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Je me promenais dans une forêt au crépuscule, quand je l'ai vue pour la première fois. Il était allongé au sol et blessé. Donc, je l'es ramené chez moi pour le soigner. Mais, je ne m'imaginais pas que cela prendrait une telle tournure...
Je me promenais dans une forêt au crépuscule, quand je l'ai vue pour la première fois. Il était allongé au sol et blessé. Donc, je l'es ramené chez moi pour le soigner. Mais, je ne m'imaginais pas que cela prendrait une telle tournure...
Je suis au lycée, en dernière année et en ce moment en cours d'art. Pour être encore plus précise, je dessine. J'adore dessiner de magnifiques paysages, qu'ils soient devant moi ou sortis de mon imagination. Parfois, c'est le mélange des deux ce qui me donne une toile incroyable.
J'ai un copain ou petit ami si vous préférez, il se nomme William. Il est plutôt pas mal. Ses cheveux blonds arrêtent à ses épaules. Son visage est particulièrement attirant et il n'a que deux ans de plus que moi. Sachant que j'en ai dix-sept, enfin... plus ou moins...
Nous sommes ensemble depuis maintenant trois jours. Nous nous entendons très bien et j'espère que ça va durer, car j'aimerais bien en tomber amoureuse, mais je me demande tout de même pourquoi il m'a choisie moi, au lieu de Béthany, la fille la plus populaire et la plus belle du lycée, car elle le suit comme un petit chien depuis un certain temps.
Quoi qu'il en soit, en ce moment il est assis à coter de moi et il discute avec un de ses nombreux amis. Quand une fille que je ne connais pas fait son apparition. Elle porte un chandail bleu très décolleté avec des pantalons moulants. Elle vient vers nous pour ensuite s'asseoir sur la table de William les jambes croisées.
- Salut Will, dit-elle sur un ton aguicheur en se penchant vers lui. Mettant en valeur son fameux décolleté.
Il la fixe de haut en bas.
- Oh, salut Patricia ! Comment ça va depuis le temps ? lui répond-il en se passant une main dans les cheveux en détournant son regard vers son livre posé sur sa table.
- Beaucoup mieux, maintenant que tu es là... continue-t-elle.
- Je vois... et sinon pourquoi t'es venu me voir ?
- Et bien, j'aimerais que tu viennes au cinéma avec moi ce soir. Si ça ne te pose pas de problème, bien sûr. Lui répond Patricia en lui faisant un clin d'œil et en se mordant la lèvre inférieure.
Non, mais oh ! Pour qui elle se prend celle-là ? Je suis sa petite amie, je suis assise à coter de lui et elle, elle vient le draguer sous mes yeux !
- Et bien, je ne crois pas que ce soit possible ma jolie, car vois-tu, se soir je vais chez Sébastien. Réponds William en désignant son ami du doigt.
De quoi parle-t-il ? Ce soir, lui et moi, nous avions prévu d'aller nous balader dans le parc au coucher du soleil et en profiter pour prendre des photos.
- Euh... Will toi et moi... ont a quelque chose de prévu ce soir, tu t'en souviens n'est-ce pas ? essayais-je de le lui rappeler.
- On avait quelque chose de prévu, mais plus maintenant. De toute façon, on pourra quand même y aller demain ou la semaine prochaine non ? Dit-il tout en m'observant et en haussant les épaules.
- Attend... quoi ! Tu veux annuler notre rendez-vous pour aller chez ton ami ?! dis-je incrédule en me levant de ma chaise.
Et moi qui voulais lui montrer mon coin préféré !
- Laisse-moi réfléchir... hum... oui ! ajoute-t-il tout bonnement en me tapotant une épaule.
- Quoi ! Mais t'es pas/
La cloche sonne indiquant la fin du cours et de la journée par la même occasion. Ce qui me coupe et m'empêche de finir ma phrase.
Patricia se lève, me regarde malicieusement, puis s'en va. Tandis que Will range ses affaires pour ensuite partir avec Sébastien sans même m'adresser un seul regard.
Je crois que je vais devoir passer ma soirée seule...
* * *
J'arrive chez moi dans mon appartement et dépose mon sac. Je récupère rapidement mon matériel pour dessiner ainsi que mon appareil photo et ressors pour me diriger vers le parc.
Ce n'est pas parce que William m'a faussé compagnie que je vais pour autant annuler mes plans. Alors là non, et dire que j'espérais en tomber amoureuse. Juste après sa déclaration je me suis dit que je pourrais essayer et voir ce que ça fait de sortir avec quelqu'un pour la première fois, mais là il commence à descendre très bas dans mon estime.
En plus, je dois me changer les idées. Mais je sais que s'il vient s'excuser, je ne pourrais pas lui dire non. Ce garçon me fait complètement perdre la tête. J'aurais trop peur de le perdre à cause d'une dispute et que tout le monde se mettent à parler de moi dans mon dos.
* * *
J'arrive dans le parc. Je décide d'aller dans mon coin à moi. C'est assez loin dans la forêt, mais je sais que je ne serais pas dérangée puisque personne n'y va. Je m'avance dans le sentier, pour ensuite le quitter afin de me rendre dans mon coin préféré.
Je traverse quelques buissons et j'y suis !
Il y a un magnifique petit ruisseau qui découle d'une petite cascade et reflète la lumière du coucher de soleil avec quelques poissons qui nagent dedans entourée de fleurs de couleurs différentes. Juste par-dessus, il y a un tronc d'arbre mort, qui me sert de pont. Je le traverse en faisant bien attention de ne pas perdre l'équilibre.
J'arrive de l'autre coter. La pelouse est d'un vert foncé et autour de ce grand espace de verdure se trouve plusieurs arbres. Il y a quelques insectes, mais aucun d'eux n'est vraiment dérangeant et je peux entendre les oiseaux chanter au-dessus de ma tête. Un peu plus loin, il y a un cerisier pleureur. Il est situé en plein milieu de ce jardin naturel. Je m'assieds toujours à cet emplacement, car il me donne une vue d'ensemble. Ce coin est vraiment magnifique, ça me rappelle la maison...
Je commence à dessiner le paysage, dont j'en ai déjà bien fait une dizaine de cet endroit.
* * *
Le crépuscule est maintenant tombé, les criquets commencent à se manifester et les oiseaux se taisent. J'ai terminé mon dessin depuis plusieurs minutes et je m'amuse maintenant à photographier le paysage. Les lucioles commencent à apparaître et à briller, tandis que je vois détaler un lapin blanc. Il traverse le vieux tronc d'arbre comme une furie et se cache dans les buissons de l'autre coter du ruisseau.
Je regarde dans la direction d'où il vient et en vois trois autres arrivés de la même façon pour partir se cacher, un gris, un noir et un brun.
- Qu'est-ce qui vous arrive... ? chuchotais-je en suivant leur déplacement avec mon appareil.
Intriguer, je range mes affaires dans mon sac à main et dépose ce dernier sur mon épaule gauche. Pour ensuite, commencer à me diriger vers l'endroit d'où les lapins sont arrivés.
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En tant que simple assistante, envoyer un message au PDG en pleine nuit pour demander des films pornos était une initiative audacieuse. Sans surprise, Bethany n'a reçu aucun film. Cependant, le PDG a répondu qu'il n'avait pas de films à partager, mais qu'il pouvait offrir une démonstration en direct. Après une nuit pleine de passion, Bethany était certaine de perdre son emploi. Mais au lieu de cela, son patron lui a proposé : « Épouse-moi, s'il te plaît, réfléchis-y. » « M. Bates, vous vous moquez de moi, n'est-ce pas ? »
Ils ne savent pas que je suis une fille. Ils me regardent tous et voient un garçon. Un prince. Les gens de leur espèce achètent des humains comme moi pour assouvir leurs désirs lubriques. Et quand ils ont fait irruption dans notre royaume pour acheter ma sœur, je suis intervenue pour la protéger. Je les ai obligés à me prendre aussi. Le plan était de s'échapper avec ma sœur dès que nous en aurions l'occasion. Comment pouvais-je savoir que notre prison serait l'endroit le plus fortifié de leur royaume ? J'étais censée rester à l'écart. Celle dont ils n'avaient pas vraiment besoin. Celle qu'ils n'ont jamais voulu acheter. Mais voilà que la personne la plus importante de leur pays sauvage, leur impitoyable roi-bête, s'est intéressée au « joli petit prince ». Comment survivre dans ce royaume brutal, où tout le monde déteste nos semblables et n'a aucune pitié pour nous ? Et comment une personne, avec un secret comme le mien, peut-elle devenir une esclave de la luxure ? NOTE DE L'AUTEUR Il s'agit d'une romance noire, au contenu sombre et mature. Très bien noté 18+ Attendez-vous à des déclencheurs, attendez-vous à du hardcore. Si vous êtes un lecteur chevronné de ce genre, à la recherche de quelque chose de différent, prêt à y aller à l'aveuglette sans savoir à quoi s'attendre à chaque tournant, mais désireux d'en savoir plus de toute façon, alors plongez ! Par l'auteur du best-seller international : « L'esclave détestée du roi Alpha ».
Après deux ans de mariage, Kristian a lâché une bombe. « Elle est revenue. Divorçons. Demande le prix que tu veux. » Freya n'a pas discuté. Elle a juste souri et a fait ses demandes. « Je veux votre supercar la plus chère. » « D'accord. » « La villa à la périphérie. » « D'accord. » « Et la moitié des milliards que nous avons gagnés ensemble. » Kristian s'est figé. « Quoi ? » Il la trouvait ordinaire, mais Freya était le génie à l'origine de leur fortune. Et maintenant qu'elle est partie, il ferait n'importe quoi pour la reconquérir.
Après avoir caché sa véritable identité pendant les trois années de son mariage avec Colton, Allison s'est engagée à fond, mais elle s'est retrouvée négligée et poussée vers le divorce. Découragée, elle a entrepris de redécouvrir sa véritable personnalité - une parfumeuse talentueuse, le cerveau d'une célèbre agence de renseignements et l'héritière d'un réseau secret de pirates informatiques. Conscient de ses erreurs, Colton a exprimé ses regrets : « Je sais que j'ai fait des erreurs. S'il te plaît, donne-moi une autre chance. » Pourtant, Kellan, un magnat autrefois handicapé, s'est levé de son fauteuil roulant, a pris la main d'Allison et s'est moqué avec dédain : « Tu crois qu'elle va retourner avec toi ? Tu rêves ! »
En regardant les papiers du divorce, mes lèvres se sont courbées en un sourire moqueur. 'Quelle grande idiote suis-je ? Comment peux-je penser qu'il donnera une chance à ce mariage ? Comment puis-je oublier que je n'étais pour lui qu'un outil pour se défouler jusqu'à ce que sa bien-aimée Tina revienne. Puisqu'elle est revenue, comment pourrait-il me laisser là ?' "Après avoir signé ces papiers, vous recevrez 100 millions de dollars en guise de pension alimentaire." ajouta l'avocat. A cause de ses paroles, je suis revenue à mes esprits, ai pris le stylo qu'il me tendait et ai signé mon nom. J'étais aussi épuisée par ce mariage, tant physiquement que mentalement. Même si je voulais que mon enfant naisse dans une famille complète, je ne voulais pas qu'il ait une belle-mère et vive misérablement comme moi pour le reste de sa vie. Après avoir pris les papiers de ma main, l'avocat m'a donné la carte bancaire, a fait demi-tour et s'apprêtait à partir quand il s'est arrêté à la porte. Il s'est ensuite retourné et a ajouté : "M. Leblanc a dit qu'il espérait que vous ne le harcellerez pas, sinon vous devrez en assumer les conséquences." Les mots de l'avocat étaient comme un couteau qui me transperçait le cœur, mais j'ai quand même acquiescé. De toute façon, je ne prévois pas non plus d'avoir quoi que ce soit à voir avec lui à l'avenir. Je veux juste vivre une belle vie avec mes enfants. Après le départ de l'avocat, la chambre est retombée dans le silence. J'ai posé ma main sur mon ventre et dit à mes enfants : "Bébé, je suis désolée, maman ne peut pas t'offrir une famille complète ! Mais je te le promets, je ferai de mon mieux pour te donner l'amour d'une mère et d'un père." 'Quant à en donner un de mes enfants, je ne le ferai jamais. Ce sont mes bébés et ils ne sont qu'à moi. Je vais les mettre au monde et les élever quoi qu'il arrive...' Quatre ans plus tard... Freyja est revenue au pays avec ses trois enfants, pour hériter de l'entreprise laissée par son grand-père...
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