Nul ne peut échapper à sa destinée.
Nul ne peut échapper à sa destinée.
Prologue !
Assise dans le bureau du proviseur du collège de mon fils, j'attends impatiemment de savoir les raisons de ma présence ici un mardi matin. Je suis une femme très occupée mais pour les deux personnes qui partagent ma vie depuis plus de dix ans, je trouve toujours le temps nécessaire. Je veux bien évidemment parler de Mathis, mon gros bébé de 10 ans qui est tout mon univers. C'est fou comme ce petit bout fait ma fierté et ma joie. Il est ma force, mon rayon de soleil, en un mot toute ma famille et tout mon monde tourne autour de lui. Après lui, il y a Liliane ma presque maman, mon amie, ma bienfaitrice, ma maman de cœur, celle-là même qui n'est pas de mon sang mais qui m'a donné bien plus que mes même propre parents.
Je suis vraiment inquiète car c'est la première fois que je reçois un coup de fil pareil d'un établissement scolaire que mon fils fréquente. Il a toujours été parmi les meilleurs de sa classe, très respectueux et vraiment très facile à vivre.
Le proviseur (me sortant de mes réflexions): Bonjour madame GAGUI, désolé pour le dérangement, nous savons que vous êtes une femme très occupée mais, nous n'avions pas eu le choix.
Moi (sourire de circonstance): Vous ne me dérangez pas Monsieur le proviseur, rassurez-vous, vous m'avez dit au téléphone plutôt qu'il y a un problème avec Mathis, expliquez-moi ce qui ne va pas.
Le proviseur (mine triste): Votre fils est exclu du collège pour une semaine madame parce qu'il a roué de coup un de ses camarades.
Moi (surprise): Mais comment cela a-t-il été possible? Pourquoi a-t-il fait ça
Monsieur le proviseur ? Mathis a toujours eu un comportement irréprochable, c'est le plus tendre des garçons que je n'ai jamais connu. Expliquez-moi ce qui s'est passé, je veux comprendre ce qui ne va pas ou à défaut voir mon fils.
Le proviseur : Il vous attend dans le hall à l'entrée de l'infirmerie du collège. Il refuse de répondre à nos questions depuis un moment. Le gamin qu'il a tabassé a été transporté à l'hôpital.
Moi (ouvrant grandement les yeux): À l'hôpital? C'est si grave que ça? Mon Dieu, non qu'est ce qui ne va pas? Mathis n'est pas violent.
Le proviseur (regard triste): Sa réaction nous a aussi beaucoup étonnée, l'autre est de un an son aîné, mais il l'a bien amoché. Il était un peu comme en transe pendant un moment. Vous devez l'emmener voir un spécialiste de trouble de comportements pour son propre bien.
Moi (soupirant): Mon Dieu que vais-je faire? Donnez-moi svp l'adresse de l'hôpital où le petit a été conduit, je vais faire un tour là-bas et m'entretenir avec ses parents.
Le proviseur (prenant un bout de papier pour me noter l'adresse): Tenez, voici le nom de l'hôpital et le numéro du père de l'enfant en question. Nous sommes vraiment désolés.
Moi (mine triste): Moi encore plus monsieur le proviseur, je vous rappelle plus tard, passez une bonne suite de journée.
Le proviseur: Au revoir madame, prenez soin du petit.
Je sors de son bureau sans plus rien ajouter, je suis à bout, j'ai l'impression que tout me tombe sur la tête ces derniers jours. Quand je pense que tout va pour le mieux dans ma vie il y a toujours quelque chose de mal qui m'arrive. On dirait que j'ai la poisse. Je sors retrouver mon fils, comme une automate, il court vers moi en me voyant venir à lui. Je m'abaisse pour le prendre dans mes bras.
Lui(en pleure): Je suis désolé maman, je n'ai pas fait exprès, je ne sais pas ce qui m'est arrivé, je ne comprends pas maman, pardonne moi stp.
Moi(le serrant dans mes bras): Calme toi mon poussin, maman est là avec toi, tout ira bien, maintenant nous devons y aller. Viens avec moi, je dois faire un petit détour par l'hôpital.
Lui (reniflant): Nous allons voir Mamie Liliane?
Moi (triste): Non mon chéri, nous allons voir ton ami qui a été conduit à l'hôpital.
Lui (abattu): Il ne va plus vouloir être mon ami parce que j'ai été méchant avec lui maman. Morel est bon et gentil mais, moi je suis mauvais.
Moi (lui souriant tendrement): Tu n'es pas mauvais mon prince, tu es mon ange et un ange n'est jamais méchant.
Lui (triste): Alors dis-moi pourquoi je lui ai cassé la gueule ? C'est lui qui me défends quand les autres me traitent mal en classe, je ne sais pas ce qui m'a pris maman.
Moi (changeant de conversation): Je préfère t'emmener chez mamie et aller toute seule à l'hôpital voir ton ami, tu iras le voir après dès qu'il ira mieux.
Lui (triste): D'accord maman.
Je demande au chauffeur de nous conduire à l'hôpital où est hospitalisée maman Liliane depuis bientôt six mois. Je la salue rapidement avant de lui confier Mathis pour aller voir son ami. Une fois sur place je m'excuse au nom de mon fils chez les parents du petits avant de leur proposer de prendre en charge tous les frais liés à l'hospitalisation. Je leur laisse ensuite mon contact en leur demandant de me joindre au moindre souci. Heureusement, ce sont des personnes très gentilles et très compréhensives. Je retourne à l'hôpital voir maman Liliane, elle m'accueille comme toujours le sourire aux lèvres.
Moi (lui donnant un baiser): Comment te sens-tu maman?
Elle (souriant faiblement): Pas très bien mon enfant, je suis couchée dans ce lit subissant en silence tous les traitements mais mon heure approche à grand pas. Je vais bientôt quitter ce monde ma fille, mais tu dois me promettre de ramener mon petit-fils au Bénin, il doit connaître son père et sa famille ma fille.
Moi (triste mais étonnée): Tu ne partiras pas de sitôt maman, mais dis-moi, où vais-je trouver Mathis, Maman ? Je ne connais que son nom et son prénom, je n'ai aucune idée de l'endroit où il peut être en ce moment et s'il est toujours à Paris?
Elle: Je ne sais pas comment tu feras mais, tu dois libérer Mathis de ce fardeau, Il m'a raconté ce qui est arrivé aujourd'hui au collège et je me dis que ce n'est pas une coïncidence, d'abord les cauchemars qu'il fait depuis plusieurs mois, ses étranges visions et maintenant ça?
Moi (regardant autour de moi): Où est-il d'ailleurs? Il ne doit pas nous entendre.
Elle (souriante): Avec mon médecin traitant, il pose des questions comme toujours à tous les hommes en blouse blanche. Il sera plus tard, un excellent médecin.
Moi (souriante): Je l'espère maman, mais j'ai peur de retourner au Bénin, j'ai peur d'affronter mon passé. Je ne peux pas retourner là-bas sans aller voir les miens, ça fait trop longtemps que je suis partie comme une voleuse. Plus de douze ans. Peut-être que mes parents sont déjà morts, on ne sait jamais. Je me dis que ce n'est pas une bonne idée.
Elle (soupirant): Ne sois pas têtue Dora, tu as de la famille à par tes parents, tes frères et ta tutrice par exemple. Ils seront ravis de te revoir après toutes ces années.
Moi (soupirante): Je ne sais pas maman, je vais y réfléchir. Pour le moment, je veux me concentrer sur nos affaires.
Elle (me souriant): Tu veux dire tes affaires, qui vont d'ailleurs bien ? Ne change pas de sujet stp, nous parlons ici de ton passé pas de tes affaires.
Moi (souriante): De nous deux qui est la plus têtue maman ? Laisse tomber cette affaire.
Elle: Un jour où l'autre tu comprendras ma fille.
Moi (lui caressant la main): Pour le moment, je veux profiter de mon fils et toi.
Elle (souriante): Je peux mourir maintenant en paix Dora, tu as embelli mes vieux jours. Grâce à toi, j'ai connu la joie d'être maman et mamie sans avoir jamais enfanté. Tu es l'une des plus belles choses qui me soit arrivée dans la vie. Que Dieu te bénisse et te protège ma fille. Je t'aime tellement si tu savais.
Moi (toute émue): Je t'aime aussi maman, tu es d'un grand soutien pour moi. Tu m'as redonnée confiance à la vie. Sans toi, je ne serai peut-être plus de ce monde. Merci maman pour tout ce que tu m'apportes. Je suis fière d'être ta fille sans être de ton sang, tu es à jamais gravée dans mon cœur.
Elle (émue jusqu'aux larmes): Merci mon enfant, Mathis et toi me comblez de joie et de fierté.
Mathis (entrant): Pourquoi pleurez-vous mamie?
Moi (essuyant mes larmes): Pour rien mon fils, mamie et moi parlons du bon vieux temps et ça nous fait toutes les deux pleurer de joie.
Maintenant dis au revoir à Mamie, nous allons devoir rentrer à la maison parce que je dois retourner au bureau.
Lui (embrassant Liliane): Au revoir mamie, je reviens demain te voir.
Elle(le prenant dans ses bras): D'accord mon champion, mamie t'aime très fort.
Mathis (souriant): Moi aussi, je t'aime très fort mamie.
Moi (faisant une bise à ma mère de cœur): A ce soir maman, je passe te voir à la fin de ma journée. Je vais confier Mathis à Noria et repartir au bureau pour continuer mon travail.
Elle (me souriant): D'accord ma fille, passe une bonne journée.
Moi (lui souriant): Merci maman, à plus tard.
Je sors de l'hôpital encore émue, cette femme est un don du Ciel tout comme mon fils Mathis, je donnerai ma vie pour l'avoir encore plus longtemps à mes côtés mais hélas, elle souffre d'un cancer en phase terminale. J'ai constamment peur, qu'elle s'en aille chaque jour qui se lève, qu'elle me laisse seule avec mon fils. Je monte rapidement dans ma voiture toujours conduite par mon chauffeur. Je soupire d'aise en m'asseyant dans ma belle auto. Je me rends maintenant compte qu'avec tout ce que je vis, j'ai oublié de me présenter à vous.
Je vais bien faire les choses, avant de continuer à vous parler de ma vie compliquée. Je suis Théodora Barikisou GAGUI, j'ai 34 ans et je suis Béninoise résidente à Abidjan depuis bientôt onze ans par la force des choses. Je suis à la tête d'une chaîne de production et de commercialisation d'une gamme de produit corporel pour tous types de peaux. Je suis très douée pour les affaires selon maman Liliane (sourire). J'ai un adorable Fils de 10 ans qui ne fait pas son âge parce qu'il est super intelligent, je suis célibataire et très heureuse de l'être.
J'espère que vous aurez le temps de connaître la longue et douloureuse histoire de ma vie mais pour le moment j'ai bien mieux à faire. Je dois penser à comment arranger ce problème avec mon fils qui se comporte parfois bizarrement depuis un certain moment. Il arrive qu'il ait des réactions étranges que je mettais sur le coup de l'adolescence mais avec ce qui vient de se passer aujourd'hui je ne sais plus quoi penser. Je pense aussi à tout ce que maman vient de me dire sur ses cauchemars et ses visions de reptiles dans notre maison et je me dis qu'elle a peut-être raison.
C'est le bruit d'arrêt du moteur de la voiture qui me fait sortir de mes pensées et je réalise que nous sommes déjà dans la maison de Liliane, ou plutôt la mienne depuis que cette dernière a su qu'il ne lui reste plus que quelques mois à vivre. Cette demeure, est mon havre de paix. Je souris en regardant autour de moi, ici j'ai six grandes chambres avec cinq salles d'eau, un salon, un séjour, une bibliothèque qui me sert de bureau, une cuisine et une vaste cour avec un jardin située à Cocody Riviera Palmeraie un quartier chic d'Abidjan. Tout ce que j'ai aujourd'hui je l'ai eu grâce à la générosité de Dame MENSANH Liliane. Une togolaise résidente en Côte d'Ivoire depuis plus de 45 ans. Je vous parlerai également de ma rencontre avec cette dame un jour, dès que je serai prête pour le faire.
Moi (entrant dans mon salon): Noria, où est tu?
Noria (venant à moi le sourire aux lèvres): Je suis ici madame.
Moi: Je suis venue te déposer Mathis, il n'ira pas au cours pendant toute cette semaine. Il restera à la maison avec toi. Moi, je dois retourner au bureau, prends soins de lui stp.
Noria (avec sourire): Comptez sur moi madame, vous pouvez y aller le cœur tranquille.
Moi (répondant à son sourire): Merci Noria, pense à faire de la soupe pour mamie au diner. J'enverrai quelqu'un chercher en fin de journée.
Noria: D'accord madame, A ce soir.
Moi (faisant une bise à mon Mathis): A plus tard champion, sois sage stp.
Lui (large sourire): Promis juré maman.
Quand l'amour nous contrôle, plus rien de ce qu'on fait n'est précédé par notre conscience.
Il a fallu trois ans à Sabrina pour comprendre que son mari, Tyrone, n'avait pas de cœur. C'était l'homme le plus froid et le plus indifférent qu'elle ait jamais rencontré. Il ne la traitait jamais comme sa femme. Pour ne rien arranger, le retour de la femme bien-aimée de ce dernier a apporté à Sabrina des papiers du divorce. Le cœur de Sabrina s'est brisé. Espérant qu'il y avait encore une chance pour eux de faire fonctionner leur mariage, elle a demandé : « Petite question, Tyrone. Est-ce que tu divorcerais quand même si je te disais que je suis enceinte ? » « Absolument ! », a-t-il répondu. Comprenant qu'elle ne représentait rien pour lui, Sabrina a décidé de laisser tomber. Elle a signé l'accord de divorce alors qu'elle était allongée sur son lit de malade, le cœur brisé. Étonnamment, ce n'était pas la fin pour le couple. C'est comme si les écailles tombaient des yeux de Tyrone après qu'elle ait signé l'accord de divorce. L'homme autrefois si insensible a rampé à son chevet et l'a suppliée : « Sabrina, j'ai fait une grosse erreur. S'il te plaît, ne divorce pas. Je promets de changer. » Sabrina a souri faiblement, ne sachant que faire...
Emery, une jeune Oméga en quête de reconnaissance, nourrit depuis toujours des sentiments profonds pour Owen Alvarez, promis à devenir le futur Alpha de la meute de la Couronne du Clair de Lune. Elle espère qu'un jour, il la verra autrement que comme la fille fragile d'un bêta. Mais Owen, pétri d'orgueil, refuse d'imaginer qu'une Oméga puisse être sa compagne. Lorsque Colton Alvarez, son cousin longtemps exilé à l'étranger, fait son retour, l'équilibre de la meute vacille. Héritier légitime mais indifférent à son rang, Colton s'impose par son charisme de playboy insouciant. Pourtant, derrière ses airs désinvoltes, une seule chose semble désormais captiver son attention : Emery.
Dallas souhaiterait pouvoir remonter le temps. Elle empêcherait la petite fille de six ans qu'elle était de s'aventurer dans la forêt et l'empêcherait de rencontrer Lucy. Malheureusement, elle s'était bel et bien égarée et avait trouvé Lucy. Dès ce jour-là, Lucy lui prend ou obtient tout ce qui appartient à Dallas. Sa poupée préférée, dernier cadeau de sa mère. Sa robe pour le Bal Écarlate, qu'elle avait achetée avec l'argent qu'elle avait durement gagné. Le collier de sa mère, un héritage familial. Dallas a tout supporté, car tout le monde ne cesse de lui rappeler que Lucy n'a personne et rien d'autre. Dallas jure de se venger le jour où elle découvre son Âme Sœur dans le lit avec Lucy. La meute de la Vallée de l'Ombre regrettera d'avoir mis Dallas de côté pour Lucy.
Jennifer Smith était la fille d'Alpha. Sa famille a été détruite par des traîtres qui venaient du sein de leur meute. Sa mère est décédée d'une maladie; son père a été assassiné par le Beta ; et sa meute a été occupée. Seule et emprisonnée, Jennifer s'est échappée pour avoir recours à la meute de Dark River, où elle a fini par être réduite en esclavage. Bien qu'elle ait été constamment maltraitée et insultée, elle n'a jamais cédé ni admis sa défaite. Son compagnon s'est avéré être Anthony Jones, le prince lycan du royaume d'Osman. Le royaume d'Osman régnait sur toutes les meutes. Mais le noble prince semblait avoir son propre secret. Le pouvoir puissant de Jennifer a attiré le prince et elle a rapidement été amenée au terrain royal d'entraînement, où son destin a changé à jamais. Avide de vengeance contre ceux qui avaient détruit sa famille, Jennifer s'est donnée coprs et âme à l'entraînement. Le prince Anthony refuserait-il Jennifer à cause de son humble identité ? Que leur arriverait-il sur le terrain d'entraînement ? Que choisirait-elle entre l'amour et la haine ? Et quel était le secret du prince ?
Anna Hart n'a jamais eu le choix : pour sauver l'entreprise familiale au bord de la faillite, elle est contrainte d'épouser Julian Ashford, héritier d'un empire financier, plongé dans le coma après un accident. On lui promet un mariage de façade, une alliance sans âme... mais tout s'effondre lorsque Julian ouvre les yeux. Réveillé, il n'est ni le mari bienveillant ni l'allié silencieux qu'elle espérait : froid, possessif et redoutable, il transforme la vie d'Anna en une épreuve où chaque instant se joue entre domination et survie. Face aux humiliations, aux complots de sa belle-mère et aux luttes internes de la puissante famille Ashford, Anna découvre en elle une force insoupçonnée. Mais le véritable combat commence lorsqu'elle devient mère de jumeaux, prête à tout pour les protéger des griffes d'un monde régi par l'argent et le pouvoir. Entre amour contraint, secrets dévastateurs et luttes de pouvoir.
Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.
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