Fanny la Sénégalaise

RT

LA SÉNÉG

à l'entrée qui mène chez moi, ou du

rrivée, je te souhaite de

ci Joujou,

Tiens, c'es

uh😮 merci

rien chérie,

et je suis descen

je sais que c'est supérieur ou égal à cent mille francs. Joujou, comme je l'appelle si souvent est en train de tomber amoureux de moi,

artier et je leur ai lâché deux billets de dix-mille pour leur chanvre. Je suis en suite passée devant un groupe

ent quand je suis arrivée ch

ouh l

tu as encore passé nuit ? Hein ? ». C'é

oi tu te mêl

moi que tu parle comm

bondissant de mon siège à une vitesse

avise même pas un p

avant de claquer l

imbécile. Si ta mère n'était pas

urveiller les entrées et sorties des gens. Idiote, tue moi, tu te crois

t... Arrêtez » C'est ma m

c'est ta fille, t

n a essayé de te joindre en vain. Où étais-tu ma fille ?. J'ai vieilli, tu ne t'en rend pa

ère pleurer me fend le cœur. Elle ne sais rien de ma vie de déb

couche avec des hommes plus âgés, des ho

vient de petits boulots ou des aides, parce que les parents de mes amis

villas, les bijoux, tout ce qui brille, tout ce qui a de la valeur. Je ne veux pas que ma veuve mère souffre encor

ra Sall, et mon défunt père s'appelait Ibrahima Sall. Je suis leur unique enfant, et mon père e

t même. Tout le temps il la maltraitait, tout ça

très présent. Il me couvrait tout le temps de cadeaux mais moi, c'est lui que je voulais avoir au près de moi, c'est de lui dont j'avais réelement besoin; puis un jour, on nous a appris qu'il a rendu l'âme.

UIV

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