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Héritier, multimillionnaire, riche PDG arrogant et mâture, quel sera le sort de Anna
Héritier, multimillionnaire, riche PDG arrogant et mâture, quel sera le sort de Anna
Chapitre 1
Ce matin, en sortant de chez moi bien évidemment je me disais qu'il s'agissait d'une journée de travail classique comme toutes les autres. Mais bizarrement à peine arrivée au sein de l'enceinte il y avait comme un mouvement de panique général. Tous les employés étaient bien droit chacun à son poste. Je me demandais bien pourquoi ce sérieux soudain dans une entreprise où quasiment personne ne se bougeait le ''cul'' tant la paresse des départements publics déteignait presque sur nous, tout ici se faisait au ralenti à l'image de notre belle Afrique.
C'est sans trop me poser de question que je regagnais mon poste. Et, à peine installé qu'il y avait de la lumière dans le bureau de Mr Sergio Santinoni le vice président de la société. C'était anormal car cela faisait un bon bout de temps que ce dernier avait regagné l'Italie et à moins que j'eus raté un épisode il ne me semblait pas qu'il rentrait aujourd'hui.
Un peu stressée par cette situation je décidais de m'approcher de la pièce histoire de satisfaire ma curiosité et faire fuir tous mes doutes. Lorsque j'avais une vue plus précise dans le splendide bureau, j'apercevais au loin un homme qui était assis, me faisant face. Il avait la tête complètement plongée dans ses dossiers. Je l'observais pourtant de vive allure mais il n'avait pas l'air d'avoir remarqué ma présence. Il était si impressionnant, il dégageait une force interne, si brute que rien qu'à le regarder je sentais mon cœur qui était prêt à sortir de ma poitrine.
Il ne s'agissait pourtant pas de Sergio alors qui était-il ?
Une collègue dans tous ses états me surprenait dans cette position de quoi nous mettre dans tous nos états :
- Ouh ...
- Wooooo ...
- Mais tu m'as fait une de ces peurs. Lui disais-je
- Et toi alors ? putain.
- Mais qu'est ce que tu fou ici ? poursuivais-je
- J'ai rendez-vous avec le grand patron, Anna, le big boss.
- Ah je vois... disais-je avant de m'éloigner
Pendant ces quelques minutes passées devant cette pièce, je me tenais tout simplement en face de l'homme le plus influent de la société, Marco Santinoni, il s'agissait du grand frère de Sergio et il venait d'arriver d'Italie. Il s'entretenait au fil des heures avec tous les employés de la structure et il s'avérait que mon tour n'était pas encore arrivée.
J'étais si nerveuse et terrorisée rien qu'à l'idée de me demander ce que j'aurais bien pu lui dire que je ne me sentais pas dans les meilleures conditions pour discuter avec cet homme d'affaire Italien.
Ça faisait sans doute plus de 30 minutes que ma collègue avait pénétrer dans son bureau et je n'entendais toujours rien de là où j'étais. Soudain, dans les minutes qui suivaient je recevais un coup de fil plutôt froid de la part de cette même collègue me demandant de venir les rejoindre dans le dit bureau. Elle ne m'en disait pas plus.
Je tournais sur moi plusieurs fois avant de me lancer, mais rapidement je me rendais compte que je ne pouvais pas rester là comme ça à ne rien faire alors je pris mon courage à deux mains et tentais d'y aller un bon coup.
- Bonjour Monsieur Santinoni... disais-je d'une voix souriante.
Il levait les yeux, me lançais un regard désintéressé avant de me fixer pendant un bon moment. Moi, Anna, la petite négresse Ivoirienne je ne savais pas où donner de la tête face aux flamboyants yeux bleus de cet Italien qui avait presque bronzé à cause de la chaleur du pays à ce moment de l'année.
Je ne sais pas pourquoi mais j'avais un mauvais pressentiment, j'étais très intimidée face à lui d'autant plus qu'il était sans cesse entouré de sublimes femmes à longueur de journée, ces milliardaires étrangers étaient réputés par l'obsession du pouvoir.
- Qui êtes-vous ? demandait-il
Je reprenais rapidement mon souffle avant de poursuivre
- Anna, Anna Kouadio Monsieur, vous m'avez demandé !! m'exclamais-je
Il ne cessait pas de me fixer d'un air séducteur... Et me demandait de m'asseoir d'un geste passif de la main.
- Merci. M'asseyais-je juste à côté de ma collègue complètement traumatisée je ne sais pour quoi.
Il était si tiré à quatre épingles que je ne me sentais pas du tout à l'hauteur en face de lui. J'essayais néanmoins de rester zen, pour cela je posais délicatement mes mains sur la table, mes longs ongles étaient sublimés par un vernis rouge vif qu'il admirait avec précision on aurait dit qu'il avait un penchant particulier pour celles-ci. Avant de replonger les yeux dans ses documents me laissant ainsi seul admirer les alentours du centre des affaires, tandis qu'on aurait dit que ma collègue faisait limite ses dernières prières.
Pendant qu'il s'affairait seul dans ses papiers, en l'observant je me souvenais des quelques rumeurs qui circulaient encore sur lui dans les couloirs et me demandait comme ça, comment est ce qu'un homme aussi riche, puissant et beau pouvait-il être un célibataire endurci ?
Une chose était sûr je réalisais qu'il avait la possibilité de briser bien des cœurs avec sa plastique de rêve qui faisait de lui un séducteur véritablement redoutable. Marco Santinoni ressemblait vraiment à un homme qu'il fallait éviter de croiser à tout prix si l'on ne voulait pas être atteinte de la maladie du ''Goumin'', chagrin d'amour...
Je le regardais du coin de l'œil pour mieux marquer la distance entre nous car nous étions de deux mondes différents.
Je me disais tout bêtement comment les femmes de son milieu faisait-elle pour ne pas apprivoiser un tel animal quand je pense que de mon côté je ne faisais que m'attirer des hommes à problèmes, c'était quasiment un trait de famille chez nous, on avait la nette impression que toutes les femmes prenaient le même chemin côté sentimental chez les Kouadio. Succession de mauvais choix, et assez de larmes à déverser face aux conséquences tragiques des relations sans succès. Du coup ma devise était devenu : les hommes plus loin ils sont mieux je me porte, la vie était beaucoup plus simple de cette façon.
Je sortais donc rapidement de mes petites pensées pour atterrir de nouveau sur terre et me concentrer sur le grand patron qui se trouvait devant moi. J'étais presque agacée par son silence et je me disais comme ça que si mon travail ne le satisfaisait pas il aurait pu tout simplement me faire une lettre pour me licencier que de me faire poiroter de la sorte, car de toute les façons l'argent ça va, ça vient...disait-on
Mais, apparemment il avait fini d'analyser son dossier, il lâcha d'un coup son stylo et revenait vers moi :
- Ok, et bien vous devinez pourquoi je vous ai fait venir dans mon bureau ce matin ?
D'une voix titubante, mais sans jamais paniquer je rétorquais :
- Non, j'espère juste que mon travail ne vous déplait pas.
- Ne vous en faites pas à votre niveau tout est impeccable, enfin, pour le moment.
- J'en suis rassurée. (même si je ne trouvais pas nécessaire le ''pour le moment'')
Mais, s'il ne m'avait pas fait venir ici pour me parler de mon travail, de quoi s'agissait-il alors ? Trop pressé arrive en retard, j'étais à deux doigts de le savoir.
- Bon, bon, bon, après avoir vu et revu en quelque sorte les statuts des différents employés je me suis rendu compte que le contrat de votre collègue pose problème.
- Et à quel niveau précisément ? disais-je d'une façon si sûre de moi
- Il est très rare qu'un CDD s'éternise en CDI sans que cela ne soit précisé dans aucune close du contrat ? comment vous expliquez encore sa présence au sein de nos locaux, vous qui êtes responsable de toutes ces questions ?
Je ne comprenais rien. Cette nouvelle me surprenait tout autant que lui car je n'avais pas connaissance de ça. Alors ne sachant vraiment pas quoi répondre la victime venait à mon aide en disant :
- Mais, c'est pourtant votre petit frère qui m'a certifié que j'étais en règle et et...
Il la regardait d'un air douteux et suspicieux.
- Sergio ?
- Oui, lui-même en personne je vous l'assure. Il a vraiment été très bon avec moi et à décidé de me garder il m'a assuré qu'il s'occupait de tout et que donc j'étais dans mon droit.
Sergio était un homme tout aussi beau que Marco qui m'avait vraiment beaucoup aidé à mes débuts au sein de cette entreprise. Une période de ma vie que je n'oublierais jamais tant je touchais presque le fond. C'est ainsi qu'il m'avait accepté dans sa société, m'assurant ainsi la sécurité et apparemment je réalisais que je n'étais sûrement pas la seule à avoir bénéficié de sa générosité.
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- Comment ça autre chose ? il me félicitait toujours sur ma façon de travailler alors je ne comprends pas ? se défendait-elle
- Certes, mais il est aussi attiré par les belles choses et en tant que vice président il a une place assez influente ici pour se permettre de faire tout et n'importe quoi. Disait-il d'un ton méprisant.
- Je ne vois pas où vous voulez en venir, enfin, en quoi suis-je concernée par son amour pour X ou Y il s'agit ici de mon travail et rien d'autre.
- Vous ne voyez pas ?
Disait-il avant d'enchainer par la suite
- Et bien je vais vous aider à voir plus claire dans cette histoire. Je suis venu de très loin pour revenir reprendre les rênes de cette société et j'ai pris le temps de tout passer au peigne fin et je connais bien les petites pratiques qui se passent en dessous des tables dans votre pays. Disait-il d'un ton grave et sévère
Là, je perdais patience et tenais de moins en moins en place :
- Je ne comprends pas, de quoi vous parlez s'il vous plait ? pleurait presque ma collègue
Il souriait :
- On ne joue pas à ça avec moi, les femmes comme vous, qui usent de leur charme pour pouvoir se faire une place au sein des entreprises vous voyez tout ces bâtiments d'en face ? (disait-il en nous montrant les entreprises qui faisaient face à la nôtre) ... Et bien il y en a quasiment dans tous les bureaux voisins.
- Eh Seigneur, ça c'est quoi ça encore ? disait-elle sans s'en rendre compte
- Je trouve surprenant qu'un excellent homme d'affaire tel que Monsieur Sergio ai pu se tromper s'agissant d'un tel contrat. Disais-je pour venir un peu en aide à ma collègue
- Et bien, vous, vous trompez Mlle Anna. De plus il n'y a jamais de fumé sans feu
Il glissait ensuite d'une façon délicate le dossier entre mes mains sans jamais me quitter des yeux. Après avoir jeté un coup d'œil rapide j'essayais de l'amadouer un peu :
- Vous savez Monsieur Marco, on dit tellement de choses dans ce milieu qui ne sont pas toujours censées alors cela peu être une simple erreur et non une bavure personnel.
- Quoi qu'il en soit à partir de maintenant ce n'est plus lui qui dirige ici et c'est moi alors je ne peux pas vous garder dans ces conditions. Dossier clos. Disait-il a ma collègue avec un tel sans froid qui me laissait perplexe et la poussait-elle à s'en aller en courant complètement en pleur.
J'étais terriblement choquée par de telle méthode, je n'avais malheureusement rien pu faire, je me demandais même pourquoi il m'avait fait venir là si c'était pour assister à ça franchement. Considérant que je n'avais plus rien à faire là j'étais sur le point de partir lorsqu'il me sortait comme ça :
- Vous êtes très proche de mon frère Sergio m'a-t-on dit !!
Mon cœur battait soudainement très vite, mais je ne paniquais pas, s'il pensait qu'il pouvait effrayer tout le monde sur son passage avec ses airs de dictateur il était important que je lui montre que j'allais certainement être la seule qui allait lui tenir tête ici.
- Fréquenter quelqu'un n'est pas un délit où je me trompe ?
- En effet, mais lorsqu'il s'agit d'une jeune femme comme vous, connue pour s'accrocher particulièrement à des hommes de pouvoir je ne peux que m'inquiéter pour mon petit frère.
- Ils vous ont très mal renseigné sur moi... rajoutais-je en le défiant du regard
- Vous perdez votre temps avec moi.
- C'est-à-dire ? demandais-je
- Inutile d'ouvrir vos grands yeux, où de vous remuer de la sorte, mon petit frère ne se mettra jamais avec une Africaine alors laissez le en paix et abandonnez tous vos fantasmes.
Il était gonflé, imbu de sa personne et si désagréable que je ne savais même pas ce qui me retenait de lui en coller une. Sergio et moi on se voyait très souvent hors du boulot mais notre relation était juste amicale rien de tout ce que pouvais penser Marco. Il m'avait déjà fait des avances comme il aurait pu en faire à d'autres femmes mais sans plus...
Je tenais particulièrement à cette amitié au vu de sa générosité envers moi, j'aimais passer du temps avec lui car on s'amusait beaucoup et j'appréciais particulièrement sa compagnie. Alors je ne comprenais absolument pas la réaction de cette brute.
- Vous êtes venus ici pour prendre des décisions professionnelles où des décisions d'ordres personnels ? j'attendrais que Sergio prenne le soin de me le dire lui-même.
- Je répète Sergio ne fera rien avec une femme comme vous.
- Une femme comme moi ?
- Oui, comme vous, l'ex maitresse d'un certain homme politique, dois-je vous en dire davantage ?
Je croyais défaillir, il s'agissait de la triste vérité, ce passé sordide que j'avais cru avoir enterré décidément semblait vouloir me rattraper. Comment ai-je pu être aussi imprudente pour croire que le présent aurait pu l'effacer de mon CV.
- Alors je me trompe ? disait-il d'un air si triomphant
Que je décidais d'aller au bout des choses, de ne pas lui donner se plaisir au risque de le choquer :
- Non, c'est bien Moi, L'unique Anna Kouadio......................................................
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Deux ans qu'il m'a annoncé froidement qu'il ne m'aimait plus. Deux ans qui m'a dit qu'il ne souhaitait plus se marier à moi
〤◕‿◕〤 IDÉE GÉNÉRALE 〤◕‿◕〤 Synopsis Les mésaventures de Jess, œuvre africaine, à l'auteur anonyme relate avec un humour hilarant voir totalement gabonais, les frasques d'un jeune homme séduisant blasé par le sexe et l'argent, rimant souvent avec risque et excès dans un Gabon folklorique et moderne peuplé de légendes mystérieuses. Le narrateur c'est inspiré de sa propre vie pour nous dépeindre cette chronique aux allures sombres et gaies. Le livre se compose de plusieurs parties et se verra quelques fois moralisateur. C'est sur une légère sonorité Bilangoumique (Bilagum dictionnaire argot gabonais) que l'écrivain nous entraine dans un univers surnaturel et familier. Je réclame d'ors et déjà votre indulgences pour les multiples fautes grammaticales et orthographiques! Bonne lecture cher(e)s lecteurs et lectrices biscuit! Slogan: Si t'aimes clic et message si t'aimes pas clic pour le fun
Prélude: -Allo! Salut la grande, on dit quoi? Ca tient toujours pour tout à l'heure?... Okay alors, 16h à la maison... Oui oui, sans probleme... Ok ma puce, bisous... Il etait encore 9h et à vrai dire je me levais à peine. La journée s'annoncait plutot longue et mouvementée. Au téléphone c'était ma meilleure amie Ferla Ondame, on se connait depuis 20ans maintenant. Rassurez vous, ca n'a pas toujours été rose entre nous, en vingt ans, tellement de choses se sont passées... Mon nom à moi c'est Myria Eyene née Azizet, j'ai 34ans un mari merveilleux et des jumeaux de 17ans Irwin et Grace et une petite fille de 7ans, Alene. Je suis rentrée il y a seulement 4ans et j'ai aussitot été embauchée comme chargée des relations exterieures dans une grande entreprise de la place. On est samedi aujourd'hui, et comme tous les samedis, Ferla et moi nous retrouvons soit au déjeuner soit pour le thé... Aujourd'hui on se voit donc pour le thé chez moi (ms vous connaissez la gaboma non? Y a pas que le thé ooh). Je me lève vraiment malgré moi, je me suis couchée tard. Il faut que je fasse les gateaux, biscuits, et autres tartes pour tout à l'heure. - Kante! Kante! - Madame... - Mais tu n'entends pas? Ca fait 5mins que Ferla claxonne!!! - Pardon madame zetai toilet k... - aaaah laisse le bruit et vas ouvrir Ferla est la avec deux autres copines, Desirée et Cynthia. -Bonjour oooh installez vous je vous rejoins tout de suite! Je vais retrouver Grace dans sa chambre. -maman, stp viens m'aider à faire le service... -aaAanh, moi suis fatiguée han... -tsouooo, Grace, tu es fatiguée que tu fais même quoi dans cette maison? S'IL TE PLAIT Maman, lève toi un peu et viens m'aider ça ne va pas te tuer... Grace se lève bon gré mal gré et vient m'aider à transporter les desserts et autres gourmandises au buffet dressé pour l'occasion... Grace: Bonjour Ferla: oooooouh, le mannequin!!! On dit quoi ma chérie? Grace: On est là tata Ferla... Que sexy oh Ferla: Ah oui hein, il faut pas se laisser faire! Quand nous on avait ton âge, demande à ta mère on était maaaal ponceeeeeee hein, c'est pas ce que vous faites aujourd'hui là... Moi: dis lui ooh Fe... Grace: et voila, on y est! Le discours éternel... Après quelques petits fous rires, Grace nous laissait donc toutes les quatres. Fe: Mimi ta fille me rappele tellement toi a l'époque! Moi: hum, Fe... Physiquement peut-etre, mais elle est tellement plus sage que je ne l'étais à son âge... Tu te souviens?!! Fe: Et comment!!! En effet mon adolescence n'a pas été de tout repos, ni pour mes parents, ni pour moi... je me demande d'ailleurs par ou commencer... Tout à commencé l'année de ma 3eme...
Bonsoir à vous. je me présente. Otit, Oti, Anthony, Thony bref tous ces noms sont les miens. je ne peux pas ajouter a cela un nom de famille bien défini. vous saurez pourquoi tout en lisant mon histoire. je suis l'enfant de l'eau, l'enfant du Karma et meme pour certains l'enfant de la malédiction. Mais suis je vraiment une malédiction?
Janet a été adoptée quand elle était enfant, pour les orphelins, c'est comme un rêve devenu réalité. Cependant, sa vie était tout sauf heureuse. Sa mère adoptive l'a constamment raillée et brutalisée. L'amour et l'affection familiaux qu'elle a jamais connus venaient de la vieille domestique qui l'a élevée. Malheureusement, la domestique est tombée malade, les parents adoptifs de Janet ne voulaient pas payer ses frais médicaux sauf si Janet remplacer leur fille biologique pour épouser un homme tristemet célèbre. Serait-ce un conte de Cendrillon ? Mais l'homme était loin d'être un prince, à l'exception de sa belle apparence. Ethan était le fils illégitime d'une famille riche qui menait une vie insouciante et avait du mal à joindre les deux bouts. Il s'est marié pour réaliser la dernière volonté de sa mère. Cependant, lors de sa nuit de noces, il a constaté que sa femme était différente qu'il l'avait cru. Le destin avait uni ces deux personnes qui avaient tous les deux de profonds secrets. Ethan était-il vraiment l'homme qu'on pensait qu'il était ? Étonnamment, il ressemblait étrangement à l'homme le plus riche et le plus mystérieux de la ville. Découvrirait-il que Janet l'a épousé à la place de sa sœur ? Leur mariage sera-t-il un conte romantique ou un désastre total ? Lisez la suite pour découvrir l'histoire de Janet et Ethan.
En public, Elena était la secrétaire dévouée de Lucas, le puissant PDG. En privé, elle était l'épouse qu'il n'avait jamais officiellement reconnue, vivant dans l'ombre de son amour pour une autre. Le jour où Elena découvre qu'elle est enceinte, son cœur explose de joie, imaginant un nouvel avenir pour eux. Mais ce bonheur est vite balayé lorsqu'elle apprend que Lucas s'est rapproché de son premier amour, relançant une ancienne passion qu'elle ne peut concurrencer. Dévastée, elle prend la décision la plus difficile de sa vie : le quitter et s'effacer de son monde. Des mois plus tard, lors d'une rencontre imprévue, Lucas ne peut ignorer le ventre arrondi d'Elena. Sa voix trahit son étonnement et sa jalousie : « De qui attends-tu'ce bébé ? » Avec un sourire glacé et une lueur de défi dans les yeux, Elena répond, mordante : « Cela ne te concerne pas, mon cher ex-mari. »
Ce soir, c'était mon trente-deuxième anniversaire. Dans notre appartement parisien, j'avais préparé son plat préféré, rêvant d'une soirée romantique avec Alan. Il est rentré après minuit, sans fleurs ni cadeau, méprisant ouvertement le dîner et le gâteau que j'avais passés des heures à préparer. Puis, j'ai senti ce parfum : Chanel N°5. Celui de son assistante, Brenda. Et la photo envoyée d'un numéro inconnu a confirmé mes soupçons : Alan et Brenda, main dans la main, se promenant dans les Jardins du Luxembourg. Il a appelé ça une "urgence professionnelle". Il a osé me dire que j'étais un "fardeau" pour sa carrière, que je ne pensais qu'à avoir des enfants. L'homme que j'avais tant aimé m'a demandé : « Si tu veux un enfant, on peut prendre un chien. » Cette phrase a été le coup de grâce. Cet homme, que j'avais tant soutenu, lui offrant mon héritage, ma carrière, ma vie pour lancer sa « brillante » startup, m' a jeté un collier de famille à mes pieds en plein gala, brisé en mille morceaux. Alors que les agents de sécurité m'expulsaient de la salle, je l'ai regardé droit dans les yeux. « Tu vas tout perdre, Alan. Absolument tout. Je te le jure. » En sortant, j'ai composé un numéro : celui de l'avocat de ma famille.
Une nuit , lors de leur cinquième anniversaire de mariage, ace prononce ces mots dévastateurs : "Je veux le divorce." Vous ne devinerez jamais la raison surprenante qui se cache derrière cette décision implacable : l'incapacité de phœnix à donner naissance à un fils. Saisie par un tourbillon d'émotions, phœnix implore ace de reconsidérer sa demande, mais en vain. Alors qu'elle le voit partir, sa vie est pulvérisée par une découverte encore plus choquante : la liaison clandestine que ace entretenait depuis longtemps avec sa secrétaire. Et, pour couronner le tout, cette dernière attend maintenant son enfant. Quelques mois plus tard, il épouse sa maîtresse enceinte, laissant phœnix seule avec ses peines. Mais la vie réserve parfois des surprises inattendues. Dans un moment d'intense révélation, phœnix découvre qu'elle-même est enceinte de quatre mois. Un véritable tremblement de terre émotionnel secoue son être alors qu'elle se débat avec des sentiments contradictoires. Serait-ce le début d'une renaissance ? Plongez dans cette histoire captivante où le destin s'entremêle avec l'amour, la trahison et la résilience, vous laissant haletant et désireux de découvrir chaque page qui se tourne.
« Que savez-vous vraiment de la trahison ? Rien ou pas grande choses probablement. Moi, je l'ai vécue. » La trahison est l'une des blessures les plus silencieuses, mais les plus ravageuses. Elle ne hurle pas, elle s'infiltre - dans les regards détournés, dans les mots qui changent de ton, dans les gestes qui deviennent froids. Ce qui la rend insupportable, c'est qu'elle vient souvent de ceux dont on n'aurait jamais douté. Commençons. À 18 ans, elle perdit tout en une seule journée. Les voix qui l'entouraient, jadis pleines de tendresse, s'étaient changées en jugements acérés. Celui dont l'amour semblait acquis détourna les yeux, sans même chercher à comprendre. On la bannit sans explication, sans appel. Elle disparut, brisée, abandonnée, effacée. Sept années s'écoulèrent dans l'ombre. Lorsqu'elle réapparut, elle n'était plus la même. Dans son regard : la tempête calmée d'une survivante. À ses côtés marchait un garçon aux yeux perçants, silencieux mais dangereux - son fils. On la raillait, la traitant de mère indigne. On murmurait sur son passage : « enfant né sans père » ...sans savoir qu'il était le fils caché, inavoué, d'un puissant PDG - dissimulé par sa mère pour mieux le protéger... ou mieux frapper.
Pour échapper à un passé douloureux, Éléa a renoncé à tout pour épouser Thomas, un homme aux promesses dorées. Pendant trois ans, elle a été l'épouse parfaite, dévouée à son bonheur, sacrifiant ses rêves et ambitions. Mais peu à peu, Éléa découvre une vérité cruelle : tout ce qu'elle a construit n'a jamais compté autant que les souvenirs que Thomas entretenait pour son amour perdu. Brisée par l'indifférence, elle prend une décision radicale : « Je ne me perds plus pour un mirage. Il est temps que je brille pour moi. » Alors qu'elle tourne enfin la page, une rumeur commence à circuler sur les réseaux : **« La mystérieuse héritière des Mancini aurait demandé le divorce ? »** Éléa, plus forte que jamais, se retrouve soudain au centre de toutes les attentions. Mais cette fois-ci, elle est prête à revendiquer ce qui lui revient.
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