img Jusqu'à l'échafaud - 1965 en France  /  Chapitre 3 No.3 | 15.79%
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Historique

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1168    |    Mis à jour : 22/12/2021

I

t ce t

mmencé au bas de l’échelle, à l’imprimerie, comme monteur de bobines de papier. Maintenant, il allait achever quinze années de travail au Département Loisirs en tant que critique ciném

Louvoie r

moi lire…

courait l’article, le direct

lez vite voir le responsable de l’imprimerie et do

page sur deux colonnes le len

été comblée de voyages et de tickets d’entrée pour aller voir des films et des pièces de théâtre.

l’histoire diablement bien orchestrée d’un Hubert somptueux balayant un piton rocheux pour empêcher une catastr

io Mishima, sortie la même année, n’avait pas réussi à étrangler son adversair

jeune épouse fut enlevée par des malfaiteurs. Nous l’avions vu d

oé Orton, où l’on voit un jeune homme s’amuser avec sa logeuse. Il était amoral et sans scrupules. D

ison mais un procès en règle pour déjouer le tortueux compère qui voulait indûment s’approprier la fortune léguée par son

nt totalement conquis

entendu. Toutefois, j’ai imaginé des dénouements différents, que je v

eurs, car vous m’avez grandement

serv

ette de M

s, le

tite écharpe autour de sa bouche et de son n

de rendre une petite vis

ller voir les Déesses…Éructa François en c

t par les fenêtres du bar Les D

tre bien tassé. Le gars-gorille recula sensiblement et laissa plus ou moins l’entrée libre. François et Max avancèrent l’un derrière l’autre, prudemment,

chance, ils trouveraient le nom du suspect, parce qu’il était déjà venu ici ! Ils devaient demander aux hôtesses qui se promenaient entre les tables. Du reste, deux superbes cré

nsieur parlant avec un accent anglais, bien habillé et de forte corpulence, entre

, nous avons soif, après, on

n que deux splendides cocktails apparaissaient miraculeuseme

t quelqu’un… Elle pensa… « Mais bon, finalement, tous les hommes petits et un peu larges se ressemblent… Et puis, ici, dans cette

upait avec son

appeler George V. Il disait : « C’est le surnom que me donnaient mes

tement avait-

sa dernière heure était arrivée ! Quand il était saoul, il disait tou

vec une moue désolée, elle prit

riez-vou

ir, faisant des moulinets avec les b

taient dans tous les sens et poussa le bouchon av

e le vieux, vous o

vous êtes toutes les deux gentilles, on refait la tourn

lumière puissante provenant d’une ampoule discrètement accrochée à côté de la caisse. Dans la pénombre qui r

çois, ce n’est

atron va râler en voyant la note de frais,

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