/0/14633/coverbig.jpg?v=59d2f3e07ba128ddf8dcaf8755d1700b)
Nous deux c'est jusqu'à La Muette
Nous deux c'est jusqu'à La Muette
« Baba m'a dit faut du douze, faut scier l'canon pour la guerre. » Jusqu'au dernier gramme, PNL.
***
MAYA
Tout à commencé quelques jours après mon anniversaire, comme d'habitude j'avais invité mes amies pour mon anniversaire; la soirée de l'année.
J'avais privatisé une partie de la plus grande boîte de Paris, j'avais louée une limousine et je faisais vivre la meilleure des soirées à quiconque faisait partie de mon entourage.
J'étais rentrée chez moi le lendemain à quatorze heures, ma mère m'attendait inquiète comme d'habitude après chaque soirée passée loin de l'appartement; elle m'avait fait un serment sur la vie et la jeunesse;
Maman : Tu sais ce que c'est une jeune fille riche dans les rues de Paris aussi tard et complètement bourrée ?
Je roule des yeux; Maya : Oui c'est bon j'ai compris, tu me répètes toujours la même chose de toute façon.
Maman : Ton père ne serait pas fière de toi si il savait ça. Elle claque des dents, je devrais peut-être lui dire, tout ce que tu me fais subir à longueur de temps.
Maya : Oui, du moins pour le moment il n'est pas là et je fais de mon mieux pour passer les années sans lui. Aujourd'hui j'ai 21 ans et je n'ai toujours aucune nouvelle de lui.
Maman : Maya ! Tu sais très bien que ton père fait tout pour toi. Si aujourd'hui il est à l'autre bout du monde, c'est pour toi, pour que tu puisses organiser des soirées comme celle-ci.
Je roule encore des yeux;
Maman : Tu n'es reconnaissante de rien. De toute façon, c'est fini. J'en ai fini de ton éducation, tu as 21 ans et tu vas te prendre en mains. Je vais te faire vivre ce qu'on me faisais vivre à moi.
Maya : Bien sûr, tu retrouves t'es origines quand ça te chante, de toute façon qu'est-ce que tu vas faire ? M'envoyer vivre en Algérie, avec des moutons ?
Je n'attends pas ça réponse et je claque la porte de ma chambre, je jette mes affaires sur mon grands lit.
J'enlève mes talons qui m'arrache littéralement les pieds, je retire tous mes habits que je jette sur le sol de ma chambre, je cours dans ma salle de bain et fait couler l'eau de mon bain.
Je jette une boule de bain dans l'eau et celle-ci devient rose bonbon, je me plonge à l'intérieur de cette eau brûlante et je ferme les yeux.
Pourquoi je suis aussi méchante avec ma mère ? Parce que ça a toujours été comme ça, je ne pense pas être méchante avec elle, seulement j'ai envie qu'elle comprenne que j'ai vingt et un an et que maintenant je ne suis plus la petite fille qui se cachait derrière elle. Les années sont passées et elle n'a jamais su vraiment jouer son rôle de mère, elle n'a jamais réellement cherché à me connaitre, elle me voit seulement comme sa fille, son héritière. Par conséquent, je ne vois pas pourquoi je devrais me démener à entretenir une relation inexistante.
Je suis reconnaissante de ce que j'ai, elle croit que je ne réalise pas la chance que j'ai, je suis née avec une cuillère en or dans la bouche c'est un fait, mais je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas en profiter, chacun sa vie, chacun son destin. J'ai toujours su que j'avais de la chance, quand je voyais les petites filles de mon école rentrer à pieds après l'école alors que moi une voiture m'attendait pour me déposer, quand au collège j'avais le dernier téléphone alors qu'elles n'en avaient pas, toutes ses choses m'ont fait comprendre que j'avais une chance que peu de personnes avaient. Puis je suis rentrée dans un lycée privé où j'ai rencontrer des gens qui me ressemblaient, puis tout s'est enchaîné et aujourd'hui je suis comme je suis.
Pour faire rapide, je m'appelle Maya, j'ai 21 ans et je suis d'origine Porto- Algérienne; oui très original n'est-ce pas ? Mon père est Porto-ricain, il est né au Etats-Unis et à très rapidement monté une entreprise pour s'en sortir, il a quitter le nid familial et il est venu s'installer à Paris. Par la suite il a rencontré une jeune Algérienne, brune aux yeux verts qui montait son propre business, ils sont tombés amoureux et quatre ans plus tard une jeune beauté est née, moi. Je suis fille unique, mes parents ont préférés tout donner à une seule personne, ils ont préférés donner leur héritage à une seule personne. Petite j'ai eu du mal à rester toute seule, tout semblait être différent, je ressentais que je n'étais pas comme les autres enfants. Tout mes faits et gestes étaient épiés par mes parents, dans cette vie nos erreurs sont multipliés par deux, la plus-part du temps quand on fait une erreur ça déteint sur la famille. J'ai eu aussi beaucoup de mal à reconnaitre que l'argent était à la fois une source de pouvoir mais aussi un outil dangereux, quand on a de l'argent on se sent puissant, rien ne nous arrête, on est entourés, adulés, puis quand il n'y a plus rien, tout s'efface, comme si rien de tout cela n'était arrivé et alors à ce moment là, si vous n'avez pas les épaules pour résister à la pression et remonter la pente; vous êtes fini. Il m'a fallu des années avant de savoir reconnaître les gens qui étaient là par intérêt de ceux qui étaient là parce qu'ils m'aiment vraiment; c'est quelque chose qu'on arrive à comprendre après de longues années et encore aujourd'hui il arrive de ne pas le voir et d'être brisée à la fin. C'est pour cela que je me suis forgée mon propre caractère, j'essaye d'être détachée de tout et de vivre ma vie au jour le jour.
Maman : Maya ? Ton père est au téléphone il aimerait de parler.
Je souffle,
Maya : Très bien, je sors.
J'attrape mon peignoir et l'enfile, je me regarde dans la glace; « Une vraie beauté » je pense, j'attrape un coton et enlève les dernières traces de mascara sous mes yeux, je sors et attrape le téléphone que ma mère me tend :
Maya : Allô ? Je dis avec une petite voix
Mon père m'a toujours vu comme étant la petite fille modèle, alors j'essaye d'entretenir cette image idéale;
Papa : Joyeux anniversaire ma chérie. Comment vas-tu ?
Maya : Merci papa, je vais très bien et toi ? Comment se passe ton voyage au Japon ?
Papa : Je vais bien, mon voyage se passe bien. J'ai énormément de boulot, mais je te promets que quand tout est terminé je sautes dans le premier avion, pour rejoindre ma jolie grande fille.
Maya : Il me tarde que tu rentres papa.
J'entends des voix derrière le téléphone;
Papa : Bon je dois te laisser ma chérie, on se rappelle bientôt.
Maya : Très bien. À bientôt.
Je raccroche et pose le téléphone sur mon lit, j'attrape mon pyjama, me glisse sous mes draps et tombe dans un sommeil profond.
**
Voilà ce qui en est du premier chapitre, j'espère qu'il t'auras plu, n'hésite pas à laisser un commentaire et un j'aime. ♡
Melissa avait pu tolérer d'être trompée et humiliée, mais elle ne pouvais pas se voir accuser à tort. Aux yeux de son mari, trois ans de mariage étaient moins importants qu'une simple larme de sa maîtresse Arielle. Et finalement, un jour pluvieux, elle avait été impitoyablement abandonnée. Cinq ans plus tard, Melissa a réapparu avec ses adorables jumeaux, telle une reine dans le milieu médical. C'est alors que son ex-mari, Everett, revenait à la charge en lui demandant de l'aider à soigner Arielle... « Papi, si tu veux parler à maman, tu dois d'abord passer mon test. » Le jeune fils de Melissa, Merrick, a levé fièrement le menton. « Papi ? » Everett s'est demandé s'il avait l'air si vieux que ça ? « Dis donc, papa, tu es vraiment très vieux... », a affirmé Lindsey, la sœur jumelle de Merrick, avec une moue.
Il suffit d'une seconde pour que le monde d'une personne s'écroule. Ce fut le cas pour Hannah. Pendant quatre ans, elle a donné tout son amour à son mari, mais un jour, il lui dit froidement : « Divorçons. » Hannah réalisa que tous ses efforts des années passées étaient inutiles. Son mari ne s'était jamais réellement soucié d'elle. Alors qu'elle assimilait encore le choc, sa voix indifférente continua : « Arrête de faire semblant d'être surprise. Je n'ai jamais dit que je t'aimais. Mon cœur a toujours appartenu à Eliana. Je t'ai épousée seulement pour calmer mes parents. Tu étais naïve de croire autrement. » Le cœur d'Hannah se brisa en mille morceaux tandis qu'elle signait les papiers du divorce, marquant ainsi la fin de son règne en tant qu'épouse dévouée. La femme forte qui était en elle se manifesta alors rapidement. À ce moment-là, elle jura de ne plus jamais dépendre d'un homme. Son aura était extraordinaire lorsqu'elle entreprit un voyage pour se retrouver et maîtriser son propre destin. À son retour, elle avait tellement mûri et était complètement différente de l'épouse docile que tout le monde connaissait autrefois. « Que fais-tu ici, Hannah ? Est-ce ta ruse pour attirer mon attention ? », demanda son arrogant ex-mari. Avant même qu'elle puisse répliquer, un PDG autoritaire apparu de nulle part et la prit dans ses bras. Il lui sourit et dit avec audace : « Juste pour te prévenir, Monsieur. C'est ma femme bien-aimée. Éloigne-toi d'elle ! »
Le jour de leur anniversaire de mariage, la maîtresse de Joshua a drogué Alicia qui s'est retrouvée dans le lit d'un inconnu. Du jour au lendemain, Alicia a perdu sa virginité et la maîtresse de Joshua est tombée enceinte de lui. Le cœur brisé et humilié, Alicia a demandé le divorce, mais Joshua ne l'a pas pris au sérieux. Lorsqu'ils ont fini par se séparer, Alicia est devenue une artiste célèbre, recherchée et admirée de tous. Joshua, pris de remords, est arrivé sur le pas de sa porte dans l'espoir de se réconcilier avec elle, mais il l'a trouvée dans les bras d'un puissant magnat, son frère, qui lui a dit : « C'est ma femme. »
Corinne a consacré trois ans de sa vie à son petit ami, mais tout a été gâché. Il ne voyait en elle qu'une simple fille de la campagne et l'a abandonnée devant l'autel pour rejoindre son véritable amour. Après avoir été abandonnée, Corinne a repris son identité de petite-fille de l'homme le plus riche de la ville, a hérité d'une fortune d'un billion et s'est finalement hissée au sommet de la hiérarchie. Mais son succès a suscité l'envie des autres, et les gens ont constamment essayé de la faire tomber. Tandis qu'elle s'occupe de ces trublions un par un, M. Hopkins, connu pour son caractère impitoyable, se tient à ses côtés et l'encourage. « Bien joué, ma chérie ! »
À la mairie, ma voix est calme, ferme, alors que je prononce les mots : « Je veux divorcer. » Pourtant, une douleur familière me serre le cœur : le souvenir de ma vie passée, où mon fils, Léo, est mort de faim, de maladie, de négligence. Après lui, je suis morte de chagrin. Je savais ce qui allait arriver : l'emprise de Sophie, la descente aux enfers. Étienne, mon mari, capitaine de gendarmerie respecté, a juré de ne rien nous faire manquer, à Léo et à moi. Mais ses promesses se sont évaporées, étouffées par la culpabilité qu'il ressentait pour Sophie, la veuve de son frère. Les allocations de Léo finissaient dans la poche de Sophie, les jouets pour Chloé, alors que Léo portait des vêtements usés. La gifle qu'Étienne a infligée à Léo en public, aveuglé par les mensonges de Sophie, a scellé notre destin. Le souvenir le plus atroce : la fois où Sophie a forcé Léo à subir des tests douloureux, pour le seul bénéfice de sa propre fille, l'affaiblissant dangereusement. Cette fois, les choses seraient différentes. Je portais ce fardeau, cette terrible prescience de l'avenir. Je savais ce qui nous attendait si je restais avec lui : la mort certaine de mon enfant. La panique montait, la même qui m'avait étranglée sur mon lit d'hôpital après la première perte de Léo. Comment pouvais-je laisser cela arriver encore ? Puis, une seconde chance m' a été offerte, une opportunité inouïe. Pour sauver mon fils. J' ai pris sa petite main. « Léo, mon chéri, on va faire un pari. » « Si papa, quand il rentre, vient nous voir en premier, maman ne divorcera pas. » Je savais que c' était un pari perdu d' avance. Mais Léo devait le voir pour lui-même, et ma détermination à le sauver devait être absolue. Quand Étienne est rentré, il a tourné les talons vers la maison de Sophie, sans même un regard pour nous, son panier de courses à la main. Léo a laissé tomber son dessin, une larme silencieuse coulant sur sa joue, confirmant l'amère vérité. Le pari était, comme prévu, perdu. Ma colère est devenue froide et tranchante, ma résolution inébranlable. Je devais partir. Pour Léo, je devais le sauver à tout prix. Peu importe les sacrifices.
Elena, ancienne héritière choyée, a soudain tout perdu lorsque la vraie héritière l'a piégée, que son fiancé l'a ridiculisée et que ses parents adoptifs l'ont jetée dehors. Tous voulaient la voir tomber. Mais Elena a dévoilé sa véritable identité : l'héritière d'une fortune colossale, une hackeuse célèbre, une créatrice de bijoux de premier plan, une auteure secrète et un médecin doué. Effrayés par son retour en force, ses parents adoptifs lui ont réclamé la moitié de sa nouvelle fortune. Elena a dénoncé leur cruauté et a refusé. Son ex l'a suppliée de lui donner une autre chance, mais elle s'est moquée : « Tu crois que tu le mérites ? » C'est alors qu'un puissant magnat lui propose gentiment : « Tu veux m'épouser ? »
© 2018-now Kifflire
TOP