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Des ones shot romantiques entre personnages de manga ou le lecteur n'est que plus concerné, souvent héros, à essayer de toucher le cœur de son âme sœur.
Des ones shot romantiques entre personnages de manga ou le lecteur n'est que plus concerné, souvent héros, à essayer de toucher le cœur de son âme sœur.
- Un, deux, trois, quatre et cinq, le compte est bon ! S'écria Izuku.
Le vert avait enfin réussi à regrouper ses cinq enfants pour les compter. Ils étaient tellement agités. Particulièrement ce jour-là, sachant que la famille allait partir en vacances.
- Oī les gosses ! Fermez la et montez dans la voiture.
Les phéromones que relâchait le blond étaient tellement puissant que les enfants obéirent sans broncher. Excepté la petite Kitty, qui comme l'explosif, était une alpha, les suivit un air moqueur. Il se plaça au volant de la voiture malgré les murmures du vert lui demandant de lui léguer la place.
En effet, Katsuki n'était pas le meilleur conducteur. Il roulait bien, certes, mais trop rapidement au goût de Midoriya. De plus, il avait tendance à clac sonner comme un fou en insultant les autres lorsque la circulation était bouchée.
La route ne faisait que commencer qu'Izuku paniquait déjà. Mais il était surtout inquiet pour ses enfants. N'ayant que trois places à l'arrière pour cinq enfants, ils ont été contraint d'en mettre deux sur le sol de la voiture. Et également pour le bébé qu'y était dans son ventre. En effet, lors de sa précédente période de chaleur, l'Alpha qu'est Katsuki avait mit Deku enceinte.
Lors d'un feu rouge, l'explosif tourna sa tête vers Midoriya un sourire moqueur mais en rien méchant.
- Alors Deku, tu ne supportes pas les sensations fortes ?
Ce dernier se rabaissa sur son siège, un peu honteux. Il finit par lever les yeux vers son petit ami, ou plutôt sur ses oreilles de loup qui frôlaient presque le haut de la voiture. Il a toujours aimé les caresser, faisant relâcher des phéromones de bonheur à Katsuki. C'est en quelque sorte son point faible.
Cela faisait bien des années qu'ils étaient ensemble. Pourtant, à les voir, c'était comme s'ils venaient de se déclarer. Et cela ne risque pas de changer de sitôt.
Plusieurs heures plus tard, ils arrivèrent enfin. Katsuki réveilla les enfants avec sa douceur éternelle.
- Réveillez vous sales gosses ! On est arrivés !
Accompagné de quelques explosions. Ce fut donc un réveil très agréable pour les petits. La plus grande, sortit en première non sans grogner. Elle détestait être réveillé par le plus agressif de ses deux pères. Il était trop bruyant et manquait cruellement de douceur.
Elle commençait à se diriger vers leur maison de vacances, mains dans les poches.
- Sale gosse, prends ta valise, sinon elle reste dans la voiture !
Elle soupira d'agacement avant d'utiliser son alter pour récupérer sa valise. Alter qui lui permettait de prendre le contrôle de tout et n'importe quoi, vivant ou pas. Malgré qu'elle ne puisse l'utiliser sur l'être humain, à moins de briser les règles. Elle a d'ailleurs été admise à Yuei sur recommandation dans l'optique de surpasser ses parents.
Mais revenons aux parents, justement. Izuku, étant enceinte, ne pouvait porter les sacs trop lourd. Ce fut donc à Katsuki de s'en charger sous les rires amusés des plus petits. Ce qui eut le don de l'énerver encore plus, accentuant les rires. C'était un cercle sans fin pour Katchan.
Une fois fini, il prit place à côté du vert en soupirant. Ce dernier se colla sur son torse en lui embrassant la joue. La tsundere qu'est le blond, détourna le regard, les joues rouges, tout en posant sa main sur le dos d'Izuku.
Ces heures de trajet semblaient les avoir épuisés, car ils s'endormirent ainsi, presque aussitôt.
- La lalala lalalalalalala lalalalala lalalalalalala !
Le couple ouvrit les yeux, agacé par le chant de leur plus grande fille.
- Kitty, pourquoi tu chantes ? demanda le vert d'une voix endormi.
- Pour vous réveiller ! J'ai faim ! Elle s'agitait, une mine boudeuse, comme une enfant de quatre ans.
- Il y a des chips dans un des sacs. Prends les et fous nous la paix. Dit Katsuki en serra un peu plus Izuku dans ses bras.
Elle partit en grognant. Deku s'amusait à caresser les oreilles du blond qui allait rejoindre Morphée. Mais le destin en a décidé autrement.
Un bruit peu commun avec un niveau sonore plutôt élevé se fit entendre.
Intrigué, Midoriya alla vers la source du bruit qui semblait être la cuisine, suivit de Bakugo qui en avait plus que marre.
Devant la cuisine, ils se crispèrent en voyant la pièce devenue un bordel pas possible. Les enfants, poêle en main, s'amusait à les frapper à même le sol. Les poêles étant en hauteur, en les attrapant, ils avaient tout fait tomber dans un vacarme presque assourdissant.
Izuku murmurait comme à son habitude pendant que Katsuki criait sur les enfants qui se pliaient de rire.
- Pourquoi vous avez faits ça ? demanda le vert.
- Kitty nous a dit qu'on pouvait ! répondirent-ils en choeur.
- Sales gosses ! cria le blond.
Ils rirent en s'enfuyant suivis de Bakugo. Midoriya soupira avant d'aller voir la plus grande.
- Euh, Kitty ?
- Mmh. Elle ne leva même pas la tête de son portable.
- Pourquoi tu as dit à tes frères et sœurs qu'ils pouvaient faire n'importe quoi ?
- Vous dormiez.
- Ce... Ce n'est pas une réponse !
- Je m'en fous. Tu peux partir maintenant ?
- Mais...
C'est à contre cœur que le vert parti à la recherche du blond. Quand justement, ce dernier sorti de nulle part.
- C'est bon, je me suis occupé des gosses.
- Et par occupé, tu veux dire quoi ?
- Je les ai attaché et enfermé dans la cave.
- Tu as fais quoi ?!
Izuku s'empressa d'aller vers la cave et de l'ouvrir. Et comme l'avait dit Katsuki, ils y étaient attachés. Il soupira avant de les libérer rapidement. Il retourna voir l'explosif et le fixa.
- Bah quoi ? Fini par dire ce dernier. Je voulais juste être seul avec toi, sans les gosses.
Le petit buisson esquissa un sourire avant d'embrasser son petit ami.
- Katchan, il suffisait de demander ! On n'a qu'à payer une baby-sitter et partir au resto ensemble ce soir !
Ledit Katchan grogna en acceptant. C'était en effet plus simple comme cela. Un sourire franc s'afficha sur ses lèvres. Sourire que Midoriya lui rendit. L'oméga caressa les oreilles de loup de l'alpha qui ronronnait presque.
Le soir même, dès lors que la baby-sitter était arrivé, le couple partit, souhaitant une bonne chance à la pauvre demoiselle qui devait supporter leurs enfants insupportables.
Les parents allèrent ensemble dans un restaurant. Mais ce n'était pas n'importe quel restaurant. Car il s'agit de celui dans lequel ils avaient été pour leur premier rencard.
Un sourire empli de joie apparut sur leurs lèvres, en se remémorant ces souvenirs si précieux à leurs yeux. Même Bakugo, sous ses traits colériques et son attitude de tsundere, ne pût réprimer son sourire. Relâchant par la même occasion, des phéromones de bonheur.
Ils s'installèrent à leur table et, attendant un serveur, se regardaient amoureusement. Les oreilles de Katsuki remuèrent légèrement et il se tourna vers un serveur qui venait d'arriver.
- Vous avez choisi ?
Se souvenant parfaitement de leur première commande, ils prirent la même chose.
- Deku ? Tu te souviens la première fois qu'on est venue ici .
- Évidemment... Je me souviens que j'avais malencontreusement renversé de l'eau sur toi. Sur le moment, je pensais que tu allais me crier dessus, me dire que je n'étais qu'un bon à rien. Mais au lieu de cela, tu m'as sourit.
- «Je t'ai connu plus adroit, Deku.» C'est ce que je t'avais dit.
- Haha, je n'aurais jamais cru autrefois que tu pouvais être aussi mignon !
- Évidemment que je suis mignon ! Je suis Katsuki Bakugo, le numéro un des super héros !
- Le numéro deux tu veux dire ?
Il grogna et murmura des mots presque inaudibles.
- Et puis, malgré ce que je pensais lorsque qu'on s'est revus au lycée, tu n'as jamais abusé de tes pouvoirs d'Alpha sur moi.
Ils aimaient bien parler des souvenirs. Qui aurait cru que le blond était comme ça ? Lui-même ne connaissait pas cette partie de lui. Lui-même pensait qu'il ne tomberait jamais amoureux et préfèrerait rester seul à jamais. Mais l'amour est un sentiment incontrôlable. La sensation d'être à sa place auprès de la personne qu'on aime. Tout comme les frissons que l'on peut ressentir en un simple contact physique. Même Bakugo n'a pas su résister. Son coeur a eu raison de ses principes, faisant s'envoler tous ses a priori sur l'amour. Un simple sourire du vert faisait chavirer son coeur qu'il pensait insensible.
- Voici votre repas, bon appétit.
Dans une synchronisation parfaite, ils remercièrent -d'un grognement en ce qui concerne l'Alpha- le serveur et commencèrent à déguster leur repas. Chaque bouchée représentait un moment, une parole, un sourire. Et cela rendait le plat encore plus succulent.
Le repas finit, ce fut une bataille de regard pour savoir qui allait payer. Le gagnant sans grande surprise fut... aucun des deux. Cela a donc fini en moitié moitié.
- Bon, on fait quoi maintenant ? Demanda le blond une fois sorti.
- Suis-moi !
Katchan haussa un sourcil et suivit Deku qui gambadait presque. Ils finirent par arriver à une plage. Mais comme pour le restaurant, ce n'était pas n'importe laquelle. C'était ici même qu'ils se sont embrassé pour la première fois.
Au début, ils étaient justes en sortit scolaire pour s'entraîner. Mais un soir, ils s'étaient donné rendez-vous, défiant les règles de leur professeur pourtant si sévère.
Ils se fichaient de se faire prendre. Ils se fichaient d'être punis. Tout ce qui comptait pour eux était de se voir. Peu importe les conséquences.
Une déclaration, un premier baiser suivit d'un câlin. Le temps leur semblait ralenti, mais tout c'est passé assez rapidement. Ils ont fini par s'endormir dans les bras l'un de l'autre.
Mais le lendemain, lorsqu'ils ouvrirent les yeux, la première chose qu'ils virent était leur professeur, debout devant eux, bras croisé, un air énervé.
Izuku s'était rapidement levé, bafouillant des excuses pendant que Katsuki grognait. Leur punition fut la même que lorsqu'ils s'étaient battus une année auparavant.
Ils rirent de bon coeur en se rappelant ces souvenirs. C'était il y a plus de dix ans mais ils s'en souvenaient comme si tout cela s'était passé la veille.
Les vagues s'approchaient, puis s'éloignaient, leur chatouillant les doigts de pieds au passage. Ces vagues, semblaient leur apporter des souvenirs enfouis dans leur mémoire. Comme pour dire que, tant que cette plage existe, ces souvenirs subsisteront. Année après année. Siècle après siècle. Mais le jour où elle disparaîtra, ils finiront par s'éteindre.
Alors ils espèrent, que leur descendance prendra leur relève, pour que ces moments restent gravés dans leurs mémoires.
Un souvenir envolé et tout s'écroulait. Alors autant laisser un dernier cadeau, un baiser, passionné qui plus est.
Un alpha et un oméga, si tel est leur souhait, pourront contribuer à leur suite. Gardant leurs mémoires, gardant leurs souvenirs. À travers le temps et l'espace, un acte, même des plus petits, ravivera des souvenirs. Rappelant qu'ils ne peuvent être oubliés.
Élodie et Victor, mon mari depuis cinq ans. Notre union : un apparent équilibre, cimenté par un accord tacite de ne pas avoir d'enfants. Ma carrière de restauratrice d'art m'épanouissait, la sienne, à la tête de l'empire familial de Cognac, semblait le combler. Un soir, la bombe a éclaté. Victor voulait des héritiers. Léo et Léa, des jumeaux qu'il comptait adopter. Mon désir de maternité, enfoui, s'est réveillé. Mais la gynécologue m'a anéantie : mon utérus avait été retiré cinq ans plus tôt, lors d' une intervention bénigne que Victor avait tant insisté à faire sous anesthésie générale. Le monde a chancelé. Mon utérus ? Volé ? La vérité, laide et visqueuse, m'a frappée en plein cœur quand j'ai surpris une conversation glaçante : Victor avait fait transplanter mon utérus à Juliette, sa maîtresse, pour qu'elle porte ses enfants biologiques. Mon corps profané, ma vie écrasée sous le poids d'une grotesque trahison. Ce n'était pas seulement un vol, c'était une manipulation monstrueuse, chaque tendre souvenir souillé, chaque promesse bafouée. La comédie de Juliette et l'aveuglement complice de Victor m'ont enfoncée dans un abîme d'humiliation et de douleur. Comment pouvais-je survivre quand l'homme que j'aimais avait tout planifié pour me détruire ? Puis, la douleur s'est muée en une froide détermination. Ce soir-là, il n'y avait plus de nous, plus rien à sauver. Seulement une vérité à révéler. J'ai appelé Maître Dupont, l'avocat, avec une seule instruction : « Je veux divorcer. Rapidement et sans pitié. Et qu'il paie pour tout. » Mon ancienne vie allait s'effacer, et la leur, voler en éclats.
Pour Stella, le mariage a été un lit d'épines. Elle a vécu comme une esclave pendant six ans, s'occupant de tout pour son mari. Un jour, Waylon, son mari insensible, lui a dit : « Ayla va bientôt revenir. Tu dois déménager demain. » « Je veux divorcer », a répondu Stella. Elle est partie sans verser une larme ni essayer de dissuader Waylon. Quelques jours après leur divorce, ils se sont revus. Mais Stella se trouvait dans les bras d'un autre homme. Le sang de Waylon s'est mis à bouillir en la voyant si heureuse. « Alors, tu n'as même pas pu attendre un peu avant de te jeter dans les bras d'un autre homme ? », a-t-il demandé avec dégoût. « Tu te prends pour qui pour remettre en cause ma décision ? C'est ma vie, c'est moi qui décide. Ne te mêle pas de mes affaires ! » Stella l'a fusillé du regard avant de se retourner pour regarder son nouvel homme avec des yeux brillants. Waylon a immédiatement perdu les pédales.
Elle n'était pas censée rester dehors dans l'obscurité, elle devait être à l'intérieur comme les autres. Mais, têtue comme elle était, elle s'était aventurée dans les bois pour jouer avec son meilleur ami Micky, son petit chiot. Mais cette nuit-là n'était sûre ni pour l'un ni pour l'autre. C'était son heure, l'heure des ténèbres, et chaque créature nocturne tremblait sous l'autorité de son rugissement. Il la trouva alors qu'elle caressait Micky sur le dos. Elle était petite et innocente, mais cela n'avait aucune importance pour lui. Elle avait désobéi aux règles, et pour cela... elle devait en subir les conséquences.
J'étais la femme la plus enviée de Paris. Mon fiancé, Victor, venait de me demander en mariage sur la Seine. Un conte de fées ! La fusion parfaite de nos dynasties, le "mariage de l'année". Huit ans d'amour, aux yeux du monde. Du moins, je le croyais. Puis, son téléphone a vibré. Un message de "Ma petite comédienne" : « C' est fini ? Tu vas vraiment l' épouser ? Je ne peux pas te perdre, Victor. » Mon monde s'est effondré. Des années de mensonges, une double vie derrière son sourire parfait, des mots cruels sur moi cachés avec Chloé, sa humble stagiaire. Chaque révélation était une gifle. Il m'a offert la même bague qu'à elle, m'a abandonnée sur une aire d'autoroute le jour de mon anniversaire, pour une de ses 'crises'. Elle, cette vipère, m' envoyait ses échographies sur Instagram, jubilant. Sa trahison était une humiliation publique, calculée. Je me suis sentie idiote, manipulée, le trophée parfait de son jeu narcissique. La rage a remplacé la douleur, froide, implacable. Comment avait-il pu être si aveugle, si lâche ? Comment avais-je pu être si naïve ? Le dégoût m'a submergée. Mais je ne serais pas sa victime. Pas cette fois. Mon téléphone en main, j'ai composé le numéro de Léo, mon ami d'enfance, mon roc. « Léo ? C'est Amélie. J'ai besoin de toi. » C'était le début. Le début de ma vengeance.
"Moi, Louise Laurent, je me tiens devant toi, Gérard Langlois , le cœur lourd. Par la présente, je te rejette en tant que mon âme sœur. Le lien que nous avons jadis partagé est devenu fragile, et mon âme aspire à un chemin différent. Puisses-tu trouver le réconfort dans l'amour d'une autre, et puissions-nous tous deux trouver le bonheur que nous recherchons." Gérard n'a pas dit un mot et m'a regardée. Mais il a refusé d'accepter. *********** Louise Laurent est la prochaine Alpha en ligne de la meute de la bande de cendre. Elle cache son identité et s'accouple avec l'Alpha Gérard Langlois de la meute du Lac de Lune, . Trois ans ont passé, mais Gérard refuse toujours de laisser partir son amour d'enfance. Louise est maltraitée et finalement calomniée par cet amour d'enfance. Maintenant, elle part avec cette humiliation et retourne à sa meute, jurant de se venger de ceux qui lui ont fait du mal. Ils attendaient tous qu'elle revienne et implore leur pardon, mais que se passe-t-il lorsqu'ils réalisent que la célèbre meute du Band de Cendre, qui allait aider à la guerre contre les loups solitaires, était dirigée par une femme nommée Louise Laurent . Maintenant, ses Ex partenaires la veulent de retour. Les autres Alphas veulent cette femme... Mais va-t-elle accepter l'un d'eux ? Ou va-t-elle rester indépendante pour toujours ?...
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