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7 avri
de Cast
. Je venais de me réveiller dans la chambre que l'on m'avait admisse hier et celle ci était incroyablement belle, elle avait des draps rouge en soi qui étaient tellement doux que je me croyais comme dans un rêve, j'avais l'impression d'être une princesse alors
o
x légèrement maquillés. Pourquoi avais-je le droit à une dame de chambre alors que n'étais qu'une simple couturiere... une simple couturière mais qui avait tout de même titillé la curiosité du prince Cyr, cet homme si
arents et sa majesté la reine vous att
reine était censé déjeuner avec toutes les Lady et non avec une seule en particulier... je ne comprenais pas mais si elle préférais déjeuner avec les membres de sa famille tel que ma mère je c
eaucoup. J'arri
je vais vous aider
i, je ne suis pas une reine ou
e bêtises lady, vous êtes une pri
e reprendre la parole à son attention. Elle avait un divin sourire en attrapant une robe beige à légère fente sur le côté et je n
si vous
e en me regardant dans le miroir. Le décolleté de la robe était habillé par de douce touches de fleures dorés par ci par la et ma ceinture était marqué par une fine ceinture à boucle en pr pour rappeler les décoration quil y avait sur le buste, sur les manches et sur le bas des voilages de la robe. Le décolleté était assez plongeant en V laissant ainsi place à une belle parure en diamant qui habillai
bon bout de temps. Je marchais tranquillement dans le couloir en regardant partout autour de moi les différents tableau où photos de familles royales qui decoraient les mur lorsque je sentis que quelqu'un m'attira dans une s
n le bon
is ma seconde main sur ma poitrine le laissant sentir les battements de mon cœur qui ne cessaient de s'intensifier. Kio m'avait fait une peur bleue
Vous m'ave
ément dans les yeux sans savoir quoi dire ni faire. Il avait su encore une fois le déstabiliser avec juste un regard et un co
je vous ai vraiment fait
kio se dévoiler lentement de ma poutrine, mon cœur faisait toujours d'énorme bonds dans ma poutrine mais ma respirat
e faisons
vrai dire... dit-il en s'approchant de moi.
ouce tellement douce qu'elle était presque sensuelle. Celle ci se mit à résonner dans les oreilles de kio le laissant me r
ça votr
parfait... à votre bouche si belle et si pulpeuses... et vos yeux... mon dieux vos y
e le moindre geste, il était si irrésistible que je n'arrivais rien à faire devant cet homme si puissant et si attirant, je le regarda dans les yeux e
dit-il en effleurant mon coup ainsi qu'en traça
a respiration de kio devenir de plus en plus proche de mes lèvres, son tendre parfum vint titiller mes narines me laissant sourire sans que j'ai le moindre contrôle pui
vous pensé au
it-il en ricanant dans un soupir. Si
ses lèvres le laissant se rapprocher encore plus de moi, je n'avais aucun contrôle sur ce qui se passait en ce mo
ie- Lady Corali
nt intenses et enivrant que chaque seconde à le regarder dans les yeux étaient un pur bonheur. Je respiration profondément tout comme kio mais une voix que je reconnaissai
mpagnie- L
kio, je respira profondément et me dégagea lentement des bras de kio le laissant baisser sa tête vers le sol tout en se mordillant les lèvres d
ois y
nt lentement une main dans mon cou puis me mordis rapidement les lèvres avant de partir dans la salle à manger ou les autres devaient certainement m'attendre. Je rentra en so
lie où étai
-temps, je vous pris de m'excus
ssant me relever le sourire aux lèvres contente que mon retard soit excusé pui
faites pas coralie...
non je ne l
corps, il avait un léger sourire sur ses lèvres en voyant sa mère le regarder de haut en bas et pris place à
suis l
diable pourquoi
l à me réveiller m
avions les yeux rivés sur la reine qui levait les yeux au ciel à l'égard de son fils. Même si le regard de kio était du coin de l'œil, il reflétait de la passion et du désir me
s avez du t
seph un pe
ma foi, il est vrai que j'ai trop c
s m'emmener
ement, dit-i
tement sur la cuisse visible du à la fête de ma robe me laissant sursauter légèrement de surprise, kio avait un sourire fier de lui et me regardait en coin en remontant peu à peu sa main
ie? Tu n'as pas parlé de
mère, tout v
serviteur venait de rentrer dans la salle à manger me laissant le regarder de hait en bas, il avait les ma
oi mais... monsieur l
suite. Je m'en vois désolé de vous quitter
avec p
Jos
ce pas, dit-il le
mon frère me laissant avec ma mère et la reine à terminer de prendre notre déjeuner. De plus, l'heure du thé allait arriver et ça serai
it