- Est-ce que je peux savoir où on va, maintenant ?
- Je pense que je peux te le dire. Pour notre lune de miel, on part à l'île Maurice. J'ai réservé une villa pour nous deux. Je ne t'en dirai pas plus, pour garder la surprise.
Je reste bouche bée.
- Aline, tout va bien ?
- Oui, j'ai juste besoin de réaliser que je vais à l'île Maurice avec mon mari, dis-je.
- J'adore quand tu m'appelles comme ça, dit Max. Tu as tout le vol pour t'y faire, mon amour. On va devoir aller s'asseoir maintenant.
Je vois le commandant et l'hôtesse passer. Max et moi nous installons sur les sièges. Dès que l'avion commence à rouler, Max me prend la main et la serre.
- Une fois qu'on pourra détacher les ceintures, tu te lèveras et iras dans la chambre. Ne te déshabille pas tout de suite. Je te rejoins dans 5 minutes, dit Max.
- D'accord, dis-je.
Au bout de 10 minutes, le voyant autorisant le détachement des ceintures s'allume. Je me détache aussitôt et file dans la chambre. Je m'assieds sur le lit et attends Max. Il arrive 5 minutes plus tard, comme promis. En me voyant assise, il me demande :
- Chérie, comment veux-tu que je te déshabille si tu restes assise ?
- Tu trouveras bien un moyen, répondis-je. Tu as toujours une solution.
- Est-ce un défi que tu me lances ?
- Oui, chéri, dis-je.
Max s'approche, ôtant sa veste de costume. Quand il est tout près, il se penche et prend mes pieds.
- Commençons par enlever ces chaussures, dit-il en tirant sur mes sandales. Elles n'étaient pas trop inconfortables ?
- Maintenant que tu le dis, elles m'ont un peu fait mal, dis-je.
- Je m'en occuperai plus tard, dit Max en se redressant sur ses genoux.
Son visage est tout près du mien.
- Voyons comment enlever cette belle robe de princesse, dit-il.
Max passe ses mains dans mon dos et trouve la fermeture éclair. Mais au lieu de l'abaisser, il m'embrasse. Il me fait basculer sur le lit. Une de ses mains descend vers le bas de ma robe, la remonte jusqu'à ma taille, et commence à caresser mon sexe à travers mon string. Nos lèvres restent scellées. Max interrompt notre baiser et me dit :
- Ce n'est pas une robe qui va m'empêcher de te faire l'amour.
- J'attendais ce moment toute la journée, dis-je.
- Retourne-toi.
Je m'exécute, et Max descend la fermeture éclair. J'enlève ma robe. Max siffle en voyant mes sous-vêtements.
- Je ne regrette pas d'avoir attendu, dit-il. Tu étais magnifique dans ta robe, mais là, tu es sublime.
- Merci. Toi aussi tu es pas mal, dis-je. Mais un peu trop habillé à mon goût.
- Tu sais ce qu'il te reste à faire, dit Max.
Je m'approche de lui, lui enlève sa chemise, puis tire sur son pantalon et boxer en même temps. Je me mets à genoux et commence à lécher son sexe, puis le prends en bouche. Max gémit.
- Aline, c'était pas prévu, dit-il dans un gémissement.
- Tu veux que j'arrête ? demandé-je en léchant son gland.
- Non, continue. Tu sais combien j'adore ça.
Je le reprends en bouche. Quand il est sur le point de jouir, Max me relève et m'embrasse. Il me fait basculer sur le lit et dit :
- Tu tiens vraiment à ce string ?
- Oui, dis-je.
Max le déchire.
- Je t'en achèterai un autre, dit-il.
Il caresse mon sexe et y enfonce un doigt. Il cajole mon clitoris avec son pouce, retire son doigt et commence à me lécher. Il enfonce sa langue en moi. Dès qu'il sent que je suis proche du climax, il s'arrête.
- Max, ne me fais pas ça, dis-je.
- Ne pas faire quoi ?
- M'empêcher de jouir. Tu sais que je déteste ça.
- Ne t'inquiète pas, tu vas jouir. Mais on le fera ensemble, dit Max en introduisant lentement son sexe en moi.
Il le retire, puis le pénètre de nouveau jusqu'à la garde. Ses mouvements sont d'abord lents, puis s'accélèrent. Au moment où l'orgasme arrive, il s'arrête, me regarde et dit :
- Je t'aime, mon amour.
- Moi aussi je t'aime, mais laisse-moi jouir.
- À tes ordres, dit Max.
Il reprend ses va-et-vient plus rapidement. On jouit en même temps. Max se retire et s'allonge à côté de moi.
- Je n'avais pas prévu ça, dit-il.
- Quoi donc ?
- Faire l'amour en urgence, dit Max. Mais j'ai perdu la tête dès que tu as commencé à me sucer.
- Ne me dis pas que tu n'as pas aimé.
- Non, j'ai adoré, dit-il.
Il se tourne vers moi et dit :
- Je serais même prêt à recommencer, mais cette fois en prenant tout le temps pour vénérer ma femme comme elle le mérite, dit-il en m'embrassant.
Max se positionne sur moi, retirant mon soutif.
- Laisse-toi aller, me dit-il en me caressant.
- Que comptes-tu faire ?
- Ne t'inquiète pas, tu vas adorer.
Max m'embrasse, puis caresse mes seins. Il en suce un, titillant l'autre. Il caresse mon sexe en même temps. Il enfonce un doigt, puis un deuxième. Mon bassin se met à bouger pour l'accueillir.
- Max, je vais jouir.
- Chérie, c'est mon but, mais retiens-toi encore un peu, dit-il. Tu peux le faire.
Max ajoute un troisième doigt, puis les retire.
- Retiens-toi, dit-il. Tu l'as déjà fait.
- Je sais, mais je ne me rappelle pas comment j'avais réussi, dis-je.
Max reprend ses caresses, arrêtant trois fois avant que je ne jouisse enfin. Il s'allonge ensuite à côté de moi.
- À toi de jouer, chérie, dit-il.
Je monte sur lui et lui demande :
- Tu es sûr que tu veux perdre la tête ?
- Oui, fais-moi perdre la tête.
- Comme tu voudras, chéri, dis-je.