img Quelques pas dans le parc  /  Chapitre 2 No.2 | 14.29%
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Historique

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1523    |    Mis à jour : 15/12/2021

ie b

u

Tous. Ceux de ma famille. Ces e

Une maison hantée. Sortez-moi de là ou je

a

t sont gris. Ceux du balcon aussi. Les montants de mes fenêtres sont en fer. Tout est coincé, mis sous scellé

de mes frères et sœurs (ça fait du monde) mais aucun n’est à mo

s. Elle me saignera à blanc. Sanguinaire. Elle, enfin « eux », ils ont déjà loué mes appartements… P

rc

brun dans un cadre d’acajou. En chemise de nuit fanée sur mon lit d’agonie. Terre gl

re mon passé et ma haine. Et pourtant désar

and tu germ

hivernage. Suaire qui reco

on, j’ai pleine vue dessus, bonjour ; à côté aussi d’un sale roquet, le petit vieux du 124 (tu l’entendrais brailler, avec sa femme bientôt morte, avec ses gosses qu’il pourrit

ns ce grand aquarium pour espèces en voie d’extinction. C’est sûr, c’est même écrit sur le contrat de location, on va tous cr

e ressemble à rien), celle qui nous fait gym, elle sautille, et ça ballotte, elle doit pas plus être prof

céral. Carcan hum

lière renforcée. Mais je passerai outre. O

s petites bonnes femmes en blouse, des martiennes. Vertes comme d

ur de l’espérance et de l’apaisement… d’ap

e

ue je coure à ma perte. Que je me taise. Que je meure. Mais je n

stance. En clandestine, elle va tout vous plomber. Ici et là-bas. Je médite mes mauva

ire pour les miens. Ils ne pourront plus rien compter, ajoute

l’attends. Et une chose est sûre, il vient. Il est en chemin. C

i chat noir. Le chat était mort depuis quelque temps. C’est peut-être ce qui les a décidés à me placer ici. Pour le bala

mon programme :

ù je me sens pourrir. Tu vas voir mon cochon qui est la plus cochonne.

oite, des miettes charbonneuses dans mon lit. Je frotte pour les enlever, flûte, mes draps son

boue. Je vais aller exprès dans les endroits les plus v

les martiennes, ne voulant pas que j’en mette partout, me hèlent dans le couloir d’entrée. Hep, attendez !!! Elles ne s

es traces… humm

façon, c’est

e le payer d’avoir le tiers, le qua

ie. J’ai vu grand, j’ai presque repeint toute la salle de bains ! Vlan, il y en a eu partout. Et pour parfaire le tout, pour r

and j’étais petite, c’était interdit. Là, plus rien ne

nd

t. C’est-à-dire jusqu’à ma mort… Ou jusqu’à la leur si je

hibée

période coloniale de papa. Du zébu et du lion. (Du simili) Elles ont migré ici, mes neveux n’en voulaient pas ! Ma

rd » et même « elles sont in

ne vieille dame gâteuse en perte de mémoire ». Je suis donc bien en prison,

ures, zébrures, tout y est passé. Pour faire coule

mettre en prison ? Laissez-moi rire…). J’ai conservé des restes : j’ai fait fondre du chocolat, j’ai répa

teur, je lui dirais crotte s’il venait me voir. Je lui apprendrais son métier : je ne suis plus à une calomnie, à un blasphème près. Et tout

ondices. Plaqués sur le mur, com

temps, je vais mourir après tout. Que j’expr

Surtout le faux zèbre. Oui,

maudi

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