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Une nuit d'amour sans lendemain

Une nuit d'amour sans lendemain

Auteur: Elma
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Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 3675    |    Mis à jour : 13/05/2022

tre faute , tout est une question de destin . Je suis passionné par les fleurs , par les senteurs et les parfums . Après des années j’ai réussi à en composer plusieurs échantillons et mon se

à avoir un rendez vous dans son entreprise pour lui présenter me

evez-

il était beau, avec ses cheveux bruns, ses yeux d’un marron intense, sa mâchoire bien dessinée , son teint marron , oh seigneur

journée devant moi, dit-il d’une voix so

ntre moi ma mallette de seconde main, même pas en

vous donne

voir, non ? demanda-t-il avec un

êtes M

firma-t-il avec une

devant moi André neves , le dirigeant très médiatique de Néves Cosmetics, dont j’ai vu si souvent la photo ! D’ailleurs, tout le monde savait qui était André néves . Dire que je partais

ndré Néves ,

, il me cou

et convenable. De toute façon je n’en possédais pas d’autre. Ah la pauvreté !!! Déconcertée par cette curieuse entrée en matière, je releve le menton avec

rnez-

ais ce qu’il demandait. Je pivote et j

, lança-t-il à son assistante, qui se tenait

repartant vers le bureau dont elle éta

-y, dit

e lui avais pas emboîté le pas, car il marque un arrêt et se retourne . Il avait l’ai

enir, oui ou no

ais rangés. Cela me rappele mon foyer, ma grand-mère, nos rêve commun de faire connaître au-delà du petit cercle de Bonoua les compositions que nous élaborions . J’ai franchi une si longue distance pour voir André Néves ! Dans ce but, j’ai dépensé toutes mes économies, et il me restait juste assez d’argent pour me loger et payer mon ticket de retour. Si je rate cette opportunité, je perdrais bien plus que de l’argent. Mon propre rêve s’ef

ous su

* *

eux valait en être doté soi-même d’un minimum ! Et si ma splendeur virile devait tout à la génétique, que pouvais je y faire ? ? J’utilise néanmoins les produits Néves ,savon, eau de toilette, crèmes, shampooing et déclarait à qui voulait l’enten

. Elle se détourne en rougissant. Face à tant de vulnérabilité, j’éprouve une excitation aiguë, qui m’étonne moi-même. Il y avait longtemps que je n’avais pas ressenti quelque chose d’aussi fort ! Certes, je me suis octroyé du bon temps, j’ai couché avec une multitude de femmes. Mais, pour moi, le sexe était presque devenu un passe-temps, une activité de collectionneur. Je suis donc frappé par l’intensité de la réaction que m’inspire cette inconnue… De nouveau, je la regarde et savoure ce que je vois . Elle portait un modeste petit tailleur qui, au demeurant, lui allait fort bien et des escarpins en rose neuf , de toute évidence : elle avait ramené ses jambes sur le côté, un pied che

séances avez-vous

incroyable, une peau claire avec de jolies taches rousseurs . Je demanderais au photographe de ne

ces ? dema

nces de po

h…, balbut

e éliminée parce que c’e

de nouveau et , cette fois, me lance un regard indigné, en relevant le menton. Je suis intrigué par

rossier. Nul n’est dispensé d’

on d’avoir affaire à une chatte qui se hérisse puis don

pardonnez-moi mo

ras, en s’efforçant de

cord .

premier fois d’

— O

vec nervosité, la partie la plus virile

ù venez-

is la mettre à l’aise, si je veux obtenir

turelle devant l’objectif.N’essay

sieur Név

ses yeux marrons se posère

légantes, dotées d’une sensualité brûlante. Sans rien de commun avec ces naïves idéalistes à la poursuite d’un rêve obsédant, auquel elles refusaient de renoncer même s’il les menait à leur perte. Les jeunes filles étaient si influençables, une fois qu’elles étaient tombées en de mauvaises mains Mon instinct protecteur

. La voiture venait de s’arrêter, et le char

la fille n’est pas là et…

le, déjà ? Liya , non ? Je regrette d’avoir été inattentif quand elle

venez, mademoiselle,

e. Je lui adresse un

z-y, Li

…alors qu’elle écarquillait les yeux,

and ce sera terminé, — V…

et instant ! Incapable de dompt

rise, à l’heur

ne que non. J

s l’êtes, maint

******

iy

hé. Avec le plus bel homme que je n’ai jamais vu. Plus je côtoyais André Néves , plus j’étais sous le c

n me fasse porter une robe mauve, qu’on me maquille et qu’on md coiffe ; puis je suis avancée… pour rester plantée comme un piquet devant l’objectif, sidérée de m’être laissé entraîner si loin. Tout ce que je voulais c’était présenter mon parfum à André ! Mais quand j’ai compris ce qu’il attendait de moi , au terme de notre trajet en voiture, il était trop tard pour faire machine arrière. Incapable de m’expliquer, j’ai gardé le silence. Si je lui avoue qui je suis et quel était mon but, André serait sans doute furi

te avec l’un des célibataires les plus convoités du monde. Et je voulais graver chaque instant dans sa mémoire. Pourtant, tout ce qui s’était déroulé jusqu’ici était un malentendu, ni plus ni moins ! Je n’étais pas venue poser pour Néves Cosmetics, mais pour présenter ma fragrance ! Comment j’allais m’y prendre ? Etait-il possible de trouver un moment opportun pour déclarer : A pr

été fabuleuse, tout à

etit ami, Kevin . Nous avons échangé des baisers. Nous étions même allés un peu plus loin mais je n’avais pas pu franchir le pas, et me donner entièrement à lui : l’instant idéal ne s’était jamais pr

vais, même si je n’avais jamais fait l’amour. Avec Kevin , j’ai découvert le désir, sans aspirer pour autant à m’adonner au plaisir sensu

t de suite… me disait une voix Au lieu d

Merc

milieu. J’ouvre la bouche, mais je n’ai pas le temps de prononcer un mot : le portable d’André venai

’excuser, c’

vous en

tranger à mon existence habituelle que j’ai du mal à reprendre mes esprits. Pourquoi je n’arrivais pas à prononcer les mots qu’il fallait ? Si j’avais gardé avec moi mes échantillons,j’aurais été plus à l’aise. Mais j’ai laissé ma mallette dans la voiture d’André : il avait assuré qu’

, dit-il. L’industrie cosmétiqu

a pas de

il aurait respiré les arômes de fleur, il serait conquis ! On commençe à apporter nos plats, et je suis surprit à me détendre en compagnie de André . Il était tout à fait cha

ait tout ce che

de quoi payer le t

ais pas comme il l’aurait fallu. Pas encore, en tout cas. J’avale une ou deux gorgées de vin blanc : notes de base boisées et fumées, not

e fois, je ne m’offusque pas de cette remarque, qui n’avait

idjan la tête pleine de

gne sous les étoiles et de danser jusqu’à l’aube dans les bras d’André … Comme il posait de nouveau sa main sur la mienne , un frisson délicieux me parcourut. Mon corps tout entier sem

un rêve…, murmura

toute à la beauté, à l’émerveillement, à la perfection de cette soirée. On aurait dit que j’étais transportée dans un conte de fées, que j’étais devenue princesse et rencontrait enfin mon prince. Il eut un rire bas et doux qui la m’a fait frémir de désir, puis il s’empare de ma bouche en un baiser tendre, si doux, si parfait… Mais je voulais aller plus loin. Je me rapproche, en lui arrachant cette fois un rire de gorge un peu rauque. Il m’amene à écarter les lèvres et insinue sa langue dans ma bouche. Je laiss

re sensuel, c’est que tu m’accom

ndré . Je n’étais pas prête à accepter que la soirée s’achève, même si une toute petite part de min esprit me s

de la sienne, électrisée par ce contact. Au fond de moi-mê

cord. Je le v

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