Clar
vec mes amis. Marc n'est pas venu au rendez-vous. C'est la première fois donc ce n’est pas grave, mais il
🥰 à Moi
qu'on parle sérieusement tous les deu
mots, je me me
demande Alyssa, inquiète
lée et lui donne mon portable.
u crois, Clarisse, tente de me
i
qu'il y a un problème dans notre relation, sans doute le
out pour moi. Il est la bouée à laquelle je m'accroche pour
elle m'apprécie. Marc, lui, il m'aime. Nuance. Et puis il y a
is en silence Aly et Thomas jusqu'à la salle, et leur souris faussement lorsqu'ils tournent la tête vers moi. Sourire... Cel
e. Il a la quarantaine et à déjà une c
et tout ce qui va avec. On dirait qu'ils aiment perdre leur temp
Lorsque cette foutue sonnerie se fait enfin entendre, je cours presque jusqu'à mon casier. Je ne sais pas pourquoi je me dépêche autant : je sa
le vois enfin, qui arrive en souriant et rigolant avec ses amis. Marc fait parti des mecs populaires qui se font respecter partout. Je suis son opposée totale et c'est
pas encore
ours
bien vite remplacé par une expression agacée, comme si c'était moi qui l'a
p
aut
ore
ent, il fait presque peur et je me dis que
fort et en articulant chaque syllabe
ion, certains en ricanant, d'autres avec un air désolé. Décidément,
je lui réponds d
te qu
dont on ne veut plus. Ça m'a blessée. Plus que je ne voudrais l'admettre. Je sav
se mit à rire en voyant ma
la seule chose qu
Clarisse, c'était juste un gage ! Juste un putain de gage ! Personne ne t'a jamais aimée ! PERSONNE ! Tu es dépressive, meuf, qui voudrait une c
avec le sourire aux lèvres, laissant mo
monte haut. Mais cela ne sert qu'à se faire plus mal lorsqu'on tombe. Les blessures sont presque toujours possible à guérir. Moi j'étais montée trop haut. Je ne pouvais pas gu
otions, mon ressenti, ma tristesse, ma vie. J'enfouis ma tête
e t'a jama
t. Ma mère ne m'a jamais aimée. Elle ne venait pas me faire un bisou le soir, p
Clarisse ! Tu
e disait souvent la même chose. Tout se rapporte à lui, on dirait. Tout est de sa faute. Je