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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 776    |    Mis à jour : 26/01/2022

erchait à mordre le Gobelin. Le petit homme avait eu cette fois grand-peur de

d’une autre vie chevalier mais ce

ourquo

rres qui l’entourent. Je ne peux donc te permettre de tr

rciement que tu

rment vis-à-vis de mon peuple

equ

tés. Il vous faudra simplement ne pas être repéré

dant, donner à manger

j’ai entreposé un peu de n

e loin

aine de palm

qui f

ance de mon poignet jusqu’

qu’à ta tanière. Pendant ce temps, mes amis allumeront un

eurs sauront immédiatement où vous êtes et, dans la

aies sauvages et quelques vers, sous un vieux tronc moussu. Mais Benoît, aux aguets

e mon fils que j’ai caché tantôt en ente

nc que je vois d

e l’air méchant pour s’en méfier. Lorsqu’ils arrivèrent, au campement de fortune, Aliénor fut la première à distinguer le tout petit être et se précipita vers lui, les bras tendus. L’autre

choisi, laissons-la

t (appétissant)mais dans l’état où ils étaient, ils préférèrent manger l’énorme quantité de baies ramenées par son père, fussent-elles assaisonnées de ces rejets verdâtres ; cela fai

que Benoît, lui avait redonné, fit sig

e de la forêt ne pourra vous approcher car ce sortilège vous dissimulera jusqu’à l’aurore. Demain, avant l’aube (L’aube est la première lueur du soleil qui commence à blanchir l’horizon. L’aurore est la lueur brillante et rosé

énommé co

sa tribu. Il vaudra mieux pour lui que je ne le revoie pas, parce qu’il a laiss

nuit, réfracta les lueurs de la lune jusqu’aux contours du cercle magique. Ils furent ainsi pro

ce temps

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