img Un amour éphémère  /  Chapitre 4 Chapitre 04 | 10.53%
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Historique

Chapitre 4 Chapitre 04

Nombre de mots : 2594    |    Mis à jour : 30/06/2022

l n'en fait

aise, il a attaché sa ceinture avant de démarrer la voi

j'ai l'impression que mon esprit l'a rangé dans une boite fermée. J'ai toujours mal mais je ne sais pas, je vais bien en même temps. Je vais mieux. Je me suis lentement tournée vers lui pour voir ce qu'il faisait. Son visage était éclairé par les lampadaires et les phares des voitures qui roulaient en sens inverse. Laissez-moi-vous décrire ce que je vois. Ibrahim est le type d'homme qui nous inspire dès le début « l'

s ce que

délit ! J'ai rougi

s pas de qu

arde bien sûr, dit il

dis je en essayant

en se garant

n coin de la corniche. Un bon vent froid soufflait et o

marche, il y'a

e avant de s'évaser sur le reste. Avec le vent j'étais obligée de la tenir pour ne pas

naissais pa

monde et très propre... je l'ador

n apprends d

pprendre d'avantages

, les pieds dans le sable avec mes talons en mains. La vue est magnifique, la mer était apaisante. J'ai inspiré fortement

e sens

ensément. Et je me suis noyée dans ses

tout ce qui a pu

j'ai compris qu

je veux dire que non ça n'alla

contemplait comme si elle lui communiquait u

arder est devenu to

sourire, un sourire qui veut dire «

tu sais, de ce qui s'e

outer pleurnicher sur m

e plaisir je vais supporte

? tu ne l'a

êtes tous des pe

c moi il y'a un mois, alors qu'on avoisinait les un an de relation. Nous avions déjà fait des plans de futur, il était devenu mo

déjà, pourquoi tu avais

lle, il m'a vu et ça ne l'a pas empêché de me na

h ! ça ça

ait pas dire...

désolé...

itié... et entre nous je

urquoi je ne

c lui ! Il a ce don de renvoyer t

nt tu me regardais... et

ent je te

ais là maintena

de quelques centimètres. Nos corps se frôlaient à peine. Je sentais que je n'avais pas le dro

it dit ça avec tell

du vent pour dégager mon visage. Il a penché sa tête comme pour me sonder, pui

èvre dit il à peine audibl

que tu fai

i d'arrê

erdre le souffle. Mais de l'autre côté, ma raison me disait que c'était trop tôt, que je n'étais p

peux pas, di

sant il ne continuai

rrête je ne

sondé du regard puis s'e

demoiselle. Mais juste une question

egard. Il veut me

mpliqué et... et toi, on vient de se connaitre, on vient de trouver nos marques et tout. Je ne veux p

ste qu'avec toi je ne sais pas vraiment sur quel pied danser. Je ne cherche pas à comprendre les choses, j'y vais au feeling. C'est comme s'il y'avait quelque chose qui me dictait quoi fa

onnons-no

... on y v

st mieux au

je te ra

on, Ibrahim avait l'air perdu dans ses pensées. Et moi,

core ? demande

... j

vraiment s

effet ç

ain en me réveillant je suis tombée sur deux messages. Un de Ibrahim que disait « réveille-toi sorcière » j'ai souris avant de lui répondre que c'était lui le sorcier. Le deuxième message était de Karim. Mon cœur a raté un battement. Je l'ai

umour, il m'a fait rire toute la journée avec ses anecdotes avec les membres de sa famille. En parlant de sa famille sa mère à parler a

s midi, dis je à Ibrahim al

dit-il d'un

tu es au

côté. Tu as eu peur de

pas ! je... je n

est ça... ta

même pas

e fois qu'elle appelle, tu te défile, elle ris

er souvent ? pourtant elle n'est

ça je ne

e dire ce qu'il trafiquait pourt

restait tous les trois au salon où on parlait de tous et de rien des heures durant. Sa mère est adorable avec moi et m'appelle la petite « femme de Ibrahim ». ca me faisait rire parce que depuis le temps, la relation entre Ibrahim et moi a évolué vers un autre niveau. Il n'y avait plus rien de complexe entre nous. Heureusement que n

tait énormément d'avoir mis cette distance entre nous et de m'avoir tant fait souffrir. Il n'a pas arrêté de me répéter que c'est moi qu'il aimait et qu'il fera tout pour me récupérer. J'étais tentée de lui donner une deuxièm

temps à soutirer de l'argent au pauvre. Je ne sais même pas ce qu'il fait avec elle. Il me dit qu'il a des besoins à satisfaire et que pour

ux ahh enfin,

ai

dit pas que tu

me pas pourquoi

! t'inquiète pas nous allons te trouver une fille, une vrai qui

egardé le téléphone pour voir

fille, et c'est à cau

je très étonnée

elle. Depuis un moment, elle m'obsède, je n'arrive pas à la sortir de ma tête... ca a commencé le j

is je avec un vrai pincement au cœ

ement ce n'éta

? elle en

elle ne

s dit ce que tu ressens et toi tu es

de sa réaction, de ce que cette révél

qu'elle attend juste que tu fasses le premier pas. Au pire tu te seras au moins dé

is plus

aimes v

je l'a

.. qui veut tout dire, qui nous fait cra

intenant et dis le lui... dis je douc

es

! ce genre de cho

me, dit i

ein

'aime

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