img La vengeance : un plat qui se mange froid  /  Chapitre 2 Chapitre 02 | 7.41%
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Historique

Chapitre 2 Chapitre 02

Nombre de mots : 2323    |    Mis à jour : 18/08/2022

pit

le je pouvais penser ce soir. J’ét

la fille-ci. Bête comme

ne demande en m

ges :

: Je

? Je m’étais toujours dit que je ne me remarierai plus. Après tout ce que Thomas m

Oui ? On va

non, mais je lui aurais demandé un temps de réflexion. De prime abord, j’étais persuadée que Serges ferait un époux très bien. En petit-ami, il était déjà parfait. Avec Daniela, il était adorable et elle aussi l’aimait bien. Mais avec Thomas

ond moi aussi j’étais quand même contente. C’était ainsi que j’avais rêvé que l’on me demande en mariage. Bon peut-être pas exactement comme ça, mais dans le même style. La bague, la pr

i. Je l’aimais encore. Comment oublier un homme que l’on avait aimé si fort ? C’était tout simplement impossible ou vraiment difficile. Par contre, ce que je savais c’est que j’étais mieux ainsi. Loi

aniser. Il faut déjà que je

hein ! Alors Ca

: Abso

ises. Serges avait vu auparavant une chanteuse du cabaret pour qu’elle nous chante une chanson de Alicia Keys, If I ain’t got you. Ce qui m’avait carrément fait fon

s promesses, il n’avait pas l’intention de m

me ma future fe

is fatiguée.

doute qu’on v

ation s’accélérer. Et mon cœur semblait vouloir sortir de ma poitrine tellement il battait fort. Serges m’avait plaqué sur le mur du couloir menant à ma chambre. Il avait tellement envie de me posséder que faire juste quelques pas pour la chambre lui paraissait certainem

plus sa main qu’il voulait bouger en moi, mais plutôt sa langue. Il savait que ça allait me rendre dingue. Et ce fut le cas. La valse que la langue de Serges dansait faisait bouillir en moi mon

ble à manger. Cette pauvre table allait craquer un de ces jours. Avant même que j’eus le temps de m’y préparer, Serges faisait déjà des va-et-vient en moi avec une telle force que je gémissais comme une actrice de film porno. Je ne pouvais pas retenir m

sitôt je l’ai pensé, aussitôt il reprenait sa cadence digne de Rocco Siffredi. Mais cette fois-ci, il avait pris la peine de changer de position. Maintenant, Serges me prenait par derrière. Il faut savoir qu’ave

rois fois par semaine, prie au moins deux fois par jour, fait au moins deux retraites par an, hum ! Moi-même qui pensais ça, je n’étais pas en reste. Fornicatrice comme ça ! Au lieu de savourer le bien

rendre les armes. Alléluia ! Sur le lit, il ne me faisait plus l’amour comme une bête affamée. Il était redevenu plus tendre et plus amoureux. Ce qui ne voulait pas dire qu’il allait à deux à l’heure h

l m’avait offerte. Alors avec toute la peine du monde, je me suis levée. Heureusement, j’avais suffisamment de provisions pour faire un petit déjeuner complet et varié. J’ai préparé des omelettes, sorti les restes de jambons et saucissons secs que j’avais au frigo. Ens

: Bonjo

onjour, b

? Comme l’homme le plu

sûr que celui-

and le sommeil le dépasse, il e

e voulais que l’on discut

écoute. Passe-moi le

y attendais pas

ut. Je voulais que ce s

dire le mariag

d’accord. C’e

ais si il faisait exprès de ne pas voir où je voulais en venir. Avec tou

ce que j’ai vécu dans cette relation. Ça m

mprends mais tu

me demande si c’es

as peur que je te maltr

d on a souffert comme j’avais souffert dans un mariage, on pouvait très naturellement être dégouté par cet acte. De toute façon, je doutais qu’il puisse exister un autre démon sur cette

hy. Même bien avant qu’on ne

: Je

comme ce chien t’a traité. Je t’aim

e allait se broyer. Mais il ne s’agissait pas d’une force brutale. C’était

que je voulais entendre.

ges :

ourras pas m’ép

si j’aurais aimé que ça se passe autremen

ement de cœur en pensant à ça. C’était vraiment trop injuste. Aujourd’hui que j’allais me marier avec un homme que j’aimais, je

t’aime, tu m’aimes, on va se marier. La seule chose qui do

is mieux cette nouvelle. Cette fois, ce serait avec un homme que j’aimais et que je voulais. J’étais tellement contente que j’avais envie de partager ma joie avec la seule et l’unique, Stephy. Alors comme Serges devait partir au bu

n pleurs. Sandrine c’était une sœur en Christ avec qui j’avais noué des liens d’amitié. Pas très fort parce qu’on ne se ra

e ?? Qu’est ce

se-moi de venir c

était né tellement son visage était noyé par ses larmes. Elle qui ét

ntre. Dis-moi ce

mon gars, Cathy. Il

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