Scott pratique le SM depuis de nombreuses années. Il a entretenu plusieurs relations avec différentes femmes, partageant des moment charnels tous plus intenses les uns que les autres. Elles lui appartiennent le temps d'un contrat, le temps d'une séance. Ils les vénèrent, chacune à ses yeux est spéciale. Toutes ont un prénom cher à ses yeux, cher à son coeur, cher à ses souvenirs. Passez de plusieurs à une ? Il ne pense pas en être capable. Mais la vie est plus surprenante que l'on le croit et elles sont sur le point de le lui prouver. Surtout une d'entre elles....
Il pleuvait fort cette soirée là où tout avait commencé. Il revenait du club et, en arrivant à Paris, la pluie à l'extérieur ne faisait que renforcer son humeur massacrante. Son chauffeur conduisait tranquillement vers chez lui, mais comme poussé par le destin...
- Coris, tu peux me devancer, je vais descendre ici, dit-il avant que son chauffeur se gare. Je t'appelle si j'ai besoin de toi.
- Mais Monsieur, il pleut fortement, comment allez-vous rentrer ?
- Je vais marcher un moment. Cette pluie est l'idéal pour remettre mes idées en place.
Il quitta l'habitacle de la voiture avant de s'élancer dans les rues de Paris. Tout le monde semblait fuir la pluie autour de lui, mais lui la recherchait. Cette journée l'avait au plus haut point rendu énervé. Déjà le matin, son comptable l'avait lâché, lui laissant une tonne de paperasse et de fiscalité mal faite à régler avant la fin du mois. Il avait de prévu une séance de punition, sur une fille au club, qui s'était déroulé moins bien qu'il espérait. Il était tellement tendu, qu'il s'était un peu défoulé sur la jeune femme. Elle garderait sûrement des traces du martinet plus de 2 semaines, et non seulement de ça mais la séance n'avait point eu l'effet escompté. La jeune femme, manquait cruellement de résistance, et n'avait pas enduré sa punition du mieux qu'elle pouvait. Elle s'était réfugié comme une peureuse dans son Safe Word. Avec le temps, il arrivait à reconnaître les soumises qui donnaient de leur personne, mais pas celle-ci. Il ferait un rapport détaillé à Rebecca pour qu'elle ne l'incluse plus dans ce type de séance. Il était donc reparti, encore plus mécontent qu'il n'était arrivé et le peu de séance qu'il avait mené, ne l'avait pas libéré de sa frustration, mais encore plus tendu.
Perdu dans ses pensées, la pluie qui s'abattait de plus en plus fortement sur lui, le fit revenir à la réalité. Il ne pouvait se permettre de tomber malade maintenant. Il trouva rapidement un abris sous le paravent d'une boutique de vêtement. Il ne remarqua pas qu'à côté de lui se trouvait une autre personne sur le moment, et appela son chauffeur pour qu'il vienne le chercher, en lui donnant sa position. Un léger éternuement le sortit de sa torpeur. Juste à côté de lui, se trouvait une jeune femme : Blonde, mince, avec une poitrine alléchante que sa chemise devenue sûrement transparente, à cause de la pluie laissait entrevoir, accolée au mur et les yeux baissés. Comme tout homme l'aurait fait, il se mit à la détailler et à avoir l'envi de réconfort. Petit à petit, il se rendit compte qu'elle pleurait. Son envie se calma aussitôt. Il n'était pas du genre à apprécier ce genre de situation ou à savoir les gérer. Assez égoïste en général, il n'appréciait pas vraiment les pleurnichardes. Mais les larmes de la jeune femme, lui firent quand-même sortir son mouchoir de la poche et le lui tendre. Par pitié, par émoi, par politesse ? Lui-même n'en savait rien.
- Merci, dit-elle de sa voix frêle. Elle releva à ce moment la tête pour le fixer du regard. Elle avait pris le mouchoir, qui dégageait un parfum très marqué et très masculin, machinalement. Elle sentait bien l'embarras dans lequel elle le mettait, en gardant le silence et le minimum de bonne manière voudrait qu'elle le remercie. Ce qu'elle fit donc, mais elle ne s'attendait pas à ce qu'elle vit. Des cheveux noirs, qui lui tombaient sur le visage à cause de la pluie. Des yeux d'un vert profond, des lèvres pulpeuses, un homme de taille conséquente... Elle avait rencontré des hommes beaux, voir même très beaux. Mais lui dégageait, quelque chose en plus... Du charisme peut-être... Même sans le connaître, elle savait qu'elle pouvait se sentir en sécurité à ses côtés. Des mots, qu'elle n'aurait jamais cru entendre sortirent de sa bouche : Puis-je connaitre votre nom ?
- Ne devriez-vous pas vous présenter d'abord. Un ton calme, mais ferme, une voix envoûtante, rauque et virile. Son regard transperçant lui fit baisser les yeux et détourner le regard. Le jeune homme à côté d'elle, expira bruyamment. Je vous présente mes excuses, ma journée n'a pas été facile, je ne voulais pas être aussi sec. Je suppose à vous voir que la vôtre non plus.
Seul un rictus trahit à quel point cette journée avait été un enfer pour elle. La prévenance du jeune homme lui plut. Finalement, elle se dit que sa journée ne pouvait être pire et que passer la nuit avec lui, ne pouvait que lui permettre d'oublier sa déchéance.
Quant à lui, il était troublé. Le regard d'un bleu commun, mais recelant tant de détresse et de peine, l'avait charmé. Il voulait en savoir plus, mais il n'était pas non plus sûr de vouloir s'investir. Lorsque la jeune femme baissa les yeux à ses propos, son membre commença à réagir. Il se maudissait lui-même de sa propre faiblesse et essaya de se convaincre que c'était sa séance ratée et sa frustration, qui le faisait se comporter comme un puceau. Mais un fait en restait toujours un, il avait une furieuse envie de baiser, pas particulièrement avec la femme à ses côtés, mais juste de baiser. Néanmoins l'idée de la voir gémir sous ses coups de reins, s'insinua doucement mais sûrement dans son esprit. Ce qui n'était pas pour lui plaire. Le silence s'était installé entre eux, la jeune femme avait arrêté de parler. Mais chacun d'entre eux, semblait attendre que l'autre démarre la conversation. Ce silence n'était pas gênant pour le jeune homme. Écouter la pluie tomber semblait le détendre, plus qu'il n'aurait pu l'imaginer.
La jeune femme jetait des coups d'œil de temps à autre à celui qui se trouvait à ses côtés. Sa voix si grave l'avait charmée, elle donnerait beaucoup pour pouvoir la réentendre et surtout l'entendre lui susurrer des mots d'amour. Car si elle était bien là, complètement paumée, en pleurs et déchirée, c'était encore à cause d'un homme et de l'amour qu'elle lui vouait.
Quelques minutes plus tard, une berline noire s'arrêta devant la boutique. Le jeune homme de dirigea vers elle, avant de revenir vers elle.
- Souhaiteriez-vous que je vous ramène ?
Elle ne savait pas quoi répondre. Rentrer chez elle ? Mais elle n'en avait plus depuis la scène de cet après-midi. Mais elle savait aussi qu'elle ne pouvait fuir éternellement, tôt au tard, elle devrait affronter Donald, son fiancé ou plutôt son ex-fiancé.
- Pourriez-vous vous décider ?
La voix du bel homme en face d'elle, la fit revenir sur terre. Elle était l'une de celle qui avait grandi en sachant qu'il ne fallait pas suivre les inconnus. Mais il lui donnait confiance et lui donnait envie de le suivre.
Quant à lui, l'incertitude de cette jeune femme, certes compréhensible, commençait à l'énerver au plus haut point. Il lui aurait bien mis la fessée, mais il ne pouvait que réfréner ses ardeurs et la convaincre de la suivre. Il se faisait tard et il ne voulait pas avoir à se faire un sang d'encre pour elle. Il était certes égoïste, mais pas non plus sans cœur. Finalement, elle se décida à le rejoindre et monta dans la berline. La scène n'avait en rien échappé au chauffeur, dont il pouvait voir le sourire rayonnant sur l'un des rétroviseurs. Il détestait se donner en spectacle.
- Monsieur, j'ai pris une serviette au cas où...
- Merci Coris.
Il tendit à la jeune fille la serviette pour qu'elle se sèche et évite d'attraper la grève, mais elle semblait vouloir refuser. Ses muscles se tendirent un peu plus à mesure que des idées de punition naissaient dans son esprit. Il tentait violement de ne pas se laisser aller. Mais à chacun de ses refus d'obtempérer, son corps et son esprit n'avait qu'une envie : la faire se soumettre.
- Mais et vous ?
- Obéissez et séchez-vous, dit-il d'un ton impérieux. Les habitudes avaient la vie dure. Elle avait baissé les yeux, et avait pris la serviette sans rechigner cette fois-ci. Vous étiez dehors depuis plus longtemps que moi, dit-il en essayant de la convaincre et de la détendre. Où allons-nous ?
Il se tourna vers elle, en essayant de capter son regard. La rougeur sur ses joues, traduisait son embarras et sa peur de confrontation. Il ne voulait pas être la source de son malaise, mais elle devait se reprendre et répondre. Il expira avant de lui demander.
- Où devons-nous vous déposer ?
Il avait tenté de le lui demander doucement et presque tendrement. Elle releva ses yeux vers lui et se rendit enfin compte que la question s'adressait à elle. Elle donna son adresse rapidement, avant détourner le regard vers la vitre à côté d'elle. L'attitude de la jeune femme, commençait à le faire réagir de la manière dont il ne souhaitait surtout pas. Elle semblait perdue et complètement en détresse. Il ne pouvait se permettre d'en profiter, même si l'idée de la voir le supplier de la baiser, augmentait et la taille de son entrejambe et son envie impérieuse.
Lorsque le véhicule se mit en marche, tous deux gardèrent le silence. Elle regardait le paysage qui défilait, évitant toute confrontation. Lui semblait absorbé par son téléphone, essayant de ne pas se laisser aller et essayant de trouver une solution efficace à ses problèmes.
À mesure qu'ils arrivaient vers chez elle, elle sentit l'étau se resserre autour d'elle. Il étaient maintenant à quelques pâtés de chez elle, elle sentit qu'elle devait se décider. Soit elle tentait sa chance, soit elle ne faisait rien. Elle en avait marre de ne pas se prendre en main, mais depuis sa relation avec Donald, elle était devenue une petite chose dépendante et très indécise. Mais si il y avait bien une chose qui n'avait pas changé, c'était le fait qu'elle n'était pas stupide. Elle avait bien remarqué le regard déshabillant du jeune homme sur elle et son entrejambe légèrement gonflée. Elle ne savait pas si c'était une chance ou non, mais une chose était sûre, elle ne le laissait point indifférent. Et de cela, elle comptait bien profiter. Elle se tourna brusquement vers lui, au moment où la voiture s'arrêta devant chez elle.
- Prenez moi, dit-elle d'une petite voix. Il s'était retourné, mais semblait attendre qu'elle s'exprime pour de bon. Ne me laissez pas, ramenez moi chez vous et faites-moi l'amour, dit-elle d'une voix plus forte et en le fixant.
C'était la première fois, qu'elle se révélait de la sorte avec un homme. Elle n'était pas du genre entreprenante, ou plutôt elle ne l'était plus depuis le début de sa relation. Un sourire tendre apparut sur le visage du jeune homme. Il caressa du bout des doigts sa joue, ce qui la fit frissonner. Il dessina de son pouce, ses lèvres, la faisant gémir.
- Je ne suis pas un homme pour vous... Il se rapprocha d'elle et lui souffla à l'oreille, d'une voix ensorcelante: Je ne fais pas l'amour, je baise. Mon univers est disons assez spécial, vous ne pourriez-vous en sortir et vous y retrouver.
Elle ne le comprenait pas vraiment, mais une chose était sûre, elle le voulait. Elle était décidée à ne pas se démonter, non pas maintenant.
- Qu'en savez-vous ? Vous ne me connaissez pas, dit-elle farouchement.
Le sourire du jeune homme s'élargit. Il pensait avoir affaire à une petite brebis sans défense, mais elle semblait avoir du caractère. Elle l'intéressait au plus haut point. Il se décida à lui donner une chance. Il sortit de la poche de sa veste, une carte et un stylo. Il y inscrivit quelque chose, avant de la tendre à son interlocutrice.
- Prenez ceci, dit-il calmement. Mardi prochain rendez-vous à cette adresse et demandez d'après moi. Je vous montrerai à quoi vous vous engageriez avec moi. La portière de son côté à elle, s'était ouverte. Il prit sa main où il déposa un doux baiser. Prenez le temps d'y réfléchir calmement. Je serais présent ce soir-là, je vous y attendrai....
L'attention du jeune homme l'avait excitée. Tous ces mots semblaient receler tant de promesses, qu'elle avait peur de le croire.
- Qui dois-je demander ?
- Scott...
Elle se décida enfin à sortir de l'habitacle. Le chauffeur qui tenait sa portière lui souriait chaleureusement. Elle comptait s'en aller, quand elle sentit une pression sur son bras. Elle ressentit une légère douleur et se retourna pour trouver Scott la retenant par le bras.
- Vous semblez avoir oublié quelque chose, lui dit-il en la fusillant littéralement du regard. Ne pensez-vous pas qu'il serait temps de vous présenter ?
Cette remise à l'ordre, la fit rougir. Elle venait de manquer de politesse à son égard. Mais le regard glacial de son interlocuteur la mit sous pression.
- Stella... monsieur.
Ses 2 mots furent la seule chose qu'elle put articuler. La main du jeune homme se détendit et se retira de la sienne. Son visage auparavant dur, se détendit et un sourire apparut. Il la laissa s'en aller.
- J'espère vous revoir mardi Stella, dit-il de sa voix avec douceur. Rentrez pour que je puisse m'en aller.
Le chauffeur ferma la portière et se remit à sa place. Elle était complètement déboussolée. Elle marcha jusqu'à sa porte, la déverrouilla et rentra chez elle.
Dès qu'elle referma la porte, la voiture se remit en route. Scott se dit à ce moment-là, que sa journée n'avait pas été aussi fade qu'il l'aurait cru....
"Voilà plus de 5 ans que nous sommes mariés. 5 ans que je suis liée pour la vie à cet homme que je connais depuis mes 12 ans. Homme que j'aime depuis mon plus jeune âge. Le rêve d'une certaine manière, mais aussi des dessous moins reluisant. Le rêve de certaines personnes, de l'incongrue pour d'autres. Une histoire aussi vraie de l'intérieur qu'elle ne semble fictive de l'extérieure." Pourtant l'histoire de Camélia pourra en inspirer d'autres, pourra parler à certaines, pourra en énerver d'autres. Mais la réalité de chacune peut constituer le rêve d'une autre, ou bien le cauchemar.
Anastasia est obligée de faire face et d'accepter le décès de sa fille. Louis et elle n'ont jamais été aussi distant l'un avec l'autre. Elle se retrouve à devoir faire une choix. Sauver ce qu'il reste de son mariage avant qu'il n'y ait réellement plus rien à faire. Ou laisser les choses s'en suivre et probablement divorcer. Louis vit des moments difficiles. Son mariage court à sa perte, il vit avec la culpabilité de ses actions, son père va bientôt décéder et avec cela, d'autres responsabilités vont s'imposer à lui. Il ne peut pas compter sur sa femme, qui elle-même a beaucoup de choses à gérer de son côté. Il a besoin de soutien, mais il ne sait pas où il va le trouver. Sauf si ce dernier vient à lui spontanément sous une forme qu'ils n'auraient tous les deux peut-être pas préféré... Comment faire pour se retrouver ou Décider de se séparer ? Ils sont à la croisée des chemins. Ils feront des choix difficiles. Seul l'avenir leur dira s'ils ont bien fait. Obligatoire de lire le Tome 1 : Sous l'emprise d'un diable, le Tome 2 : Brisée par amour (suite directe) Conseillée de lire : Femme Imbrisable (pour une meilleure compréhension de toute l'histoire)
Natalia a fui. Elle s'est réfugiée à l'orphelinat où l'a envoyé Elisa. Elle a décidé de devenir nonne et de renoncer à cette vie de péché et de luxure. En dépit de tous ses efforts, les caresses, les mots, la voix et le contact de Andres reviennent la hanter. Il l'a marqué tellement profondément. Elle continue à éprouver cette chaleur épouvantable en repensant à lui. Il a marqué son cœur et son corps. Andres ne décolère pas depuis la fuite de Anastasia. Elle a trahi sa confiance, mais plus que tout a détruit les sentiments qu'il avait à son endroit. Il ne peut pas rentrer directement chercher cette femme, qui continue à l'obséder. Il doit lui-même faire face à ses ennemis et aux ombres du passé. N'empêche qu'il ne se passe pas une nuit sans qu'il ne pense à elle, à son corps et à sa vengeance quand il la retrouvera. Parce qu'il en est convaincu. Il sait qu'il finira pas la retrouver et qu'il fera tout pour que ce soit le cas. Ils se sont quittés. Pour mieux se retrouver ? Pour mieux s'aimer ? Ou pour mieux se haïr ? Obligatoire de lire le Tome 1 : Une femme imbrisable Conseillé de lire : Sous l'emprise du diable (pour une meilleure compréhension de certains éléments de l'histoire) Suite : L'emprise de l'amour
Suite de "Moi sa chose non ! ... Mais au final oui... Impératif de lire la première histoire, avant de débuter celle-ci. Elle s'est engagée avec lui. Elle s'est engagée pour eux. Trouver un nouvel équilibre après tout ce qu'il s'est passé. Trouver leur équilibre. L'amour demande des sacrifices, mais jusqu'à point sont-ils prêts à aller ? Scott T4
- À qui appartiens-tu ??? - A vous, maître... - A qui appartiens-tu ??? - A vous, mon maître... - Tu ne l'oublieras plus jamais. Les coups de cravaches s'abattent sur mon corps : dos, fesse, cuisse, ventre, seins et surtout sur mon intimité. La douleur est enivrante, mon intimité dégoulinante, mon corps près de la jouissance, mon esprit en toute quiétude... À quel moment suis-je devenue comme ça ??? Suite de Inconditionnellement sien, 5 ans après Suite : A lui définitivement ? Scott T3
Cela faisait bien plus de 2 mois que Stella avait disparu du quotidien de Scott. Entre temps chacun d'eux avait essayé de faire son petit bout de chemin, mais le destin en bon sadique ou bon entremetteur, allait les remettre sur le chemin l'un de l'autre. Des étincelles, des émotions brulantes, de la douleur, de la colère, des sentiments naissants et disparaissant sont au tournant pour nos deux personnages... Suite de Sienne pour toujours.... (à lire avant de commencer celui-là) Mais toujours quelques années avant la rencontre entre Scott et Clara dans : Moi sa chose non, mais au final oui! Scott T2
Jenna, une fille exemplaire, vit seule avec son père qui l'a élevée avec beaucoup d'amour, de discipline et de responsabilité. Mark Black, un homme très droit qui est devenu veuf très jeune, mais qui n'a pas pris d'autre engagement pour sa fille, pour vivre heureux. Mais la vie est ainsi faite, ils ont tous deux contacté une société de rencontres à l'aveugle, où ils ne parlaient pas, ils portaient des masques qui ne leur permettaient pas de reconnaître quoi que ce soit de l'identité de l'autre, sans le savoir, ils font quelque chose qui causera de la douleur, des regrets, des larmes. Pourtant, il existe une vérité non révélée qui, au bout du compte, fera que leur vie changera du tout au tout. Quelle sera cette révélation ? Quelle sera cette vérité ? Vous le saurez en lisant ce roman controversé. Où ils découvrent que le sexe se fait avec qui peut être quelque chose pour vous, mais aucun ne sait rien de l'autre, car tout se fait en silence et avec des masques, mais il y a aussi des dictons comme "RIEN N'EST CE QU'IL SEMBLE ÊTRE". L'amour va surmonter des obstacles très difficiles et ses protagonistes devront avoir la force de les franchir, parce que parfois l'amitié et la fidélité sont quelque chose de temporaire, parfois la personne dont vous devez prendre soin est celle que vous appréciez le plus, les amis ne sont pas toujours ce qu'ils semblent être et disent vous aimer. Parce que parfois l'amitié se camoufle dans votre pire ennemi.
Sheila ne pouvait pas réfuser lorsque sa famille l'a forcée à épouser un homme âgé et horrible. Dans un accès de rage, elle a engagé un gigolo pour jouer le rôle de son mari. Elle pensait que le gigolo avait besoin d'argent et faisait cela pour gagner sa vie. Elle ne savait pas du tout qui il était réellement. Un jour, il a enlevé son masque et s'est dévoilé en tant que magnat mondial. Cela marquait le début de leur amour. Il l'a comblée de tout ce qu'elle pouvait désirer. Ils étaient heureux. Cependant, des circonstances inattendues ont bientôt menacé leur amour. Est-ce que Sheila et son mari pourront traverser la tempête ? Découvrez-le !
Rena est entrée dans une liaison avec Waylen, un milliardaire, un soir où elle avait trop bu. Elle avait besoin de son aide, tandis qu'il était attiré par sa beauté. Ainsi, ce qui devait être une aventure d'une nuit s'est transformé en quelque chose de sérieux. Tout allait bien jusqu'à ce que Rena découvre que le cœur de Waylen appartenait à une autre femme. Lorsque son premier amour est revenu, il a cessé de rentrer à la maison, laissant Rena seule toutes les nuits. Elle a supporté cela jusqu'à ce qu'elle reçoive un chèque et une note d'adieu un jour. Contrairement à ce à quoi Waylen s'attendait, Rena avait un sourire sur son visage en lui disant au revoir. « Ça a été amusant, Waylen. J'espère que nous ne croiserons jamais nos chemins. » Mais comme le destin l'aurait voulu, leurs chemins se sont de nouveau croisés. Cette fois, Rena avait un autre homme à ses côtés. Les yeux de Waylen brûlaient de jalousie. Il a craché : « Comment as-tu pu te mettre avec un autre homme ? Je pensais que tu n'aimais que moi ! » « Comme tu l'as dit, aimais, c'est du passé ! » Rena a jeté ses cheveux en arrière et a rétorqué : « Il y a plein de poissons dans la mer, Waylen. De plus, c'est toi qui as demandé une rupture. Maintenant, si tu veux sortir avec moi, tu dois attendre ton tour. » Le lendemain, Rena a reçu sur son compte des milliards et une bague en diamant. Waylen est réapparu, s'est agenouillé et a dit : « Puis-je m'intercaler dans la file d'attente, Rena ? Je te veux toujours. »
Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.
Kalinda Mon cœur est comme du verre cristallin très fragile. Il se briserait à rien. Non. Je corrige! Il a déjà été brisé. Piétiné encore et encore par mes parents adoptifs et ma sœur cadette. Aussitôt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sœur adorée… Je n'étais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intérêt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptée, si c'était pour m'abandonner, de même que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me défendre. Je ne dois même jamais m'agiter… plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cœur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'être si durement traitée depuis l'enfance… Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter… ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermé dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la défaite contre ma sœur cadette encore et encore… Acceptant l'éloignement constant de mes parents, petit à petit... jusqu'à être reniée et chassée de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'étaient si proches! Acceptant aussi tous mes rêves brisés. Mais c'était avant qu'il entre dans ma vie… lui… cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent à Orlando qu'il a un cœur de glace! Il est devenu ma rédemption. Mon jardin secret. Ma fragile espérance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rêve très vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve à mon chevet à mon réveil, dans cette chambre d'hôpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissé croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonné vie. Comment pourrais-je lui témoigner mon éternelle reconnaissance? «Épousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libérateur. Même s'il désirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hésiter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruauté que toutes ces femmes décrivent? Petit à petit j'apprends à découvrir que derrière cette façade très cruelle, se cache en fait un homme très tendre!
Dans le quartier résidentiel West Brunswick Il était dix heures du soir. J'ai ouvert la porte et je suis entrée dans une maison J'ai allumé les lumières Les lumières du lustre en cristal de la chambre d'amis ont projeté mon ombre sur les fenêtres du sol au plafond Cette maison serait mon domicile conjugal demain Et mon fiancé Perry Bart, directeur de département d'une entreprise, était beau et attentionné J'avais beaucoup de chance d'avoir rencontré un tel homme dans ma vie Selon les traditions du mariage , nous ne pouvions pas nous voir la nuit précédant le mariage Perry était dans notre domicile conjugal tandis que je vivais dans la maison de ma meilleure amie Liliana Avant d'aller me coucher, j'avais vérifié les choses dont j'aurais besoin le lendemain et j'avais découvert que j'avais oublié mon voile de mariée dans notre domicile conjugal J'étais donc rentrée discrètement dans cette maison sans appeler Perry à l'avance, juste pour le surprendre En pensant qu'après demain , Perry et moi réussissions à vivre heureux ensemble pour toujours , j'étais toute souriante J'ai mis mes pantoufles et je suis dirigé vers le salon En marchant, j'ai entendu des gémissements de plaisir d'une femme . J'étais choquée La porte de la chambre principale était entrouverte Et la voix féminine en est sortie Soudain, j'ai senti un feu furieux brûler en moi, et mes jambes étaient engourdies Mais je me suis quand même approchée involontairement Debout devant la porte, je pouvais clairement entendre les cris de jouissance à l'intérieur, ils devenaient de plus en plus clairs, et à chaque cri mon cœur se serrait fort La porte était à peine fermée J'ai poussé légèrement la porte et elle s'est ouverte J'ai vu des talons hauts, des sous vêtements et des bas d'une femme sur le sol Il était difficile éparpillé de ne pas imaginer des choses quand je voyais cela. J'ai supporté de force ma colère et ma panique et j'ai regardé vers le lit Un seul regard et le chagrin d'amour ont failli m'étouffe