néral et à Rosely
es les
ini
rsonne enfermée contre son gré en dehors de toute autori
a rendez-vou
-cinq ans, des traits agréables, un costume bleu foncé, une chemise blanche, elle s'est dit pourquoi pas, s'est faite tout sourire pour papoter en file indienne. Après le fil
e tous les jours ; il lui raconte son quotidien laborieux, le nombre colossal d'heures supplémentaires qu'il accomplit et les appréciables bonus financiers qu'il en retire. Ils sortent ensemble quelque temps avant qu'il lui avoue être au chômage depuis près de deux ans et
regard figé dans le sien et cela dure jusqu'à ce qu'il commence à loucher et qu'elle lui dise en riant qu'il a vraiment l'air idiot. Alors, il se tourne de l'autre côté. Quelques jours plus tard, lors d'une promenade en voiture, il se range sur le bas-côté de la route et ouvre son coffre. Au moment où elle y jette un c
menades sur les quais de la Seine, dans des jardins publics, main dans la main. Finalement, il l'a invitée à lui rendre visite un samedi en fin d'après-midi, pour prendre un verre. Il a insisté. Si tôt dans leur relation, elle n'y
L. a rendez-vo
s Yvelines où il vit. Le R.E.R traverse la belle et large forêt de
sent un élan de joie à la vue du bel homme souriant qui lui fait
s pour déverrouiller une porte qui s'ouvre directement sur un salon. Il lui fait signe d'entrer, referme derrière lui. De toute évidence, son
ir près d'elle, ils s'embrassent. Elle lui offre alors un cadeau qu'il déballe en souriant, une c
as trop la retarder. Tandis qu'il part en cuisine s'occuper des boissons, elle balaie des yeux ce qu'elle peut voir de l'appartement. Si les peintures ont été refaites, le sofa éraflé, ta
blanches, les yeux clairs, clos à demi. « Trinquons à nos amours », propose-t-il et ainsi en est-il. Il