e harcèleme

nnées collège très traumatisantes dût au harcèlement scolaire. Heureusement pour elle, Lili ayant parlé d’elle tout le long du trajet, Fleur n’avait pas eu besoin de parler. Ainsi, une fois arrivées à destination, elles se promirent d’aller au cinéma voir un film d’horreur le week-end qui arrivait, et se sépara l’une en bac pro et l’autre en général. La journée se passa normalement, les professeurs fatiguant, des camarades bavards, des surveillants agissant comme des gardiens de prison,

avait un deuxième chapitre qu’elle n’avait pas vu auparavant. Ce deuxième chapitre avait pour titre, « Harcèlement scolaire ». Fleur écarquilla les yeux, elle n’y croyait pas, de nouveau plein de questions se bousculèrent dans sa tête. Pourquoi fallait-il que ce soit ce moment de sa vie, qu’elle déteste le plus, qu’elle devait revivre ? Une fois c’est dé

sombre. Il n’y avait ni nuage, ni la lune, pas d’étoiles pas de soleil, juste de l’obscurité. Son interlocutrice lui répondit qu’elles n’étaient pas dans le passé, mais dans le présent. Fleur ne comprit pas tout de suite avant de voir des silhouettes d’un noir profond s’agiter au loin, dans la cour de récréation. Elle reconnut l’atmosphère angoissante, les silhouettes, elle était dans le lieu responsable de ses insomnies. Elle était dans le cauchemar qu’elle fait toutes les nuits. Sa conscience lui expliqua donc que pour aller de l’avant elle devait commencer par se débarrasser de ses insomnies, donc de son cauchemar. La lycéenne ressentit de la peur, elle ne voulait pas y aller, même si c’était pour son bien. Elle regarda la femme à côté d’elle avec un regard suppliant dans l’espoir qu’elle l’emmène ailleurs. Malheureusement pour elle, son aînée lui f

rande inspiration, ferma les yeux, et pensa à une colline avec, à son sommet, un cerisier japonais, et en dessous de ce dernier il y avait un banc donnant sur une prairie verdoyante baigner de soleil. Tous les bruits s’arrêtèrent d’un coup, elle sentit juste un vent tiède lui caresser le visage. Elle ouvrit les yeux et se retrouva assise sur le banc qu’elle imaginait avec vu sur une clairière luxuriante, abritant un troupeau de cerf. Elle n’en reve