?? - Papa... chuchotais-je, en tremblant comme une feuille. - Oui mon petit ange.., c'est papa... me répondit-il, d'une voix malsaine. Je fermas les yeux, en essayant de ne pas verser
que il est en colère.. très en colère. Nous arrivons à quelques mètres des grosses portes en fers... cela me fait penser qu'après avoir passer celle ci ma vie sera de nouveau un enfer. nous sommes à 3 mètres des portes, mon cœur s'accéléra dans ma poitrine... 2 mètres, les tremblements de mon corps ne fit qu'augmenter... 1 mètre, je bat des cils le plus vite possible pour ne pas pleurer... Et voilà que mon père ouvrit les portes, et les referma juste derrière moi, le plus vite possible. C'est parti... - Pap... Et je n'ai, même pas eu le temps de finir ma phrase, qu'il m'avait déjà prit par les cheveux, pour m'emmener dans un endroit "plus isoler". Il me jeta par terre, je tenta alors, de me relever mais il ne tarda pas, à me mettre un énorme coup de pied aux côtes, ce qui me fais pousser un hurlement de douleurs abominables. Que quelqu'un m'aide s'il vous plaît ! - Je t'ai dit quoi, la dernière fois que tu n'es pas venue me voir pour me dire où tu allez ?? me demanda-t'il en me donnant un coup de pied dans le ventre, cette fois ci. Je hurle alors, encore plus, avant de recracher tout le contenu de ce que j'ai avaler, il y'a même pas dix minutes, par terre, ( c'est à dire, pas grand chose). - Repond moi, salope ! S'écria-t'il, avant de répéter son geste plusieurs fois. Chacun de ses coups me terrifie.. il me terrifie.. - tu.. m'as...dit que... j'allais être puni.. sanglotais-je en bafouillant avec mal. - Exactement, et qu'às tu fais Heïvy ?!? Dis il en me donnant des coups de poings, une fois de plus au côtes. Mon père est malin. Il ne vise que dans les endroits qui ne se voit pas en temps normal, mais si il est bourré (c'est à dire la moitié de temps. ) il ne s'en rends même pas conte de où il frappe. Mais il n'ai pas saoul cet fois, alors il est beaucoup plus stable sur les coups de pieds qu'il me donne, et vise mieux la ou ça fais mal. - J...e suis par..ti sans...te le dire... dis-je en crachant à présent de la bile, alors que ma vision diminua, et que mes yeux se ferma, petit à petit. - Bingo, en plain dans le mille !! Ria-t'il, en donnant un gros coup de pied, dans ma cage thoracique, ce qui me coupa immédiatement la respiration. Sayer, il va finir par me tué. Je n'aurais même pas besoin de le faire moi même. Et c'est alors, que je commença à sombrer dans le néant, que j'entendis quelqu'un criait. Et d'un coup je ne ressentis plus les coups de mon père. Alors avec la plus grande des forces, j'essaya temps bien que mal, a ouvrir les yeux pour voir ce q