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Mon mari est tombé amoureux d'une stagiaire de son entreprise, Chloé. Il est parti les mains vides, me laissant la voiture, l'appartement, et tout l'argent, en échange d'un simple certificat de divorce. Il m'a dit : "Amélie, je ne peux pas trahir Chloé, et je ne veux pas te trahir non plus." J'ai juste posé une question : "Est-ce que ta Chloé a découvert aujourd'hui seulement que tu n'étais pas célibataire ?" Son regard est devenu vide, puis il a détourné les yeux. Après le divorce, il a épousé Chloé en grande pompe, diffusant même la cérémonie en direct. Sur internet, j'étais dépeinte comme l'opportuniste, l'héroïne "difficile", tandis que Chloé était la victime innocente. Les gens disaient que l'amour triomphait toujours, et que je méritais mon sort. Je n'ai pas pleuré. J'ai souri. J'ai envoyé un cadeau à leur mariage : quatre-vingt-dix-neuf couronnes mortuaires, la première souhaitant l'infertilité, la seconde une descendance nombreuse. Sept ans plus tard, lors d'une exposition d'art, je l'ai revu. Il était là avec Chloé, qui m'a dépeinte comme une "vieille peau" essayant de récupérer son mari. Ma fille, Petite, s'est alors manifestée : "Maman, qui sont-ils ?" Marc a compris que Petite était son enfant, mais Chloé a hurlé : "Un enfant ?! Tu as secrètement eu un enfant ! Tu veux utiliser cet enfant pour reprendre Marc, n'est-ce pas ?" Elle a appelé la sécurité pour me jeter dehors. "Madame Dubois ?!" L'agent de sécurité m'a regardée, respectueusement. Oui, Dubois était mon nom d'artiste, et j'étais la propriétaire de la galerie. J'ai demandé : "Jetez-les dehors."