/0/13091/coverbig.jpg?v=81ca9c80e2a630d3ad3739ca52a5faa5)
Une vie calamiteuse, une aventure intéressante.
Une vie calamiteuse, une aventure intéressante.
Chapitre 1
*** Monica Evina ***
Je me suis demandé des centaines de fois comment tout ceci avait pu arriver et comment j'avais pu être aussi égocentrique. C'est vrai que l'amour ne nous fait voir que ce qu'on a envie de voir. Et tout ce que j'avais vu, c'était mon bébé. Ce bébé que je désirais de tout mon cœur.
Je me prénomme Monica, orpheline de père et de mère à l'âge de 5 ans. Mes parents et moi avons eu un accident de voiture et ils sont morts sur le coup. J'étais la seule survivante. Une passante m'avait récupérée et conduite dans l'église la plus proche. J'ai donc grandi dans un orphelinat dirigé par les bonnes sœurs jusqu'à mes 18 ans, l'âge de la majorité dans mon pays. Dans cet orphelinat, nous étions soumis à l'apprentissage de tous les métiers possibles y compris l'informatique qui était mon domaine de prédilection.
Deux ans après ma sortie de l'orphelinat, je décroche un poste de secrétaire dans un cybercafé de la place. Ce n'était pas le travail de mes rêves mais il fallait bien que je survive !
Un jour, au moment de fermer, une grosse cylindrée gara en face et de l'intérieur sortit un type très pressé, marchant à pas géants dans ma direction.
- Monsieur, nous sommes sur le point de fermer, seules les impressions sont encore possibles. Lui dis-je en transportant les derniers meubles du call box vers l'intérieur du cyber.
- Pardonnez-moi mais j'ai absolument besoin d'une saisie. Il s'agit uniquement d'une page.
- Toutes les machines sont éteintes. Je ne peux rien faire pour vous.
- Je vous en supplie madame, je serais prêt à doubler le prix.
- Il n'est pas question d'argent. Je dois rentrer chez moi avant la tombée de la nuit.
Je ne vivais pas à la porte d'à côté et l'insécurité continuait de progresser dans ce coin de la ville et j'étais inquiète.
- Je triple le prix. Dit-il l'air désespéré.
Il avait tellement supplié que j'avais fini par plier et fis ses saisies.
Il avait tout le temps les yeux braqués sur moi pendant que je m'efforçais à bien effectuer mon travail. Il ne me quitta pas une seule seconde des yeux. Il fallait que je le réveille de temps en temps pour le suivi de son document. Il n'était plus concentré que sur moi.
- Monsieur, ça va ? Lui demandai-je en pointant l'écran.
- Pardon ? Demanda-t-il perdu.
- Je demande si je peux déjà l'imprimer. Dis-je déjà irritée car le temps pressait.
- Ah excusez-moi. J'étais un peu déconcentré. Oui, vous pouvez l'imprimer. Fit-il sans même le contrôler. Il était comme obnubilé par moi.
J'imprimai le document et le lui remis. Il le récupéra, sortit une liasse d'argent de son portemonnaie et la pressa dans la main.
- Monsieur c'est trop. La page c'est 600 francs.
- Je sais, c'est la récompense pour ton sacrifice et le bon service rendu.
- Non monsieur ! Payez-moi juste ce qu'il faut. Dis-je en repoussant sa main.
- J'insiste ! Dit-il en fermant ma paume de main dans laquelle il avait inséré l'argent.
Je le repoussai à nouveau.
- Vous n'avez pas besoin. Considérez que je vous ai fait cette faveur.
- C'est gentil de votre part. Dit-il accompagné d'un sourire.
- De rien. Parlez de notre cyber à vos amis et connaissances et venez de temps en temps nous faire la recette. Dis-je en rassemblant mes effets.
- Sans faute mademoiselle. Je recommanderai votre cyber. Soyez en sûre.
- C'est l'heure de fermer. Dis-je en regardant ma montre.
La nuit était sur le point de tomber et j'avoue que j'étais un peu inquiète par rapport au taxi car en trouver à cette heure de la soirée n'était pas évident.
- Et si je vous déposais plutôt à destination ? Proposa-t-il.
Je réfléchis pendant quelques secondes. Il avait l'air de quelqu'un de bien mais ne dit-on pas que tout ce qui brille n'est pas or ?
- Ce serait pour la compensation de ton temps. Insista-t-il.
- Je préfère encore cette option. Là on sera quitte tous les deux !
Je n'avais pas l'habitude d'emprunter le véhicule des personnes inconnues mais à cause de l'heure tardive, j'acceptai son offre. Je ne le connaissais pas mais j'avais la foi qu'il ne pouvait rien m'arriver de mal. Mon sixième sens me dit qu'il était inoffensif.
Il me conduisit jusqu'à destination. Pendant qu'on était en chemin, il chercha à en savoir plus sur moi. J'avais jugé ne rien lui dire de bon. Je m'étais limitée à mon prénom. Il se prénommait Xavier.
Il revint le lendemain mais cette fois vers midi au moment même où je m'apprêtais à faire une pause. Il demanda à se joindre à moi. Chose que j'avais trouvé bizarre pour un homme de son rang social de vouloir prendre son repas dans un simple restaurant. En même temps, je n'avais pas la force de rejeter sa proposition parce que mon ventre se faisait déjà entendre.
- Vous ne me laissez pas le choix. Murmurai-je.
- On peut se tutoyer si tu veux bien.
- Ça me va. Lui répondis-je.
Il me suivit dans le petit restau en face de notre cyber.
- C'est moi qui invite hein. Et ne dis pas non. Me dit-il avec le sourire aux lèvres.
- Comme vous voulez.
- On se tutoie Monica. Ne l'oublie pas.
- Oups ! Pardonne-moi Xavier.
- Tu es d'une beauté foudroyante surtout quand tu souris. Lança-t-il.
- Merci. Dis-je gênée par sa drague.
Je n'avais pas lui renvoyer le compliment pour ne pas alimenter ce que je voyais venir.
La dame du restaurant vint sans tarder prendre nos commandes.
Pendant le repas, il se confia à moi. Sa fiancée venait de le quitter et il avait de la peine à surmonter la rupture. Je lui avais parlé de moi et du fait que j'étais seule au monde. Au départ, il ne croyait pas que j'étais orpheline. Il refusa d'y croire parce qu'il me trouvait bien éduquée et selon lui, j'avais l'air d'une fille de riches. Mais quelque temps après, quand il eut confirmation, il changea sa façon de me traiter.
Il devint mon protecteur, mon ami et ce grand frère que je n'avais jamais eu. Il sortait d'une rupture et j'étais comme une sorte de thérapie pour lui. En fait, il m'utilisait pour oublier celle qui l'avait quitté brusquement et je ne pouvais pas me plaindre. Au contraire ça m'arrangeait d'avoir quelqu'un sur qui m'appuyer. Une personne pour me protéger des coups de la vie.
- Je veux que tu rencontres ma sœur.
- Pas de soucis. Ça me fera une connaissance de plus, j'espère qu'elle est aussi gentille comme toi.
- Vous allez bien vous entendre j'en suis sûr.
- Okay.
Sa sœur venait à peine de se marier et attendait un bébé. Exactement le genre de vie que je voulais avoir. Nous nous sommes rencontrées et le courant est très vite passé entre nous. Xavier avait perdu ses parents mais il avait des tantes et des oncles avec qui il était assez proche.
Il m'avait présenté à toute sa famille, qui en très peu de temps m'avait adoptée comme une des leurs.
Je savais qu'il avait un faible pour moi et j'étais un peu comme sa seconde chance mais jamais je n'aurais imaginé que les choses allaient prendre une autre tournure que celle à laquelle j'étais déjà habituée.
Un soir, contre toute attente, il me demanda de l'épouser. J'avoue que j'étais surprise, vu qu'à mes yeux il n'était qu'un ami et il savait pertinemment que je ne ressentais que de l'amitié pour lui.
- Moni, quand je disais que je voulais être là pour toi ce n'était pas une plaisanterie. Je veux faire de toi mon épouse si tu le veux bien.
- Mais Xavier. Fis-je surprise.
- Je suis fou amoureux de toi Moni. Je n'imagine plus ma vie sans toi. Dit-il avec sincérité.
Toute ma vie, je n'avais qu'un seul rêve. Celui de me marier et de fonder une grande famille. Mon rêve était de vivre entourée d'un mari et de beaucoup d'enfants. Ce qui fait que bien qu'étant sous le choc après sa demande en mariage, au lieu de prendre mes jambes à mon cou, je lui dis fièrement OUI !
Il était heureux et sans tarder, nous nous sommes dit oui devant le maire le mois qui suivait dans la capitale du pays.
Xavier se révéla être un mari aimant et dévoué. Il était prêt à tout pour moi. Le seul hic était le fait que je n'arrivais pas à concevoir et le problème venait de lui. Cela m'avait été révélé par notre médecin après plusieurs examens médicaux. Malgré cela, je suis restée à ses côtés en gardant espoir qu'un miracle allait se produire tôt ou tard, surtout que notre médecin m'avait assurée que le traitement qu'il nous faisait suivre allait résoudre le problème.
Trois années se sont écoulées mais il n'y avait pas toujours de cris de bébé sous notre toit. Même pas un retard d'un jour. C'était devenu frustrant et insupportable. Après tout ce temps j'ai perdu tout espoir et dans le désespoir, j'ai posé mes yeux sur un autre homme. Et pas n'importe quel homme !
.
J'avais consacré dix ans de ma vie, mon talent de vinicultrice, à Adrien, l'homme que j'aimais et que j'aidais à reconstruire son domaine familial. Il était mon univers, ma passion, mon avenir. Un soir, la vérité, d'une brutalité indicible, m'a frappée alors que mon corps, drogué par un verre de vin, refusait de bouger. J'ai entendu Adrien confesser sans remords qu'il m'avait droguée pour voler ma précieuse souche de levure indigène, fruit de dix ans de travail acharné. Pire, il avait délibérément saboté ma cuvée expérimentale, mon "enfant" tant chéri, tout cela pour sa maîtresse Camille. L'humiliation s'est amplifiée lors de nos fiançailles, où il m'a publiquement abandonnée pour Camille simulant un malaise, sous les yeux de tous. Puis, alors que je lui donnais mon sang pour le sauver à l'hôpital, j'ai entendu sa voix arrogante et faible déclarer : « Elle m'aime autant que j'aime Camille. » Mon cœur, qui avait tant souffert, s'est figé, se transformant en un bloc de glace. Comment pouvais-je être à ce point son outil, sa béquille, lui qui m'avait réduite à rien d'autre qu'un moyen ? La douleur de la trahison était incommensurable, mais une nouvelle détermination est née de la cendre de mon amour. J'ai alors décroché mon téléphone, cherchant le numéro de Luc Bergeron, le plus grand concurrent d'Adrien. La guerre venait de commencer, et cette fois, il allait tout perdre.
Le jour de son mariage, Khloe a été piégée par sa sœur et son époux, qui l'ont accusée d'un crime qu'elle n'avait pas commis. Elle a été condamnée à trois ans de prison, où elle a beaucoup souffert. Lorsque Khloe a finalement été libérée, sa sœur diabolique a utilisé leur mère pour forcer Khloe à coucher avec un homme âgé. Heureusement, le destin a voulu que Khloe rencontre Henrik, le chef de la mafia, séduisant mais impitoyable, qui a changé la vie de Khloe. Malgré la froideur d'Henrik, il a choyé Khloe plus que quiconque. Il l'a protégée, l'a soignée et l'a aidée à se venger.
« Chassez cette femme ! » « Jetez cette femme dans la mer ! » Quand il ne connaîssait pas la véritable identité de Debbie Nian, Carlos Huo la méprisait. « M. Huo, elle est ta femme », lui a rappelé le secrétaire de Carlos. En entendant cela, Carlos lui lance un regard froid en se plaignant : « Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ? » Depuis, elle est pourrie gâté par Carlos. Personne ne s'attendait à ce qu'ils puissent se divorcer.
Il est malade, ses jours sont comptés et il le sait. Pourtant il est père d'une petite fille. Lui seule à la charge de son éducation. Il s'est battue pour assurer un avenir à sa fille, elle qui était sa seule et unique raison de se battre. Pourtant la volonté ne nous garde pas toujours en bonne santé. Il a dû faire des choix. Soucieux du bien être de sa fille, il accepta de la confier au fils d'un de ses collaborateurs à sa majorité. En échange, il laisserait à cette famille toutes ses possessions. Malgré cette bonne volonté, cet homme a-t-il eu raison de laisser la seule chose qui comptait à ses yeux à cette famille ? Ils étaient cupide, leurs seules intérêt prédominait. La seule chose qui comptait était l'argent. La seule motivation dans cette promesse était de récupérer les biens et les affaires que laissait cet homme derrière lui. Quant à elle, elle se retrouvait seule face à une décision qui ne lui appartenait pas. Un mariage. Il n'était pas question d'un mariage d'amour comme en rêvait toute les jeunes femmes mais un accord conclut entre deux chefs de la mafia. Serena devra accepter les choix qui ont été fait pour elle, épouser cet homme cupide et dangereux dont elle ignore tout. Il n'avait rien de l'homme qui assurerait la sécurité de sa fille, bien au contraire. C'était un homme froid, arrogant, qui ne voyait que par son propre intérêt. Arrivera-t-elle a trouver sa place dans ce monde sans pitié, dont son père c'était efforcé de la protéger ? " Cette rencontre ne m'a pas simplement écorché le coeur, mais elle m'avait également ouvert l'esprit. À l'instant où j'ai cru mourir à petit feu, j'ai compris que je n'étais que au début de ma vie..."
Joelle pensait pouvoir changer le cœur d'Adrian après trois ans de mariage, mais elle a découvert trop tard qu'il appartenait déjà à une autre femme. « Donne-moi un bébé, et je te libèrerai. » Le jour où Joelle a commencé à accoucher, Adrian voyageait avec sa maîtresse dans son jet privé. « Je me fiche de savoir qui tu aimes. Ma dette est payée. À partir de maintenant, nous n'avons plus rien à voir l'un avec l'autre. » Peu de temps après le départ de Joelle, Adrian s'est retrouvé à genoux en train de supplier. « S'il te plaît, reviens vers moi. »
Pendant dix ans, Daniela a fait preuve d'une dévotion inébranlable à l'égard de son ex-mari, avant de découvrir qu'elle n'était que une grande blague. Humiliée mais déterminée, elle a fini par divorcer. Trois mois plus tard, Daniela est revenue en grande pompe. Elle était désormais la PDG cachée d'une grande marque, une styliste recherchée et un riche magnat de l'industrie minière - son succès a été dévoilé lors de son retour triomphal. Toute la famille de son ex-mari s'est précipitée, désespérée, pour implorer son pardon et demander une nouvelle chance. Pourtant, Daniela, désormais chérie par le célèbre M. Phillips, les considère avec un dédain glacial. « Je ne suis pas de votre niveau. »
© 2018-now Kifflire
TOP