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Prologue Moi Helanga Vanessa, devenue la maîtresse de ce bel Homme. Cet homme qui chamboulera toute ma vie...
Prologue Moi Helanga Vanessa, devenue la maîtresse de ce bel Homme. Cet homme qui chamboulera toute ma vie...
Partie 1
Bonjour à vous tous comment allez-vous ? Bien j'espère ! En tout cas, moi, je vais très bien. Je m'appelle Vanessa, Helanga Vanessa d'origine congolaise de la République Démocratique du Congo. Actuellement je suis âgée de 39 ans. Eh oui vous pouvez me considérer comme une vieille. Je me dirige vers la quarantaine.. Je suis une femme mariée ayant trois enfants: une fille et deux garçons. Je gagne très bien ma vie, oui je suis auteur. J'écris des romans inspirés de faits réels et aujourd'hui, je fais le choix d'écrire ma propre histoire. Durant mon passé, j'ai commis de nombreuses erreurs, de très grosses erreurs et les conséquences ont été très lourdes pour moi.
Des regrets ? Non.
Pourquoi ? Car ces erreurs m'ont apporté que du bonheur par la suite.
Je ne vous cache pas mais le titre du roman révèle l'intitulé de l'histoire. Mais un simple titre balancé comme tel ce n'est pas très intéressant. Voulez-vous découvrir mon histoire ? Alors accrochez-vous.. Va t-elle vous plaire, je dirais I don't know mais j'ai confiance, je sais que je ne vous décevrai pas.
[...]
18 ans en arrière..
Vanessa Helanga
Me voilà dans la rue, simplement âgée de 21 ans. Mes parents viennent de me mettre à la porte pour des raisons que je ne comprendrais jamais, quelle pauvre fille je suis. Pourtant j'ai essayé de comprendre quelles étaient leurs raisons mais en vain. Pour mes parents et surtout mon père, je n'étais qu'une petite traînée qui passait son temps à faire des avances envers tous mes oncles.
Mais quelle idée ! Moi draguer mes oncles ? Les frères de mon père, mon sang ! Comment aurais-je pu faire une chose pareille ? Dites le moi clairement ! Comment cela a pu se dérouler ?
3 Mars 1998, chez mes parents...
Je dormais paisiblement dans mon lit car je n'avais pas cours de toute la journée. Je profitais pour faire ma grâce matinée. J'étais en deuxième année de ma licence en droit. Oui j'aimerais devenir juriste, j'en étais passionnée. Je ne vous le fait pas dire mais j'étais très intelligente. J'avais obtenu mon bac avec mention très bien et j'étais la fierté de mes parents et surtout dans ma famille.
Enfin bref, je dormais lorsque ma mère est venue en hurlant d'insultes dans ma chambre.
Maman: Vanessa yo ! Ndumba salité ! Lamuka niama zobat !*
(*Sale pute ! Réveille toi imbécile !)
Je ne comprenais absolument pas. Elle vint enlever la couette et me donna une énorme gifle qui fit siffler mon oreille.
Maman: tu prends tes affaires et tu sors de cette maison ! Je ne veux plus d'une fille comme toi sors d'ici !
Je pris la couette et la remis sur moi en fermant les yeux. Et de là je sentis mon corps voltiger au sol. Mes frères étaient entrain de m'insulter en me rouant de coups partout sur le corps. A partir de cet instant, je compris que je n'étais pas entrain de rêver mais c'était bel et bien la réalité ! "Espèce de traînée" "Sale pute" "Grosse chienne !" et pleins d'autres insultes de ce genre voilà ce que j'entendais. Je pleurais toutes les larmes de mon corps. J'étais allongée sur le sol. J'avais le goût du sang dans ma bouche, j'essayais de cracher mais j'avais du mal à tousser. Je commençais à avoir beaucoup de mal à respirer et j'étais asthmatique..
J'essayais tant bien de me défendre mais mes frères ainsi que ma mère étaient bien plus forts que moi. Ils étaient à quatre sur moi, je n'en pouvais plus. Je levais les yeux et je vis mon père devant la porte de ma chambre avec un sourire sur le coin de la lèvre. Un sourire démoniaque.. Je criais de douleur..
Adam: dans cinq minutes tu descends en bas et dépêche toi ! Dit-il en criant
Tous sortirent de ma chambre. J'essayais tant bien de me relever mais je n'y arrivais pas. Je m'étais à le faire car je ne voulais pas que mes frères reviennent me taper. En me relevant, le miroir de ma chambre se trouvait devant moi. Je me regardais au travers du miroir. Je faisais peur. J'avais un œil au beurre noir ainsi que la lèvre gonflée et le nez recouvert de sang. J'essuyais mes larmes, je mis mes pantoufles et pris le courage de sortir de ma chambre en prenant un grand souffle.
J'arrivais au salon, toute ma famille était assise en me regardant avec dégoût. J'avais trois grands frères, Adam, Glody, Isaac et une petite sœur Bénie. Mes parents Mireille et Jean . Mon père avait toujours son sourire démoniaque lorsqu'il me regardait. Je commençais à avoir très peur de ce qui allait se passer. Je restais immobile comme une plante.
Adam: assieds-toi
Je partis m'asseoir sur le fauteuil, me retrouvant face à tout le monde.
Adam: ce n'est pas les parents qui vont parler mais moi. Je suis l'aîné et je vais être direct avec toi, tu fais toutes tes valises et tu sors de cette maison
Adam: LA FERME ! Tu demandes pourquoi ? Mais t'es vraiment qu'une salope toi !
Isaac: tu me dégoûtes ! Tu veux faire la fille sainte mais en vrai tu es le diable en personne !
Maman: ndoki ! Yo penza oza vraiment ndoki ya famille ! Ba esprits mabe oza nango, ki ndumba na yo ramènes les chez quelqu'un d'autre pas chez moi !*
(*Sorcière ! Tu es vraiment la sorcière de cette famille ! Les mauvais esprits que tu as, ta puterie [...])
Glody se dirige près de moi, me jette un regard puis en un quart de seconde ma tête a basculé de l'autre côté. Mon frère, celui qui me défendait le plus venait de lever la main sur moi alors qu'il m'avait promis de ne jamais le faire, qu'il serait toujours présent à mes côtés pour me protéger mais ce n'était que des paroles en l'air malheureusement.
Glody: comment t'as pu Vanessa ? Hein dis le moi, comment tu as pu ? Draguer tes oncles ! Leur faire des avances ! Tes oncles putain ! Les frères de notre père ! Bordel mais comment j'ai pu te faire autant confiance alors que tu n'es qu'une sale petite traînée ! Tu me dégoûtes ! Je ne veux plus jamais entendre parler de toi ! Disparais de ma vie !
Tous ses mots m'avaient terriblement blessés. A vrai dire, j'arrivais à voir la haine à travers son regard. Plus il parlait, plus il employait ces mots et plus mon cœur se déchirait en mille morceaux. Il me jeta un dernier regard puis partit.
Bénie: c'est ça l'exemple que tu me montres ? Faire la fille intelligente alors qu'en réalité tu es une menteuse ! Je n'ai plus de sœur du nom de Vanessa
Elle aussi se leva puis s'en alla. Les larmes coulaient toutes seules. C'était comme si j'étais dans un cauchemar et je savais que j'allais me réveiller alors que non ! Ce n'était pas un cauchemar. Il ne restait plus que mes parents ainsi que de Isaac et Adam. Je me mis à genoux en les suppliant de ne pas me mettre à la porte. J'essayais tant bien de les convaincre que je n'avais jamais fait une chose pareille mais en vain.
Je fondais en larmes sur les cuisses de ma mère.. Maman se mit à me caresser les cheveux..
Maman: Vanessa..
Maman: regarde moi droit dans les yeux ma fille
Maman: ne remets plus jamais les pieds ici. Tu as voulu faire tes conneries, aujourd'hui tu en payes les conséquences alors tu prends toutes tes affaires qui sont dans ta chambre et tu t'en va ! Je ne veux plus jamais te revoir de ma vie !
Et elle me poussa en se levant et quitta le salon. Mon père fit de même ainsi que Adam. Il ne restait plus que Isaac et moi. Après ce que ma mère venait de me dire, yeux dans les yeux cela m'avait profondément anéanti ! Ma propre mère ! Celle qui m'avait mise au monde me renie de sa vie pour une chose que je n'avais pas commise. J'étais au bout de ma vie. Isaac me regardait avec pitié. J'essayais de venir auprès de lui en étant à genoux mais celui-ci s'empressa de se lever, m'insultant et partit.
Désormais, j'étais seule au salon. Assise par terre, le regard dans le vide. Ma vie était fichue.. Ma famille venait de m'abandonner, tous ! Et pas un seul me croyait, j'avais le cœur brisé. Je prenais sur moi et me relevais. Puis je pris la direction de ma chambre pour aller faire mes affaires et quitter la maison de mes parents.
Quelques heures après, mes affaires étaient prêtes. Les membres de ma famille se trouvaient devant la porte d'entrée. Je les regardais probablement pour la dernière fois. Lorsque j'ouvris la porte, je me retournai..
Et je finis par fermer la porte.. Me voilà dans la rue, simplement âgée de 21 ans..
Avis ?
Chapitre 1 Salut tout le monde, moi c'est Fatima sall je suis guinéenne de ma mère et sénégalaise de mon père, je suis avant tout musulmane et j'ai 19 ans, je fait la 2eme année Droit je veut être avocate inchallah
Prologue J'ai essayé de résister. Mais rien à faire il m'avait envoûtée. Malgré nos différences, malgré la haine que je devais avoir à son égard. Il n'en était rien. Je l'aimais il m'aimait. Il était le paradis dans mon enfer. un amour interdit dans un décor de terreur... Suivez l'histoire d'Aria jeune juive et Hantz lieutenant du parti nazi. Pourront-t-ils être ensemble malgré tout ce qui les séparent... J'écris jour après jour la suite...
Prologue Salut, je m'appelle Summer, j'ai 21 ans et je suis maman. Je vis dans une grande et belle villa à Miami avec mes deux meilleures amies, Bella et Gaby, et avec ma fille bien sure. Dans la vie je suis créatrice de mode. Avec les filles nous avons créé notre propre marque de vêtements, Subeby, il y a un peu plus d'un an avec l'aide d'autres marques connues. Elle est connue dans presque le monde entier et est apprécié par beaucoup de femmes et adolescentes. Toutes les trois nous sommes très fière du chemin que nous avons parcourue pour en arriver jusque là. Comme je vous l'ai dit je suis maman, d'une petite fille Mia, c'est le rayon de soleil qui illumine toutes mes journées. Sans elle je ne sais pas ce que je ferai. Je l'aime tellement. Vous devez vous poser des questions sur le père, et bien elle n'en a pas. Je sais c'est très inhabituelle. Normalement tous les enfants on un père et une mère, les bébés se font à deux. Oui je suis parfaitement d'accord avec vous. Je vais tout vous expliquez. Il y a un peu plus de trois ans avec les filles nous ne vivions pas encore de
1.Je suis une habitante de Libreville. Je ne vous parle pas de ce Lbv que l'on prend en photo la nuit pour montrer comme ces lumières sont belles. Ou de ces jolies endroits devant lesquels on pose en journée pour valoriser la ville. Non moi j'habite à "Hellbv" : sale, pauvre et découragé.
Je rentraià la maison avec cette immense joie. Pour la première fois, je me sentais majestueusement comblé de tout. D'accord le retrour psychologique de Christ qui prenait goût à la vie, ma sortie avec Éric et cette douce communication que j'ai eue avec cette fille dont j'ignorais le nom. Une fois à la maison, je sifflais tout en marchant. Tellement cette joie s'affichait sur mon visage que Rufi, la commère de toute la maison n'avait pas manqué de répérer ce sentiment d'allégresse.
Il arrive parfois d'observer au sein d'une famille des cyclones qui ravagent les cœurs des membres qui forment cette famille. Famille qui fait couler le même sang dans les veines de chaque progéniture mais qui frémit de mésentente, de colère et autre. C'est certain, on est issu d'une même famille mais une dichotomie se lit dans nos yeux et nos manières de conduite. C'est la raison pour laquelle l'on ne finit et ne devons jamais les mêmes quand bien même nous sommes de la même provenance. Un trait aussi petit soit-il, lime et crée l'être de chacun, fais de lui un autre monde et donc unique en son genre. Il faut le reconnaître lecteur, le sang fait de deux personnes une seule personne, une seule famille mais le cœur en fait des milliers. Ne soit donc pas étonné de voir des réactions perverses qui transpercent les cœurs et la gentillesse qui ravitaille la carence de la joie quand bien même la perversité et la gentillesse sont deux caractères différents posés par deux personnes qui partagent le même sang. Cela s'avère une réalité que ni toi lecteur ni moi ne pouvons nier.... Et autour d'une grande table, dans une grande maison décorée tel le paradis, une famille du même sang prenait le petit déjeuné. Il y avait deux jeunes filles, deux jeunes garçons et un adulte qui est sur le point d'atteindre le troisième âge. Et La domestique de la maison, clouée tel un esclave, regardait cette famille qu'elle offre un grand soin de ménage pour aider son mari à joindre les deux bouts afin d'assurer l'avenir de leur seul enfant. La vie, un courant qui n'offre point le même prestige à tout le monde reste toujours injuste dans ses actes. Mais c'est la loi de la jungle de l'existence sur la terre qui s'impose à tout le monde. Alors on se résigne, courbe la nuque et subit en silence son verdict. Le mutisme fut brisé par une voix à connotation acariâtre voir même dépassée : - Bon sang Adjou tu veux que je souffre du diabète ou quoi ? Tu as trop mis le sucre dans le thé.
Valeria Brown était la fille unique de la famille Brown, une famille plutôt aisée. Elle avait une meilleure amie, Ashley. Mais celle-ci et sa mère avaient l'intention de tout lui prendre. Par ailleurs, Mason, qui était sorti avec Valeria pendant quatre ans, la trompa. Elle surprit son petit ami, Mason, en train d'embrasser Ashley dans la voiture ! Cependant, cette dernière n'eut aucune honte. Au contraire, elle drogua Valeria avant de demander à un gigolo de la dépuceler. D'une manière inattendue, un inconnu surgit de nulle part pour chasser le gigolo. Il était au courant de ce qui se passait. Lorsque Valeria s'était réveillée, elle découvrit cet homme inconnu et sexy s'allonger à côté d'elle. Elle se souvenait que selon Ashley, cet homme était un gigolo. A ces pensées, elle s'énervait. Mais en fait, cet homme, qui avait sauvé Valeria du gigolo et qui avait couché avec elle, n'était autre que le plus riche PDG…
Ce devait être un mariage de convenance, mais Carrie a commis l'erreur de tomber amoureuse de Kristopher. Au moment où elle a le plus besoin de lui, son mari est en compagnie d'une autre femme. C'en était assez. Carrie a choisi de divorcer de Kristopher et de reprendre sa vie en main. Ce n'est que lorsqu'elle est partie que Kristopher s'est rendu compte de l'importance qu'elle avait pour lui. Confronté à son ex-femme, qui avait d'innombrables admirateurs, Kristopher lui a offert 20 millions et lui a proposé un nouveau contrat. « Marions-nous à nouveau. »
Après sept ans passés dans un cachot pour un crime que je n'avais pas commis, mon âme sœur prédestinée, l'Alpha qui les avait laissés m'entraîner, a enfin ouvert la porte de ma cellule. Il a annoncé que je prendrais ma place de Luna à ses côtés, non par amour, mais parce que la loi l'exigeait. Mais à l'instant où un lien mental affolé l'a prévenu que sa précieuse Séraphine – ma sœur adoptive, celle qui m'avait piégée – avait du mal à respirer, il m'a abandonnée sans un second regard. Cette nuit-là, blottie dans une cabane poussiéreuse, j'ai surpris la conversation secrète de mes propres parents. Ils projetaient de me faire exiler. Définitivement. Mon retour avait bouleversé Séraphine, et son « cœur fragile » ne pouvait supporter le choc. Je suis restée allongée dans l'obscurité, ne ressentant rien. Pas de surprise. Pas même de douleur. Juste un froid profond et vide. Ils me rejetaient. Encore. Mais alors qu'ils complotaient mon exil, un message secret m'est parvenu – une offre d'évasion. Une nouvelle vie dans un sanctuaire loin au nord, où je pourrais laisser la Meute de Sombrelune derrière moi pour toujours. Ils pensaient se débarrasser de moi. Ce qu'ils ignoraient, c'est que j'étais déjà partie.
Sa sœur refuse catégoriquement d'épouser son fiancé. On dit de lui qu'il est hideux, froid... et pire encore, impuissant. Sa mère s'agenouille, implorant Clara : « Ma fille... sauve ta sœur. Prends sa place à l'autel. » Un frisson parcourt son échine . C'est insensé... et pourtant, Clara accepte. Le soir des noces, tout bascule. L'homme qu'on disait monstrueux est d'une beauté à couper le souffle. Mais son regard, glacé, la transperce : - Tu es d'une laideur sans nom. Elle s'attendait à une indifférence polie... elle découvre une brutalité inattendue. Il la plaque sur le lit, ses mots tranchants comme une lame : - Peu importe ton visage. À présent, tu es mienne. Clara relève les yeux, son cœur battant à tout rompre. Elle ose répliquer d'une voix ferme : - Toi, en revanche... tu n'as rien d'impuissant. Et quand il arrache enfin ses déguisements, révélant un visage d'une beauté envoûtante, son sourire s'assombrit : - Il semblerait que les rumeurs étaient fausses... mais désormais, tu ne pourras plus échapper à ton rôle d'épouse.
À huit ans, Dante Moretti m'a arrachée aux flammes qui ont tué ma famille. Pendant dix ans, ce puissant parrain de la pègre a été mon protecteur, mon dieu. Puis, il a annoncé ses fiançailles avec une autre femme pour unir deux empires criminels. Il l'a ramenée à la maison et l'a présentée comme la future maîtresse de la famille Moretti. Devant tout le monde, sa fiancée m'a passé un collier en métal bas de gamme autour du cou, me traitant comme leur animal de compagnie. Dante savait que j'étais allergique. Il a simplement regardé, les yeux froids, et m'a ordonné de l'accepter. Cette nuit-là, à travers les murs, je l'ai écouté l'emmener dans son lit. J'ai enfin compris que la promesse qu'il m'avait faite enfant n'était qu'un mensonge. Je n'étais pas sa famille. J'étais sa propriété. Après une décennie de dévotion, mon amour pour lui s'est finalement changé en cendres. Alors, le jour de son anniversaire, le jour où il célébrait son nouvel avenir, j'ai quitté sa cage dorée pour de bon. Un jet privé m'attendait pour m'emmener vers mon vrai père – son plus grand ennemi.
Être la deuxième meilleure, c'est pratiquement inscrit dans mes gènes. Ma sœur recevait l'amour, l'attention, les feux des projecteurs. Et maintenant, même son foutu fiancé. Techniquement, Rhys Granger était maintenant mon fiancé : milliardaire, d'une beauté renversante, et un rêve ambulant de Wall Street. Mes parents m'ont poussée dans cet engagement après la disparition de Catherine, et honnêtement ? Ça ne me dérangeait pas. J'avais craqué sur Rhys depuis des années. C'était ma chance, non ? Mon tour d'être celle que l'on choisit ? Faux. Un soir, il m'a giflée. À cause d'une tasse. Une stupide, ébréchée et moche tasse que ma sœur lui avait offerte des années auparavant. C'est à ce moment-là que j'ai compris : il ne m'aimait pas. Il ne me voyait même pas. Je n'étais qu'un substitut à peine chaleureux pour la femme qu'il désirait réellement. Et apparemment, je ne valais même pas une simple tasse à café glorifiée. Alors je l'ai giflé en retour, largué sur-le-champ, et préparé la catastrophe : mes parents perdant la tête, Rhys piquant une crise de milliardaire, sa famille effrayante complotant ma perte prématurée. Évidemment, j'avais besoin d'alcool. Beaucoup d'alcool. C'est là qu'il est apparu. Grand, dangereux, injustement séduisant. Le genre d'homme qui vous donne envie de succomber rien qu'en existant. Je ne l'avais rencontré qu'une seule fois auparavant, et ce soir-là, il se trouvait justement au même bar que moi, en pleine autosatisfaction alcoolisée. Alors j'ai fait la seule chose logique : je l'ai traîné dans une chambre d'hôtel et arraché ses vêtements. C'était irréfléchi. C'était stupide. C'était complètement déconseillé. Mais c'était aussi : le meilleur sexe de ma vie. Et, il s'est avéré que c'était la meilleure décision que j'aie jamais prise. Parce que mon aventure d'un soir n'est pas qu'un type quelconque. Il est plus riche que Rhys, plus puissant que toute ma famille, et assurément plus dangereux qu'avec qui je devrais m'amuser. Et maintenant, il ne compte pas me laisser partir.
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