pit

ouple. Ils en trouvent un qui correspond à leurs attentes dans le XVIIIearrondissement, proche du métro Jules Joffrin. C’est un trois-pièc

ins de perturbations pour Corinne puisque les deux collègues ont chacune leur appartement. Il s’est montré galant et réservé à s

rendre Place du Tertre en empruntant la rue du Mont Cenis. Chantal et Éric ne se privent pas de ce plaisir, goûtant aux charmes du Paris

c’est toujours l’occasion de faire du tri, d’éliminer le superflu. Après avoir récupéré des cartons d’emballage à l’épicerie du quartier, il prépare ses colis : un tas à jeter, l’au

ème, des chaussettes trouées, un vieux pantalon déchiré, un pull mité. Petit à petit, il réalise que Daniel s’est trompé de paquet et que toutes ses affaires correctes sont parties à l

est pris avec légèreté et source de gaieté. Les deux amoureux ne veulent pas s’isoler dans leur bonheur et continuent à fréquenter régulièrement leurs amis qui sont invités rapidement pour pendre la crémaillère un

en retrait pour libérer un peu l’espace. Non loin, il y a aussi un café avec un va-et-vient de voitures. Certains conducteurs restent au volant, d’autres ont la chance de trouver une place. Arrive une belle femme d’âge moyen au volant d’une grosse

uis-je vous

une pet

isit par les épaules et lui plaque un baiser langoureux sur la bouche. À cet instant, Chantal

ste garé

é. Dans un tel cas de figure, la solidarité semble un conce

t de leurs projets pour leurs premières vacances à deux. Corinne et Daniel restent discrets sur ce

eux éviter la foule, préférant les lieux calmes et reposants pour savourer leur bonheur. Ils éviteront donc les côtes. Ils n’iront pas non plus en montagne car parfois la seconde quinzaine

et le calme de ses territoires. Ils réservent un hébergement chez l’habitant dans la région de Ribérac. Les mois passent dans l’attente de cette première escapade à deux. Ils revoient

rdre de cinq cents kilomètres, suffisamment courte pour prendre son temps et savourer les congés dès les premiers instants. En fin d’après-midi, ils arrivent sur le lieu de leur séjour,

aller à leur souhait. Leur chambre, au premier étage, est vaste avec un grand lit bateau, une immense armoire en noyer, une commode, une petite table et deux fauteuils

ère fois qu’ils reçoivent des touristes et leur location est restée inoccupée pendant plusieurs années. Ils leur souhaitent une bonne nuit et leur reme

our compléter leur documentation. Ils mettent les fruits sur une soucoupe qu’ils posent sur la table de chevet. Le lit est accueillant et l’épaisse couette est protectrice. Une fois couchés

le soleil qui se glisse à travers les p

u bien

n que le lit bougeait, sans dou

eut-être abusé du Pécharmant hier s

nt et Chant

ruits ! C’est to

plais

jeuner. Tout est déjà installé sur la table : jus d’orange, pain, brioche, beurre, confitures, pâté de campagne, saucisson, fr

avons eu une su

ennuis a

soir ont été partiellemen

permettez, je passerai

serait b

avec ses richesses. Ils se trouvent au nord-ouest, mais le réseau de routes est suffisant pour atteindre chacune des parties pour une escapade d’une journée. Po

e taureau broute à proximité. Ils ont une belle frayeur et conviennent de ne pas quitter la route au retour. Avant d’arriver au village, ils croisent un agriculteur hâlé par les travaux extérie