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Historique

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 5488    |    Mis à jour : 25/03/2022

hée de Julien et je soupçonne aussi que du sperme soit tombé dessus. A la place, elle a revêtu une robe noire un poil plus longue que la précédente, ses jambes cette fois-ci

ccuper de ma bite, l’autre lui dit : — Tiens, mets là moi !! Elle retire sa bouche, crache sur ma bite avant de me branler un peu pour ensuite l’immobiliser. Je peux sentir mon gland bien gonflé qui force pour la pénétrer, je sens bien qu’elle veut que je lui prenne le cul mais son petit trou ne semble pas décider à me laisser la prendre. Je me fais branler quand je sens une sorte de liquide me couler sur le sexe. C’est sans doute du lubrifiant car une fois que la main se remet à me branler, elle glisse parfaitement entre ses doigts. Après que ma bite fut bien recouverte, mon gland appuie de nouveau sur son petit trou, que je le sens s’ouvrir petit à petit pour finir par se dilater et accueillir ma queue entièrement. Elle pousse un long et bruyant gémissement en sentant mon sexe prendre place en elle. Puis elle colle son cul à la cloison. J’aurais voulu agripper ses fesses mais je ne peux que me contenter de la sodomiser. Son cul collé à la cloison, je peux voir son anus enserrer ma queue qui va et vient. Elle pousse de petits cris à mesure que ma bite visite son cul, les bruits de claquement de peau remplacés par les chocs et les vibrations de la cloison en bois à chacun de mes coups de reins. Entre deux gémissements, la personne à qui appartient le cul que je suis en train de pilonner chuchote à l’autre : — Bouffe-moi la chatte, vas-y !! Elle s’exécute et elle se met à gémir de plus en plus fort. Je pose mes mains sur la table de massage derrière moi et me mets à accentuer cette profonde sodomie, elle se met alors à crier de plus belle, la cloison tremble de plus en plus sous mes coups de butoir, je suis sur le point de jouir, et je me souviens alors de ce que m’a dit Jenny avant de me laisser : — Tape trois coups quand tu seras sur le point de craquer Comme je peux, d’une main et tout en continuant à l’enculer, je tape à trois reprises à la cloison. — Oui, vas-y, lâche-toi dans mon cul !!! crie-t-elle Je ferme alors les yeux tout en laissant s’échapper un long et fort gémissement alors que je jouis dans son cul. Elle crie de contentement en sentant mon foutre chaud se déverser en elle. Elle ondule son cul quelques instants en gémissant plus doucement, puis elle retire ma bite de son cul pour venir me la lécher langoureusement. La seconde langue vient aussi se joindre à la fête et toutes deux me lèchent la bite, la nettoyant de toute coulée de sperme qu’il peut rester. Puis elles la lâchent et au bruit que je peux entendre, j’imagine qu’elles doivent s’embrasser. Je m’appuie alors sur la table, reprenant mes esprits. Ma bite est bien rouge et encore tendue de cette puissante jouissance, je ne pensais d’ailleurs pas en avoir encore autant à donner malgré l’éjaculation de début de soirée avec Jenny. Je m’assois sur la chaise quelques instants, histoire de me détendre tranquillement. De l’autre côté de la cloison, je peux entendre les deux coquines en train de quitter le box et marcher à pas de loup dans le couloir. Ma bite est à présent en train de bien se ramollir, je la prends entre mes doigts pour doucement la caresser, elle est encore moite de salive et je ne peux m’empêcher de m’en lécher les doigts. Tout est silencieux à présent, alors je reste là quelques minutes, puis je me décide à bouger. Je remets mon boxer, puis mon pantalon, mais pas mon pull car j’ai encore chaud. Je sors du box et me dirige vers l’accueil du salon. J’ouvre la porte et en rentrant, je vois Jenny, assise sur un tabouret haut derrière le comptoir, en train de boire un verre. Elle m’accueille avec un grand sourire et me fait signe de la main de la rejoindre, ce que je fais. Je récupère un tabouret et m’assois face à elle, de l’autre côté du comptoir. Elle est seins nus, les jambes croisées et porte un joli porte-jarretelles bleu nuit avec un string assorti. — Tu veux un verre ? Me propose-t-elle ; — Avec plaisir merci ! Elle attrape une bouteille de vin et un verre posés derrière elle, puis me le tend remplit. — Tchin !! dit-elle en heurtant son verre avec le mien ; — Tchin !! Nous buvons une gorgée tous les deux en nous regardant dans les yeux. — Alors, tu as aimé ta petite surprise ? m’interroge-t-elle. Je lève les yeux au ciel en soupirant. — Ooooh oui, c’était... étonnant, mais diablement excitant quand même !!! Elle sourit. — Si j’en juge à ce que j’ai pu entendre de là où j’étais, la personne derrière a dû apprécier aussi !! — LES personnes plutôt ! — Ah, elles étaient deux ? J’acquiesce. — Veinard va ! Dit-elle avant de boire une nouvelle gorgée de son verre ; — Et toi ? Dis-je en l’imitant ; — C’était... intense ! Dit-elle en souriant de toutes ses dents ; — Ah, il me semblait à un moment entendre pas mal de raffut venant de je ne sais où, il m’a même semblé reconnaître ta voix ; Elle baisse un peu la tête en rigolant doucement. — Oui, ça se pourrait bien que ça vienne de moi... — Tu étais avec Julien ? D’ailleurs, où est-il ? Elle lance un rire plus sonore cette fois. — Oh non, Julien est parti depuis un bon moment !! — Ah bon ? Un souci ? — Non, du tout, mais il marche comme ça, il commence à s’amuser ici puis s’éclipse avec sa partenaire pour finir chez lui ou chez elle ; — D’accord. Ça ne te pose pas de problème ? Elle me regarde en fronçant les sourcils. — Pourquoi ça devrait me poser des problèmes ?? — Ben je ne sais pas, vu qu’il était chez toi, c’est que vous avez dû vous remettre ensemble, non ? Elle éclate de rire, renversant presque le vin se trouvant dans son verre. — Moi ? Avec Julien ?? Non, non, pas du tout !! C’est lui qui t’a dit ça ?? — Ben quand on s’est vu lorsqu’il est venu au bureau, il m’a dit que ça faisait environ deux ans que vous étiez ensemble. Elle me fait des gros yeux : — Ah le con, je le crois pas, qu’est-ce qu’il peut raconter comme conneries !! Je le connais effectivement depuis à peu près deux ans, mais Julien et moi n’avons jamais vraiment été ensemble. On restait pas mal ensemble au début, c’est vrai, obnubilée que j’étais pas sa belle grosse queue, mais c’est tout ! Il voulait que ça aille plus loin, mais j’ai toujours refusé. — Pourquoi ? Si c’est pas indiscret bien sûr... — Julien est très sympa, il est de bon délire comme tu as le constater au restaurant, mais il est... ennuyeux à la longue. A part pour le sexe, c’est pas super passionnant d’être avec lui. Il a une grosse bite dont il se sert bien, il le sait, et il joue beaucoup de ça. Au début, ça marche, c’est clair que c’est un gros plus, mais quand tu grattes un peu, ben il n’y a pas grand-chose d’autre. Donc voilà, on s’est engueulé l’autre jour parce que j’ai, une énième fois, refusé un vrai rencard en bonne et due forme avec lui, et il m’a piqué une crise. — Je comprends mieux. Mais je ne peux pas lui en vouloir perso... Elle me regarde l’air interrogateur. — Et bien s’il t’avait pas fait sa crise au bureau, je l’aurais jamais revu, et je serais pas là ce soir ! Elle rigole de bon cœur. — C’est pas faux !! Donc, trinquons à Julien, un doux rêveur à grosse bite !! Nous trinquons de nouveau avant de boire, toujours en se regardant dans les yeux. Je parcours le salon du regard et interroge Jenny : — Bon, qu’est-ce que c’est que cet endroit alors ? Un centre de bien-être ou un lieu de débauche et de luxure ? Elle sourit. — Les deux descriptions vont bien ensembles je trouve... Devant mon regard insistant, elle continue : — C’est Denise, une très, très bonne amie qui tient cet établissement et parfois, durant les périodes de fermeture, elle le convertit en une sorte de... club très privé et select. — C’est à dire ? Il faut payer une grosse somme pour y entrer ? — Tu as payé toi ? — Non ; — Donc non, ce n’est pas une question d’argent. Denise et moi sommes les deux seules personnes qui décidons qui peut entrer ici ; — Et quels sont vos critères ? — Hygiène, discrétion, confiance et respect, voilà les critères. Quand on est sûre qu’une personne les réunit, alors elle peut entrer, peu importe son expérience, sa taille, son physique ou autre. Denise et moi nous faisons confiance l’une comme l’autre sur les choix que nous faisons, et pour l’instant, on n’a pas trop à s’en plaindre. — Et combien de personnes ont cet honneur ? — On ne tient pas de listing ou de planning, on invite qui on veut, quand on veut, ça dépend des périodes, des disponibilités de chacun et du feeling. — Ça se passe souvent ? — Ça dépend de nos envies du moment, sourit-elle ; — Content d’en faire partie en tout cas. Vu le coup que je t’ai fait au bureau, on aurait pu croire que tu penserais plus à me virer qu’à me faire venir avec toi dans ce genre d’endroit ! — Maiiiis, j’y ai pensé à te virer, dès que tu as sorti ta bite devant mon nez !! — Pourquoi n’as-tu rien fait alors ? — Et bien... Je peux me targuer de bien connaître les gens avec qui je bosse, je connais leurs qualités et leurs défauts, en tout cas pour ce qui se rapporte au travail, et pour le reste, au fil du temps, je cerne mieux les personnes, et toi, je ne te considérais vraiment pas comme quelqu’un de manipulateur, ou en tout cas qui ait assez de couilles pour faire un truc comme ça. Je te pensais plutôt... chiant, rasoir !! — Eh ben, j’ai bien fait de poser la question tiens... Elle rigole, puis continue : — Mais le fait est qu’apparemment, j’avais l’air de m’être trompée, en tout cas en partie, et c’est pas souvent que ça m’arrive. J’ai donc temporisé et attendu de voir si tu allais aller jusqu’au bout ou bien te dégonfler. Et bien tu es allé au bout, et avec la manière en plus !! J’ai beaucoup aimé tout ce qui s’est passé ce jour-là, je peux t’assurer que je n’ai pas simulé ma jouissance ! — Oui, j’ai bien senti que tu ne faisais pas semblant. Et ensuite ? Je pensais avoir des représailles mais rien ; — Ensuite, j’ai appelé Julien pour lui pousser une

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