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Historique

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 2550    |    Mis à jour : 27/03/2022

Moi : Oui Jenna : Tu me donnes la permission de prendre ce que je veux te toi ? Moi : Oui bébé. Elle : Ton âme m’appartient ? Moi : Oui et mon cœur aussi. Elle (Sourire satisfait) : Bien, à partir d

dire que tous ça est faux. Les gens racontent ce qui leurs plaisent. Moi : Mais dans une humeur, il y’a toujours un peu de vérité. Elle : La seule vérité là dedans c’est que quand tu appartiens à une secte, tu appartiens une famille. Vous vous aidez mutuellement. Moi : Si y’a rien de mauvais à appartenir à une secte, pourquoi m’avoir caché le fait que tu y étais et que tu voulais m’y faire rentrer ? Elle : Parce que je savais que tu auras refusé parce que tu aurais écouté ce que les gens disent. Moi : Mais Jenna Elle : Alex si on voulait de sacrifier comme les gens disent, on l’aurait fait depuis. Moi : Elle : Il y’a différentes sectes. Les sectes de sang existent mais on n’est pas une secte de sang. C’est plus une secte de fraternité. Comme une confrérie quoi. Moi : Jenna… Elle (Me coupant excédée) : Mais arrête de tout traumatiser. (Me regardant dans les yeux) je ne te ferais jamais de mal. (Avec un regard insistant) tu le sais ? Pas vrai ? A cette époque les sectes n’étaient connues comme maintenant. Avant les sectes étaient une chose assez normal, seul les hommes intelligents faisaient parti des sectes. Les enseignements que les sectes donnaient à ces hommes étaient très secrets et si tu étais dans une secte, tu étais vu comme quelqu’un de puissant. Les sectes n’étaient pas encore mal vues à cette époque. Enfin pas comme maintenant. Moi : Oui je sais que tu ne peux pas me faire du mal. Elle : Et si on réfléchit bien l’église est une secte qui à bien réussir. Moi : Comment ça ? Elle : Si l’église était comme nous, dans les sectes, on sélectionne les membres alors qu’à l’église tout le monde peut y rentrer. Si les sectes étaient comme les églises, personne n’aurait rien à dire de méchant ou ne raconterait des balivernes sur les membres de sectes. Moi : Ce qui est caché est toujours mal vu. Elle (Souriant) : Exactement… Moi : Je vois. Elle : Tu devras recevoir un enseignement. Et de cet enseignement tu sauras comment se comporte un homme qui a tous les moyens pour réussir dans ce monde. Moi (La regardant) : Je te fais confiance. Elle (M’embrassant) : Et crois-moi, ta confiance sera ma plus grande réussir. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Fin du flash back, retour dans le présent°°°°°°°°°°°°°°°°° Toc !!! Toc !!! Moi (Me redressant) : Oui rentrez !! Clarisse, ma secrétaire apparaît devant moi. Elle : Bonsoir monsieur, il est 19heures, je venais vous prévenir que je partais. Moi (Regardant ma montre) : Heu, oui vous pouvez partir Clarisse. Elle me sourit et sort de mon bureau. Seigneur, je ne sais toujours pas comment j’ai fait pour en arriver là. Je suis marié à une femme qui me faire vivre l’enfer. Je noie mes soucis dans de l’alcool. C’était donc ça le prix pour ne plus mourir de faim ? C’était donc ça le prix pour pouvoir avoir une place de choix dans cette société ? Mes regrets sont nombreux mais je ne peux pas rejeter toutes mes fautes sur Jenna. J’ai participé aussi à ma chute, moi aussi j’ai contribué à mon malheur. Aujourd’hui, j’ai tous ce que je veux mais à quel prix j’ai du avoir le privilège de l’avoir ? Oui à quel prix ? °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Flash back dans le passé°°°°°°°°°°°° Ca allait faire 3ans que j’étais dans la secte et je recevais un enseignement. Dans les films, on banalise les sectes, on montre plus le côté effrayant de la chose. Jenna avait bien raison, faire partir de cette « confrérie » m’ouvrait toute les portes. J’avais pu soigner Marcia, elle se portait très bien. Tout allait bien mais j’avais comme l’impression de vivre la vie de quelqu’un d’autre, le père de Jenna commandait presque toute ma vie. Il voulait avoir comme un certain pouvoir sur ma vie, et Jenna aussi. J’avais à peine fini l’université et je commençais à travailler dans une des boîtes du père de Jenna. Je gagnais beaucoup, je partais à Libreville presque tout le temps mais Tonton Alain commençait déjà à se poser des questions. T. Alain : Alexandre j’espère que cette fille est une bonne fille han. Moi : Oui ne t’inquiète pas, elle a bon cœur. T. Alain : Rassure-moi Alexandre, elle ne t’entretient pas. Moi : Bien sûre que non, je travaille. T. Alain : Comme je t’ai toujours dit c’est à l’homme de s’occuper de la femme et non l’inverse. Moi : Oui, je sais papa Alain et crois-moi, je suis tes conseils à la lettre. T. Alain : Et je te fais confiance. T

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