frappée alors que mon corps, drogué par un verre de vin, refusait de bouger. J'ai entendu Adrien confesser sans remords qu'il m'avait droguée pour voler ma précieuse souche de levure indigène, fruit de dix ans de travail acharné. Pire, il avait délibérément saboté ma cuvée expérimentale, mon "enfant" tant chéri, tout cela pour sa maîtresse Camille. L'humiliation s'est amplifiée lors de nos fiançailles, où il m'a publiquement abandonnée pour Camille simulant un malaise, sous les yeux de tous. Puis, alors que je lui donnais mon sang pour le sauver à l'hôpital, j'ai entendu sa voix arrogante et faible déclarer : « Elle m'aime autant que j'aime Camille. » Mon cœur, qui avait tant souffert, s'est figé, se transformant en un bloc de glace. Comment pouvais-je être à ce point son outil, sa béquille, lui qui m'avait réduite à rien d'autre qu'un moyen ? La douleur de la trahison était incommensurable, mais une nouvelle détermination est née de la cendre de mon amour. J'ai alors décroché mon téléphone, cherchant le numéro de Luc Bergeron, le plus grand concurrent d'Adrien. La guerre venait de commencer, et cette fois, il allait tout perdre.
À la mairie, ma voix est calme, ferme, alors que je prononce les mots : « Je veux divorcer. » Pourtant, une douleur familière me serre le cœur : le souvenir de ma vie passée, où mon fils, Léo, est mort de faim, de maladie, de négligence. Après lui, je suis morte de chagrin. Je savais ce qui allait arriver : l'emprise de Sophie, la descente aux enfers. Étienne, mon mari, capitaine de gendarmerie respecté, a juré de ne rien nous faire manquer, à Léo et à moi. Mais ses promesses se sont évaporées, étouffées par la culpabilité qu'il ressentait pour Sophie, la veuve de son frère. Les allocations de Léo finissaient dans la poche de Sophie, les jouets pour Chloé, alors que Léo portait des vêtements usés. La gifle qu'Étienne a infligée à Léo en public, aveuglé par les mensonges de Sophie, a scellé notre destin. Le souvenir le plus atroce : la fois où Sophie a forcé Léo à subir des tests douloureux, pour le seul bénéfice de sa propre fille, l'affaiblissant dangereusement. Cette fois, les choses seraient différentes. Je portais ce fardeau, cette terrible prescience de l'avenir. Je savais ce qui nous attendait si je restais avec lui : la mort certaine de mon enfant. La panique montait, la même qui m'avait étranglée sur mon lit d'hôpital après la première perte de Léo. Comment pouvais-je laisser cela arriver encore ? Puis, une seconde chance m' a été offerte, une opportunité inouïe. Pour sauver mon fils. J' ai pris sa petite main. « Léo, mon chéri, on va faire un pari. » « Si papa, quand il rentre, vient nous voir en premier, maman ne divorcera pas. » Je savais que c' était un pari perdu d' avance. Mais Léo devait le voir pour lui-même, et ma détermination à le sauver devait être absolue. Quand Étienne est rentré, il a tourné les talons vers la maison de Sophie, sans même un regard pour nous, son panier de courses à la main. Léo a laissé tomber son dessin, une larme silencieuse coulant sur sa joue, confirmant l'amère vérité. Le pari était, comme prévu, perdu. Ma colère est devenue froide et tranchante, ma résolution inébranlable. Je devais partir. Pour Léo, je devais le sauver à tout prix. Peu importe les sacrifices.
Que se passe t'il quand une jeune femme devient l'objet de désire de l'homme le plus puissant du pays ? Découvrez là de part la lecture de cette palpitante histoire
« Liliane, j'ai besoin que tu donnes un de tes reins à Chloé. » La voix calme de mon mari, Arnaud, a transformé le salon parisien en scène de cauchemar. Ma main tenant le pinceau s'est figée, l'odeur réconfortante de la térébenthine me soulevant désormais le cœur. Un rein. Pour Chloé, sa jeune stagiaire, la femme pour qui il me négligeait depuis des mois. La demande, monstrueuse, a eu peine à être traitée par mon cerveau. « Ses reins sont en train de lâcher, a-t-il poursuivi sans la moindre émotion. Tu es compatible. C'est la solution la plus simple. » La solution la plus simple. Comme si j'étais un objet, interchangeable. Une douleur fulgurante m'a frappée, voilant ma vision. Puis, une secousse. Un flash aveuglant. Je n'étais plus là. J'étais dans les flammes, entendant ma propre voix crier son nom. J'ai vu Arnaud porter Chloé hors du brasier, sans un regard pour moi, piégée. Il m'a laissée mourir. La douleur de sa trahison était mille fois pire que la poutre sur ma jambe. Quand j'ai rouvert les yeux, j'étais de retour dans cet atelier. Arnaud était là, avec la même expression froide. Ce n'était pas un rêve. C'était un souvenir de ma mort. J'étais revenue. Au jour où il m'avait demandé l'ultime sacrifice. Cette fois, les choses seraient différentes. Il ne me détruirait plus.
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